02/10/2011
Riche ou pauvre ? c'est un choix...
Si vous avez le choix, il faut peut-être s'installer aujourd'hui rapidement à Quiberon ?
Saint Pierre et Quiberon sont voisines, mais gérées fort différemment ! Les bons choix économiques de Quiberon se révèlent payants à terme pour ses habitants... La continuité et des décisions cohérentes consolident la Zone d'Activité "Plein Ouest", qui sera désormais reliée à l'axe départemental par le Nord, puis peut-être par la future voie rapide Quiberon-Auray ! Saint Pierre pourra ainsi regarder passer les 42 tonnes devant son Centre Cuturel d'ici un an !
Les recettes du seul Casino représentent le budget d'investissement annuel de Saint Pierre, finançé, lui, par l'emprunt !
Les moyens de Quiberon permettent de mettre sur pied de véritables projets d'urbanisme au service de ses habitants et d'envisager des infrastructures commerciales modernes, aspirateurs de tous les habitants de la presqu'île...
Si la "pauvrette" Saint Pierre ne veut pas épouser le "riche" Quiberon, la question de "l'émigration" devient fondamentale !
Madame G et Michel Le Scouarnec ?
Les couples "en politique", des affinités politiques ?
Les voyages de noce prennent souvent la direction de Venise ! Pour madame G ce sera plutôt désormais la rue Bonaparte... aussi bizarre que celà puisse paraître, direction le Palais du Luxembourg ...
Plus sérieusement peut-on aujourd'hui discuter avec le Préfet d'abord, puis avec le député local dans le bureau d'un ministre de la République de la consistance du Plan de subversion marine de Carnac Plage ? Les informations sont évidemment confidentielles, mais le Plan de Prévention des Risques proposé par le Préfet doit être assez rigoureux, puisque Monsieur Bruneau, qui n'est pas le Zoro du Pays d'Auray indiquait qu'il serait difficile de construire désormais à Carnac entre les alignements et la Plage ! Une association de citoyens en colère (encore un groupe de pression en pleine démocratie locale) est prête à mouiller son maillot de bain en pleine nuit pour aller secourir les pauvres propriétaires, qui ont construit avec l'accord des municipalités de Carnac au raz des flots !
Ici, à Saint Pierre, plutôt à Penthièvre Madame G, qui ne parle pas trop de son PPRS, est bien seule. Ses relations avec Michel Grall sont froides, alors qu'elle est fort proche de l'autre Michel ! Miracoulo ! Il est maintenant "sénateur" de la République !
L'ouverture en politique est donc toujours possible : qui sait attendre et voyager peut gagner "gros" ! Au fond on parle beaucoup de "vague rose" au niveau national ! Cette dernière pourrait peut-être servir à endiguer "la vague locale" ?
01/10/2011
Tablettes, liseuses et Cloud
Un nouveau monde informatique est né ! Terminaux "bas prix" , non PC et Clouds interconnectés !
Steve Jobs lors du lancement de l'Ipad1 avait annonçé la fin du PC. Deux ans après on commence à apercevoir un autre monde, celui des tablettes interconnectées au Cloud privé d'Amazon !
Depuis le lancement du Web on est habitué à un monde multi-polaire, où les informations sont créées par de nombreux acteurs dans de nombreux pays. Ce monde est tellement vaste que les moteurs de recherche comme Google deviennent vite indispensables. Les technologies sont bien standardisées, necessitant des ressources sur serveur et un navigateur efficace. Les fournisseurs de service sont également nombreux et les technologies "propriétaires" se plient aux standards.
L'arrivée de "navigateurs" de dernière génération sur smartphones et tablettes autorise des applications plus audacieuses que le simple butinage. Dès lors que les liaisons avec plusieurs Clouds est possible le développement de véritables chaînes applicatives est réalisable !
Fini, le passage obligatoire par un PC motorisé par Windows, par des applicatifs Office et retour au développement centralisé sur serveur ! Amazon vient de nous donner une première image d'un "nouveau monde informatique", où le coût du terminal universel est en forte baisse !
N'est-il pas opportun de revoir les politiques d'équipement informatique de l'Etat, des collectivités locales et pourquoi pas de l'Education nationale ?