Les Secrets de Saint Pierre

La présentation du "plan de zonage et cacahuètes" est repoussée à la fin du mois de juin 2016 !

Sous une signature "information mairie", l'article du Plu dans les "Nouvelles" de Saint Pierre Quiberon doit être un "faux" ! Il est très mal écrit (probablement par un technicien !) et propose un calendrier"peu démocratique" et "peu respectueux" de la réflexion citoyenne. Si l'on adhère au principe de la moule, collée à son rocher, il semble que le plan de zonage, présenté en grande pompe le 8 mai soit truffé d'erreurs (il s'agit en fait du projet de Geneviève de 2012...) et nécessite au moins deux mois pour le "virginiser" à la sauce 2014 !

N'hésitez pas à en chercher la trace sur le site de la Mairie, dans la rubrique "documents du PLU"...vous pourriez en gagner quelques récompenses de la part du Maire, ou du responsable de la communication...

Remonter l'information, qui n'est pas diffusée...ce n'est pas simple !

Une "petit papier" informe les curieux au Centre Culturel de revenir à la fin du mois...

La conclusion : un adjoint à l'urbanisme, qui n'est jamais là, des décalages permanents de réunion, de publication. Le jeu démocratique ne fonctionne pas, ici, à Saint Pierre !

Le planning de consultation du PLU doit être repoussé impérativement de 3 mois !

En cas de crise Carnac organise une réponse de proximité (Plan communal de sauvegarde opérationnel).

5 risques majeurs sont consignés par l'Etat : feux de forêt, tempête, inondation submersion, séisme et transport de matières dangereuses. Carnac y a ajouté : coupures d'eau potable, pollutions, accidents routiers, hydrocarbures...

Le Plan prévoit plusieurs phases d'urgence ! Alerte, diffusion des recommandations, poste de commandement communal, appui aux services de secours...

Créer "une culture du risque" à Saint Pierre Quiberon, car le risque existe !

Le Tire-bouchon, qui ne travaille en ce moment que pendant les fins de semaine, sème la panique sur la départementale !

Après les réflexions du Codepa, la question du coût réel du "Tire-bouchon" est dans toutes les têtes des automobilistes, qui le croisent trois fois sur la presqu'île...

Depuis la création du chemin de fer, et la montée en puissance du flot automobile, la protection des passages à niveaux est assurée, d'abord par la présence humaine (charmes de la maison du Garde-barrière), puis par des barrières automatiques, à la réputation sécuritaire, aujourd'hui contestée...

Sur la presqu'île, la question revient chaque année à la fin du mois de juin, après le passage des techniciens de la SNCF et la mise en place des barrières. Les automatismes ne fonctionnent pas pendant 9 mois, la technologie est ancienne, le matériel assez vétuste...et la probabilité d'un dysfonctionnement n'est pas négligeable...

L'immobilisme municipal (ou son désintérêt) est aujourd'hui complice !