Les Secrets de Saint Pierre

A Saint Pierre Quiberon, Le Maire convoque avant de publier le Compte-rendu de la 3ème réunion publique !

Les cartes de zonage et le règlement du PLU ne sont toujours pas arrêtés aujourd'hui, ni portés à connaissance  du citoyen communal par affichage ou par site internet de la Mairie !

Les délais administratifs de réflexion des conseillers municipaux ne sont pas respectés...

Les réponses, à des lettres recommandées de légitime protestation, ne sont pas envoyées !

La gestion de la Mairie de Saint Pierre Quiberon ressemble à celle d'une république bananière !

Entre arrêté préfectoral et pouvoir de police du Maire, la liberté des uns se heurte à la liberté des autres !

Cette question est posée sur la plage du Port d'Orange en 2016, avec l'arrivée d'un trampoline (mal autorisé par le Conseil Municipal de SPQ) et d'un loueur de "cata" et de planches... Tout au long de l'été 2016, le premier impose une clôture "carrée" sur le bout de plage, qui fait partie du domaine maritime ! à deux pas de la station de relevage aux bonnes odeurs en cas de chaleur !

Aujourd'hui les deux acteurs ont rangé leur équipement et sont partis !

A Kerbourgnec la cabane du "tennis club" ne plait pas au "bar" du Club de voile, ni d'aileurs au" Resto" du petit Saint Pierre, qui est à un kilomètre !

Pareil avec l'utilisation de l'Eglise et de son Orgue, pendant la saison d'été !

Après une coupure "normale" entre Mairie et l'Association "Loisirs et Culture", voici que "les Saint Pierroises", créées en mai 2016, exercent un monopole d'utilisation sans faille, par l'entremise de son Président, adjoint à l'urbanisme ! L'organiste "Le Bourlot" fut ainsi rayé de la carte de l'été 2016 ! Concussion, excès de pouvoir, monopole de fait...

A Saint Pierre Quiberon, ça sent le "béton" et les mauvaises odeurs !

La "maladie verte" gagne du terrain sur les îles du Ponant !

Déjà, protégées souvent de la "sur-circulation automobile", les îles souhaitent leur indépendance énergétique !

Les projets, les plus "dézingués", sortent des tiroirs, quelque soit le coût... ils se heurtent à l'éternelle question du "stockage" de l'énergie (notamment électrique), qui est résolu dans un pays comme la France, par l'interconnexion des réseaux et une régulation de l'offre en fonction de la demande (nucléaire, hydro-électrique, gaz et charbon...).

Le "Robinson" est seul sur son île ! Il ne veut pas prendre sa douche à midi, s'il y a du soleil...ni boire son café, lorsqu'il fait jour. Les hydroliennes, sensibles à la marée, ajouteraient une troisième composante énergétique, avec un alternat, qui se moque du soleil, mais non de la Lune !

Consommer immédiatement, ou "stocker" ? pas évident, quand on sait que le passage de l'un à l'autre coûte entre 20 et 40% de "pertes" dans le processus !

Le coût de "l'indépendance", c'est 3 fois le coût d'une énergie "importée" et même beaucoup plus, si le stockage est implanté !