05/06/2017
Le "profilage" de vos données personnelles est un véritable "business" !
Cette valorisation est "concentrée" aux Etats Unis, chez les "Gafa", rapporte énormément et revient en général sur votre messagerie en "messages commerciaux" !
Le raffinement des procédés s'amplifie, le contrôle devient quasiment impossible à imposer, la vitesse de "retour" est de plus en plus vive.
Résultat aujourd'hui sur une messagerie standard : un message sur deux est "une proposition commerciale" non souhaitée, qu'il faut stopper par une action sur la "désinscription", quand elle est accessible...
La liberté est ainsi gravement entravée, car la revente de vos données personnelles est une question de "fric", d'intérêt commercial et en général du choix du meilleur enchérisseur...
Un clic, une recherche, une lecture, un mail deviennent ainsi "gratuitement" une matière première, véhiculée à la vitesse de la lumière, associée à une adresse "IP", revendue rapidement avec d'autres éléments, qui permettent de "proposer" presque automatiquement !
Le "destinataire" est aujourd'hui désarmé, car les logiciels "anti-spam" n'arrivent pas à filtrer efficacement les messages indésirables...
La contre-attaque contre ce "business" est inévitable ! Europe, France, logiciels efficaces ?
La "tranquilité", un concept oublié de nos urbanistes et de nos élus locaux !
Saint Julien, vieux village modèle pour la réalisation du Briellec 3, tremble devant la localisation de conteneurs enterrés !
Le système de collecte des déchets ménagers connaît des "allers-retours" techniques depuis la guerre. Les Eco-stations, où l'apport est volontaire, sont chassées par la poubelle standard à roulettes, enlevée par des camions collecteurs. Aujourd'hui, le conteneur "enterré" redevient une solution plus économique, mais sa localisation en zone urbaine pose à nouveau la question de l'impact de cet équipement sur le voisinage : odeurs, circulation automobile liée, désinfection de l'installation...
Etre près de chaque habitant concerné, être loin pour ne pas le gêner !
Mêmes préoccupations pour la localisation d'une déchetterie, qui collecte aussi les déchets ménagers, la localisation "d'un parking" et d'un "mât" Télécom.
La multiplication des investissements d'infrastructure met en cause le concept de "propriété privée" et d'une gestion de "bon père de famille" ! A Saint Cado, les élus ont franchi "la ligne rouge" de la bande des 100 mètres (1986), tout en l'appliquant aux postulants d'une autorisation de construire... une décision, que la Cour administrative de Nantes refuse de sanctionner aujourd'hui ! Drôle de jurisprudence "en vue" !
Tranquilité, tranquilité...pourtant un élément essentiel de la vie en société !
04/06/2017
Penthièvre, village à l'abandon...
En dehors de la départementale (et déjà l'attraction naturelle n'est pas présente), le "front de mer", si beau, n'est plus entretenu !
Côté Baie de Quiberon, au droit du Domaine de la presqu'île, les renforts côtiers sont effondrés sur plus de 50 mètres, laissant ainsi une brèche importante pour l'entrée d'une éventuelle vague de submersion sur la partie Est de Penthièvre. Un arrêté municipal de février 2017 interdit tout passage...
Le Boulevard de l'Océan, lui, est devenu l'ombre de lui-même, pratiquement jusqu'au droit de l'Hôtel des deux Mers. De nombreuses maisons sont rénovées, mais comme au petit Rohu, les protections en traverses de chemin de fer sont malades, le chemin "bord de côte" non entretenu, la sable présent partout ! Le "carré Jean Bart", qui était animé par la brocante du Homard, est doté de deux superbes courts de tennis, vides, dont la gestion dépend du camping municipal à 800 mètres de là !
Ici, on perçoit encore les "belles ambitions" du début du siècle, décrites par une affiche en salle de Conseil municipal. De belles plages de sable blanc...mais le reste fait penser plutôt à la misère et la désolation...
Installer "la fête nautique 2017" dans l'extrémité Sud de Penthièvre, près du Beach Bar, est dangereux, car il n'existe aucun passage pour traverser "la départementale" un samedi de Pentecôte, inviter un "Food Truck" près du Beach Bar est une faute majeure, car les commerçants de Saint Pierre font vivre la commune, déposer 400 mètres de barrières métalliques dans le sable pour cheminer vers des WC, une véritable hérésie et un manque d'organisation (face à la location d'un groupe électrogène pour l'alimentation électrique de la sono !).
En bref ! dépenser "dans le provisoire" n'est pas sérieux, dans l'état actuel de Penthièvre et de ses besoins en investissement de base (dispositif d'alerte de submersion, protections marines, réseau électrique de secours).
Penthièvre mérite mieux qu'un village de toile d'un samedi !