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13/03/2013

Quel développement économique ?

La mort des "syndicats mixtes", vive les SPL...

Quiberon a nettement plus de moyens que Saint Pierre ! Et pourtant pour l'aménagement de Port Haliguen, elle renonce à ses prérogatives de droit...

Etrange situation, où la commune a dépensé en investissements coûteux pour l'aménagement de l'avenue du Général de Gaulle, la rue de Verdun et la place du Varquez. Elle n'a plus rien à offrir aux habitants de Port Haliguen, aux usagers du Port, qui attendent depuis 10 ans un "désenvasement" indispensable.

Afin de préparer 2014, l'équipe actuelle a trouvé une "solution financière" et une solution technique à "zéro euro". Passer la main à la SAGEMOR, transformée pour l'occasion en SEML, qui d'aménageur de Port devient un "aménageur public délégué"...

Le risque est de perdre la confiance des électeurs, qui se méfient des solutions technocratiques à la SAGEMOR et de se trouver "en tutelle", alors que le rôle de la Commune est de répondre aux besoins des habitants.

La perte de "pouvoir" pourrait se révéler une "erreur politique ! Port Haliguen a besoin d'un aménagement plus ambitieux que celui proposé par les "chromos" exposés près de la Capitainerie. Certes on gomme l'urbanisation en tôle laquée, qui est un scandale en pays breton, on comble une ancienne belle plage, et on désenvase "à terre"...

Mais quid du "parking", qui déshonore Port Haliguen, de l'ancien port dont le charme est bien supérieur à ceux du Numéro I et II, du cul de sac routier, dont les évolutions sont dans les cartons depuis 20 ans, des immeubles "carrés" et de la Colonie de vacances, qui ont remplacé le "Château rouge"...

A force de "jeter des millions d'euros" dans d'autres projets, la Ville "abandonne" Port Haliguen aux gestionnaires de la SAGEMOR...

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17%, un chiffre à peine croyable...

Nos communes ne font aucun effort "pour les entreprises" ! A Saint Pierre, zéro pointé !

En douze ans de mandature qu'a-t-on fait à Saint Pierre Quiberon pour l'emploi ?

Rien, les décisions de notre Conseil municipal pour moitié s'occupent des "avantages" des municipaux...un emploi "artificiel", qui passe la moitié de son temps dans les "campings municipaux"...

La circulation, le passage en Centre-ville d'une route départementale, l'entretien des chaussées communales sont des "arriérations" fondamentales de notre commune. Des organismes, comme La Poste, qui ont une vue globale des "affaires", se retirent de la Commune : suppression des tournées à partir de SPQ, réduction des horaires du Bureau...

Le pire est à venir : le 15 avril 2013, date des déclarations fiscales des agents économiques...



Les projets de construction d'une nouvelle Mairie, alors que l'on regroupe les communes en Communautés, sont débiles sur le plan économiques. C'est ainsi que l'on stérilise les fonds communaux, attribuables à des soutiens aux activités économiques, dans une Médiathèque, un gymnase dans les poireaux, un Cocon de la Baie, un Office de tourisme (coquille vide et inefficace)...

Rien n'est préparé pour l'avenir économique : les fourreaux pour la "fibre" sont inexistants, alors que l'on a privilégié Penthièvre dans l'ADSL pour aucun emploi nouveau !

Madame G devrait partir avant 2014 !

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11/03/2013

L'enfermement "presqu'îlien" de la jeunesse...

L'emploi "saisonnier" n'est pas une fin en soi !

La folie des responsables locaux est responsable de la "désertification" de la presqu'île : maires, mission de l'emploi du Pays d'Auray, la future grande communauté...

Le créneau "très court" du 14 juillet au 15 août de chaque saison, où l'emploi peu qualifié est mal payé, est la seule vision de l'emploi entre Carnac et Quiberon, un crime contre toute la jeunesse du monde, qui recherche stabilité et vision à moyen terme pour s'installer...

L'installation d'activités pérennes doit remplacer cet opportunisme d'activité... de ce côté là, l'ENVSN est un modèle "étatique" du genre, qui dure depuis 1960, une forteresse de 82 emplois "sarcophagisés", inaccessibles aux locaux et n'ayant aucune connexion avec ceux de la collectivité locale...

Nos élus sont les "matons" de cette prison virtuelle de notre jeunesse !

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