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15/07/2018

AQTA, une intercommunalité qui participe de plus en plus "au réchauffement" des impôts locaux !

L'exercice des "compétences obligatoires" entraine des dépenses, et donc un appel à plus de recettes !

AQTA, la taxe de séjour.jpg

Déplacements : fort heureusement, hors des "compétences obligatoires", ce sujet relève de la Région, qui finance ainsi le "Tire-bouchon", les cars TIM, les liaisons maritimes avec les îles en concurrence avec les déplacements automobiles individuels. La géographie et l'historique des réseaux imposent aujourd'hui des choix contraints en faveur du déplacement individuel (productivité), alors que le réseau routier est ancien, dangereux et peu rationnel. Aujourd'hui, la saturation est atteinte en début et fin de journée, ainsi que pendant la période d'été. Des investissements importants dans le réseau routier sont donc à prévoir dans les cinq années, qui viennent, très différents de ceux préconisés par le CODEPA ! AQTA, dans son investissement irrationnel dans la gare de Brech, intervient ainsi de manière biaisée dans la question des transports dans l'intercommunalité, se fiche aussi de l'avis des utilisateurs quotidiens (imaginons la mobilité de demain !) et "réchauffe" ainsi la note globale à payer par tous ! L'investissement "inutile" ne rapporte rien et pèse éternellement !

Chauffage au bois : presque plus polluant que l'énergie fossile, notamment s'il se généralise, son seul avantage est de ne pas peser sur les résultats du commerce extérieur ! Ce retour vers le passé (qui semble fasciner de nombreuses personnes) est un non-sens sur le plan de la productivité et de la santé collective. A l'heure de la fermeture de l'usine d'incinération de Plouharnel et du choix "zéro émission", le doubler par des chaudières à gaz comme à Auray conduit là aussi à "réchauffer" la note finale !

Baisse de la température : anticiper demain et se fixer un horizon 2030 (les élus actuels ne seront probablement plus là !) pour inventer des actions vertueuses sur le territoire d'AQTA en matière de réchauffement relève du bon sens, et non de la "compétence obligatoire"...réduire de 40% les émissions de gaz à effet de serre, de 30% les consommations énergétiques et atteindre 32% d'énergies renouvelables sur le territoire, c'est croire naïvement au Père Noël ! L'énergie primaire électrique est aujourd'hui fabriquée en dehors du périmètre d'AQTA, la création de parcs éoliens doit se doubler de centrales à gaz pour éviter les coupures, la transformation du parc roulant (énergie fossile) ne peut se faire en 10 ans, que si l'on triple la fabrication d'énergie électrique… Côté logement, les actions d'isolation et de conversion vers l'énergie électrique risquent de prendre une cinquantaine d'années… Toutes ces opérations nécessitent des investissements considérables, qui ne peuvent que "réchauffer" ici encore la note à payer !

Taxe de séjour : pour financer la SPL, qui détient maintenant les Offices locaux de Tourisme, AQTA souhaite récupérer la Taxe de séjour de chaque commune. A Saint Pierre Quiberon cette dernière ne permettait pas d'atteindre l'équilibre financier de l 'Office ! Sans effort de productivité (dépenses de personnel avant tout), les mêmes causes produiront les mêmes effets. Et à la clé une hausse des impôts locaux ! 

 Le "transfert" des dépenses des communes  vers AQTA n'a rien de bon, si leur "gestion" reste aussi médiocre !

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12/07/2018

Rue Marthe Delpirou, une opération à 500 000 euros minimum !

La réunion publique du 11 juillet 2018 s'est terminée dans la confusion la plus totale !

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Après une présentation peu explicite et de nombreuses questions de l'assistance, composée de quelques riverains, la municipalité semble douter de son projet initial de voie à sens unique avec deux trottoirs, et retour par une troisième voie, le long de la Départementale.

L'enveloppe globale de plus de 700 000 euros (Conseil municipal du 28 février 2018) semble démesurée. L'opération laisserait ainsi à la charge de la commune plus de 500 000 euros pour un aménagement "paysager", un sens unique et une "boucle", qui risque de mettre en surchauffe quelques artères jusqu'ici tranquilles...

Si la sécurité demande effectivement un aménagement plus adapté (un à deux mois par an), le projet proposé impose de nouvelles contraintes aux riverains, risque de tarir le flux sud vers les commerces de la Commune et ne règle pratiquement pas les conflits entre piétons, cyclistes et voitures...

A ce prix le "sens unique" risque de faire beaucoup de mécontents !

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01/07/2018

79 Campeurs sur terrain privé à Saint Pierre Quiberon !

5 demandes de "repli" seulement…

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Après deux versions contradictoires (dans le PLU, puis lors du Conseil municipal du 3 mai 2018), l'adjoint à l'urbanisme fonde "le repli" sur des terrains "en déshérence" (dont on n'ose publier ni le nombre et ni le délai de disponibilité), qui seraient équipés (aux frais des contribuables saint Pierrois) et divisés en 12 lots de 200 mètres carrés.

Exit donc le repli sur les terrains des propriétaires de l'AFUL de la rue des campeurs, qui eux souhaitent encaisser tout simplement les "plus-values" générées par le classement de leurs terres en zone 1AUL (dixit Madame le Maire sur une question de l'opposition). On a du mal à comprendre l'intérêt général de la commune (représenté par des élus qui revendiquent ce droit) dans la réalisation d'un troisième camp de camping dans la zone du Rohu, qui ne génère aucune ressource fiscale supplémentaire, et qui risque d'abriter en supplément des résidents secondaires.

Quant à "l'urbanisme" de qualité, recherché sur toute la surface communale, comment accepter un projet de 115 chalets (avec pipi-room associé) sur des parcelles de 200 mètres carrés ?  qui devrait générer des investissements lourds de la commune rien qu'en voie d'accès…

La "deuxième étape", qui oblige elle, à acquérir un terrain est "hors de portée financière" de la commune, qui semble incapable de financer sur ses deniers une nouvelle Mairie !

L'erreur fondamentale repose sur cette modification du PLU, non justifiée par l'intérêt général, du passage de NDS en 1AUL et qui reste soumise à la censure des juges. Absence de continuité d'urbanisation et "zone proche du rivage" !

Le "bricolage" actuel met en doute "les compétences urbanistiques" !

 

 

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