Les Secrets de Saint Pierre

Les camps de camping de "grand-mère" sont obsolètes !

Dans la course à la "modernisation" et "à la montée en gamme" , les camps de camping municipaux de Madame G sont en queue de peloton. Pendant l'hiver, une fois les "cabanes" refermées, plus personne ne s'occupe de travaux d'amélioration... La "transe" risque de reprendre, lorsque le jour de l'ouverture 2013 s'approche... avec la course aux places, comme un lâché de taureaux dans les rues de Pampelune !

La mutation des touristes est en route ! La "caravane", un peu rouillée et défraichie, laisse la place aux camping-cars "modernes"... et pendant ces années paresseuses, rien ne se fait à Saint Pierre pour s'adapter à cette nouvelle clientèle, plus exigeante et plus mobile !

Une société de Pornic est en train d'en faire son business !

L'émir n'a plus qu'à s'inscrire à la "Confrérie des Chauves de Bretagne !

Sortir de ses compétences est le plus sûr moyen d'écrire des "âneries"...

Après un blog sur le "Très haut débit à Kerhostin", voici que l'émir repasse les plats avec l'annonce du Plan Gouvernemental sur le THD... Le progrès, même si les faibles d'esprit ont du mal à le maîtriser, est indéniable. Multiplier par 50 les débits dans toute la France, c'est transformer petit à petit l'aménagement du territoire, et donc promettre un autre avenir aux habitants de la presqu'île...

Ce qui est contestable par contre, c'est l'inégalité de traitement entre les zones denses (un fait acquis) et les déserts peu habités... au fond qu'un gouvernement de Gauche propose l'inconcevable sur l'égalité des chances est inouï !

L'émir a quelques raisons de s'inquiéter : le changement des mentalités est moins rapide que celui des technologies...

La "Confrérie des Chauves de Bretagne" a encore quelques belles années à vivre !

Le basculement vers la lecture numérique élimine les "vieux métiers" !

Les nouveaux "usages", la baisse de prix des tablettes, la simplicité du tactile, la richesse des bibliothèques numériques sont en train de bousculer les habitudes héritées de la lecture du livre.

Le libraire, qui détenait un savoir spécialisé et un stock "original", est concurrencé par ces bibliothèques numériques, qui n'ont plus aucune "localisation" pour le lecteur... la seule restriction aujourd'hui dans ces nouveaux modes de lecture est l'absence de normalisation des formats de lecture, qui rend le lecteur totalement dépendant de son fournisseur... l'universalité du choix est donc une perte considérable !

Ce qui retient aujourd'hui le lecteur de livres, c'est souvent l'absence de copie "numérique" de l'œuvre recherchée. Un comportement terriblement fautif de nombreux éditeurs français, qui freinent pour un temps la sanction finale...

Le livre risque donc d'être, dans les décennies à venir, une denrée encore plus "rare" !