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01/07/2018

79 Campeurs sur terrain privé à Saint Pierre Quiberon !

5 demandes de "repli" seulement…

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Après deux versions contradictoires (dans le PLU, puis lors du Conseil municipal du 3 mai 2018), l'adjoint à l'urbanisme fonde "le repli" sur des terrains "en déshérence" (dont on n'ose publier ni le nombre et ni le délai de disponibilité), qui seraient équipés (aux frais des contribuables saint Pierrois) et divisés en 12 lots de 200 mètres carrés.

Exit donc le repli sur les terrains des propriétaires de l'AFUL de la rue des campeurs, qui eux souhaitent encaisser tout simplement les "plus-values" générées par le classement de leurs terres en zone 1AUL (dixit Madame le Maire sur une question de l'opposition). On a du mal à comprendre l'intérêt général de la commune (représenté par des élus qui revendiquent ce droit) dans la réalisation d'un troisième camp de camping dans la zone du Rohu, qui ne génère aucune ressource fiscale supplémentaire, et qui risque d'abriter en supplément des résidents secondaires.

Quant à "l'urbanisme" de qualité, recherché sur toute la surface communale, comment accepter un projet de 115 chalets (avec pipi-room associé) sur des parcelles de 200 mètres carrés ?  qui devrait générer des investissements lourds de la commune rien qu'en voie d'accès…

La "deuxième étape", qui oblige elle, à acquérir un terrain est "hors de portée financière" de la commune, qui semble incapable de financer sur ses deniers une nouvelle Mairie !

L'erreur fondamentale repose sur cette modification du PLU, non justifiée par l'intérêt général, du passage de NDS en 1AUL et qui reste soumise à la censure des juges. Absence de continuité d'urbanisation et "zone proche du rivage" !

Le "bricolage" actuel met en doute "les compétences urbanistiques" !

 

 

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19/06/2018

Entre rêve et réalité, le rappel démocratique est indispensable !

Le "pouvoir" isole et déforme : l'intérêt général doit rester avant tout le guide de toute ligne politique !

Laurence Le Duvéhat, juin 2018.jpg

L'éditorial des "Nouvelles N°17" relate en une page les états d'âme du Maire de Saint Pierre Quiberon, entre rêves et réalité...

Comment peut-on aujourd'hui mettre en comparaison l'œuvre de Maxime Maufra et l'œuvre éphémère de Roberto Coda Zabetta à Portivy ? D'un côté un artiste reconnu, estimé et admiré, de l'autre un artiste "en résidence" du fait du Prince, qui s'empare sur autorisation de la transformation d'un port de la commune…en matière de peintures claires, il serait préférable d'en badigeonner la "traversée" de Kerhostin, afin de mieux guider les processions de voiture la nuit ! 

Attirer des résidents à l'année permet d'envisager un financement meilleur des investissements de la commune et de développer l'activité économique des acteurs locaux...mais soutenir le développement de logements saisonniers sur une zone de quatre hectares au Sud de la commune avec une parcellisation intensive relève d'une "marche arrière" mortifère, qui nécessite des investissements communaux et intercommunaux coûteux pour une activité économique concentrée seulement sur les mois d'été !

Augmenter le budget d'une commune pour faire face aux dépenses générales et aux nouveaux investissements semble  relever d'une démarche de bon sens, mais croire qu'une réduction "nationale" de la Taxe d'habitation peut faire passer la mesure sans douleur semble bien naïf ! Le vote "contre la hausse des taxes locales" de la majorité et de l'opposition oblige à reconvoquer le Conseil et à modifier le prochain budget, tout en abandonnant certains projets !

La requête en annulation contre le PLU, déposée par 5 associations de la presqu'île devant le tribunal administratif de Rennes, après le rejet d'une procédure amiable, remet en cause plusieurs "projets" actuellement dans les cartons : la zone 1AUL de la rue des campeurs, le projet immobilier de Centre-Ville de forte de densité, ainsi que d'autres projets de construction...Une démarche, qui repose sur une jurisprudence abondante, des arguments de bon sens et qui vise à protéger les derniers espaces verts de la commune...ce qui est finalement en cause c'est le travail solitaire en matière de projets urbanistiques, l'absence de dialogue avec les élus, la gestion des projets "en mode promoteur" très éloignée de l'intérêt général…

Jeter en pâture les adresses de ces associations (en page 5) sous la signature d'un conseiller municipal relève d'un comportement peu respectueux des droits de protection de la liberté individuelle, critiquer leur action revient finalement à rejeter tout dialogue avec la population locale.

Les projets ne sont que des projets !

 

 

 

 

 

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17/06/2018

Tourisme ? une affaire, qui marche deux mois par an...

A Penthièvre, on ouvre le camp de camping pour la saison avec beaucoup d'interrogations !

Penthièvre, visite des élus au camp de camping municipal.jpg

Après de nombreuses mises en garde du Sous-Préfet sur les conditions de sécurité, les risques de submersion et l'incertitude du trait de côte, la municipalité décide finalement d'ouvrir après quelques travaux de mise à niveau (Haut-parleurs, gardiennage de nuit, câblage électrique, voiture de service, plans et exercice d'évacuation) et après avoir dépensé des sommes supplémentaires, qui viennent fatalement grever le résultat du compte annexe "camp de camping". C'est donc dans le domaine de la comptabilité analytique, que se joue l'avenir de cette activité municipale, qui demande une mise à niveau permanente, ainsi qu'une montée en gamme, afin d'améliorer les recettes de cette activité. Clarté des comptes, imputations millimétriques, contrôle par des spécialistes, publication sans défaut, ce sont aujourd'hui plus qu'hier des exigences minimales, qui guideront les choix des élus !

Tourisme, la bronca de certains professionnels.jpg

L'Office Intercommunal de Tourisme, tel qu'il fonctionne aujourd'hui, ne donne pas entièrement satisfaction à certains professionnels du tourisme, qui estiment que leurs voix ne sont guère entendues et que les choix collectifs ne sont pas toujours très pertinents. Ainsi en va-t-il de la marque du territoire "Baie de Quiberon la Sublime", qui centre son impact sur "Quiberon" "(infiniment presqu'île", dans la même déclinaison) et des nombreuses publications imprimées (300 000 euros quand même) à l'ère du numérique. Ici, comme dans d'autres domaines de compétence commune, il est très difficile de rassembler sous une bannière unique des personnalités, depuis toujours autonomes et d'exercer des choix "à la majorité". L'erreur commise est de vouloir "uniformiser" les actions marketing pour des raisons de productivité en négligeant les caractères "forts" de chaque territoire !

Le "tire-bouchon" de son côté se met en congé jusqu'au 1er juillet pour cause de grève "SNCF"... ce qui ne facilite pas l'étalement de la saison touristique, réclamé par le CODEPA, qui sonde en ce moment les presqu'iliens sur leurs motivations profondes… Là, aussi, les choix de l'infrastructure d'avenir, qui à terme pourraient conduire à la fermeture de cette ligne de chemin de fer, sont plus ou moins dans les mains d'anciens syndicalistes du rail ! Dans la gestion de la prospective, il serait prudent de faire place nette et d'ouvrir cette structure à tous les courants de la société civile…

Tourisme ? Choix communaux et intercommunaux, qui se superposent… Soyons clairs, quelle est la note ?

 

 

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