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07/01/2011

Bout au vent !

Laurent Gascard, de Presqu'île Immobilier
Ouest France du 7 janvier 2010
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Nous avons fait une très bonne année 2010 avec en particulier une très bonne avant saison. Nos ventes sont de plus en plus hétérogènes et nous devons avoir un panel d'offres qui s'y adaptent. Par exemple, il y a peu, sur une centaine d'acquéreurs, la moyenne des biens recherchés oscillait entre 300 000 et 450 000 euros. Aujourd'hui, c'est entre 80 000 et 1 200 000 € !

Ma clientèle principale ? Les « Papys Boomer » : ils ont entre 50 et 55 ans, approchent de la retraite et veulent acquérir un bien pour s'y installer. Le classique étant une maison avec du terrain autour de 300 000 €. Nous avons aussi beaucoup de demandes de terrains à bâtir. Ces derniers se vendent en moyenne à 200 000 €. Vous y ajoutez une maison de 100 m2 autour de 150 000 € et vous avez un bien neuf d'une valeur de 350 000 €. » Les clients viennent principalement de Bretagne et de région parisienne. Nous avons aussi de plus en plus de Belges.

La chose qui est radicalement différente aujourd'hui c'est la notion de juste prix. Les clients connaissent notre métier et le prix réel des biens. Mais le prix de vente reste finalement identique. Un exemple : en 2005, une maison mise en vente à 400 000 € se négociait à 360 000. Aujourd'hui, cette même maison sera mise en vente à 370 000 € et négociée à 360 000 toujours ! Une maison proposée à sa juste valeur ne reste pas plus de 6 mois en vente sur la Presqu'île.

Autre certitude, l'immobilier sur la commune reste un bon placement : les prix vont continuer d'augmenter et d'ici 20 ans, les biens auront pris au moins 20 % d'augmentation.

Marie Noëlle Ansquer, de Face à la Mer Immobilier
Ouest France du 7 janvier 2010
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Pour nous, 2010 est une excellente année. Notre agence n'a que peu de biens à proposer, contrairement à d'autres.

Mais nous avons une clientèle haut de gamme qui veut un type de produit très précis. Cette clientèle est Versaillaise à 80 %. Ce sont de vieilles familles qui sont installées ici depuis fort longtemps et qui, les enfants naissants et la famille s'agrandissant, souhaitent acquérir des biens plus spacieux. Je travaille beaucoup sur le relationnel. Les clients me sont envoyés par d'autres ou par des amis.

Nous ne proposons que de belles maisons, dans des quartiers précis : Kéraude, Kerbourgnec, le Rohu... Nos premiers biens sont autour de 350 000 € et les prix peuvent monter très vite. Nous avons récemment vendu une maison à Keraude, à 600 000 € et sans emprunt. Nos clients veulent de jolies plages car ils ont souvent de nombreux enfants.

La limite ? La route départementale. Nous avons, à Saint-Pierre, une rive gauche et une rive droite. Dès que l'on passe côté ouest, les biens perdent entre 30 et 40 % ! Le bon bien doit être au bon emplacement et au juste prix, alors il part très vite car il y a plus de demande que d'offres ! Et la flambée des prix est loin de s'arrêter !

Les gens qui ont acheté un bien ici il y a dix ans et le revendent peuvent doubler leur mise ! Mais ce n'est pas fini. Un bien aujourd'hui à 300 000 € en vaudra 500 000 à 600 000 € dans quelques années !

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Le poids Des Impôts et charges en tout genre !

Voeux de la chambre de métiers, création d'un pôle de coiffure
Télégramme de Brest du 7 janvier 2011
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Lors de ses voeux, le nouveau président de la chambre de métiers et de l'artisanat, Olivier Le Couviour, s'est d'abord félicité de l'amélioration du statut des entreprises artisanales qui peuvent désormais avoir le statut d'entreprise individuelle à responsabilité limitée. «Cela permet à un artisan de protéger son patrimoine personnel en le distinguant de celui de son entreprise», a rappelé Olivier Le Couviour.

Reforme du statut d'auto-entrepreneur
Pour 2011, le président de la chambre de métiers a indiqué que «le combat pour la réforme du statut d'auto-entrepreneur allait continuer, car ce statut constitue actuellement une concurrence déloyale pour les artisans». Il a ainsi précisé que, depuis sa mise en place, le nombre d'entreprises artisanales avait baissé: 737 créations en 2010. «Or, depuis le 1eravril 2010, 1.200 déclarations d'auto-entrepreneurs ont été enregistrées dans le Morbihan, dont 460 ayant une seule activité artisanale principale». Olivier Le Couviour a rappelé que la chambre de métiers formait 1.500 apprentis. Il a annoncé qu'un pôle de coiffure moderne allait être créé et que l'atelier mécanique automobile allait être rénové.

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06/01/2011

Le "grand public" en avance !

74% des employés branchent leurs gadgets au réseau de l'entreprise
Sécurité
LMI du 5 janvier 2011 - par Serge Leblal avec IDG NS
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Juste après Noël, les services informatiques sont débordés par tous les employés qui exhibent leurs nouveaux terminaux mobiles au bureau.
Selon une étude réalisée pour le compte de Virgin Media Business, près de 3/4 (74%) des salariés ont apporté et connecté au réseau de leur entreprise les terminaux mobiles qu'ils ont reçus à Noël. Les recherches commandées par le fournisseur révèlent que 40% de ces employés ont branché leurs gadgets personnels, tels que des iPad et les smartphones, sans l'autorisation des services informatiques.

Mieux encore, les employés travaillant dans le secteur public britannique sont les pires contrevenants. 79% des travailleurs de la fonction publique ont apporté leurs gadgets au bureau. « Les limites entre ce qui est un gadget et un outil de «travail» est encore très flous pour bon nombre de salariés. Il existe deux principales préoccupations pour les entreprises. Tout d'abord, c'est empêcher que les données de l'entreprise puissent être volées ou utilisées ailleurs que sur le réseau de l'entreprise et éviter que la capacité du réseau soit saturée par ces nouveaux gadgets », a expliqué Andrew McGrath, directeur général chez Virgin Media Business.

Accompagner la multiplication des équipements

« Ignorer la hausse prolifique des gadgets personnels dans le monde du travail n'est tout simplement pas une option. Les entreprises doivent prendre des mesures dès maintenant avec des politiques d'utilisation bien définies et éduquer les employés afin qu'ils comprennent clairement pourquoi ces pratiques clés ont été mises en place. »

Andrew McGrath assure que lorsque les employés sont sensibilisés à ces principes, ils pourront aider l'entreprise à maitriser la prolifération de ces gadgets pour garder confidentielles certaines informations et éviter de saturer la bande passante. « Une fois les règles de base fixées, les entreprises sont libres d'adopter pleinement les nouvelles technologies et profiter de tous les avantages qu'elles offrent » conclut-il.

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