17/05/2017
Les entretiens d'embauche "En Marche"... en politique, le choix n'est jamais évident !
Nord du territoire et "terres agricoles", contre Mer et stations balnéaires ?
A l'épreuve des prochaines législatives, la division du territoire d'AQTA entre deux communautés très différentes marque le territoire, les problèmes à résoudre, ainsi que le choix du "bon candidat"... cette ambiguïté résulte de la création obligatoire de communauté de communes, puis de l'évolution de la construction "crypto-administrative" d'AQTA, qui est aujourd'hui "tiraillée" entre "les campagnes", le centre industriel d'Auray et les communes de la côte... avec des soubresauts sans solution entre caractères forts et suiveurs !
Philippe Le Ray, agriculteur et homme du Nord, n'a pas su trouver le bon équilibre dans cette communauté diverse et attirer derrière lui les "hommes de valeur", qui refusent aujourd'hui de se laisser enfermer dans une vision "passéiste" du territoire. Le trio "Auray, Carnac et Quiberon" doit prendre le pouvoir, au nom de la majorité des populations concernées et dans le sens d'une économie moderne et représentative.
En ce sens, "En marche", avec sa vision "start-upienne" de l'embauche, commet sur le territoire une grave erreur de choix, avec un candidat, qui ne correspond pas du tout aux critères établis !
Deux jours pour trouver et installer la nouvelle étoile "macroniste" ! C'est très court...
12/05/2017
En Marche "arrière" ?
Dans la deuxième circonscription du Morbihan, un candidat de la "société civile" ?
Comme à Vannes, il se pourrait que le candidat proposé ne soit pas le bon !
Ancien socialiste, retraité de la SNCF, Gérard Pillet ne semble pas répondre aux critères de sélection des équipes Macron à la recherche de jeunes loups...n'ayant aucun mandat...
Décidément, le choix entre le député sortant et ce Macroniste ne fera pas vibrer les foules !
Comme notre député, le CODEPA change de veste !
Le manque de vision d'anciens de la SNCF sur le trafic Auray-Quiberon...
Les progrès rapides des véhicules autonomes (voiture et bientôt minibus), la répartition actuelle du trafic presqu'ilien (90% par la route), le caractère "saisonnier" du trafic ferroviaire, le coût actuel du maintien de l'exploitation du "tire-bouchon" (1 million d'euros par an, financés par la Région Bretagne) conduisent tout simplement à supprimer la voie ferrée unique actuelle au profit d'un recalibrage du réseau routier...
Le terre-plein est probablement une "chance" pour la création d'une voie verte, dédiée aux transports doux... tant réclamés par les élus et les habitants de la presqu'île.
Les autres hypothèses, échafaudées depuis une décennie par les inconditionnels du "fer", relèvent de l'aveuglement et du manque de vision des problèmes quotidiens !
La presqu'île a d'autres ambitions que de vivre au siècle de Napoléon III !