16/02/2015
Presse locale, rentabilité difficile ?
Le Télégramme se diversifie pour gagner sa vie !
Avec la concurrence de l'internet gratuit, vendre un "papier" de chiens écrasés, avec portage à domicile est une "galère" ! et surtout ne permet plus de gagner assez pour assurer le renouvellement des investissements...
La migration du Télégramme vers un journal Internet est une opération délicate pour une organisation "ringarde", baignant dans le papier depuis des lustres, les sous-officiers locaux chargés d'interviewer "les grosses légumes, les journalistes de terrain, à la recherche du "scoop" local et dont les soirées sont meublées par tous les spectacles locaux.
Le service "dématérialisé" ressemble ainsi à une copie "d'étudiant", mal fagotée et peu avenante !
Les "blogs hébergés" ont reçu congé le 31 décembre 2014, probablement pour raison d'économie.
La diversification est donc la "porte de sortie", vers l'évènementiel "marin"...et les bénéfices !
Dure potion pour l'activité "Presse", qui est la base du métier du "Télégramme de Brest"...
QIVIVO...
L'économie d'énergie (qui est devenue coûteuse) est un gisement d'avenir...
Saint Gobain propose donc aujourd'hui à ses clients ses rouleaux d'isolant et un thermostat intelligent, d'origine nantaise.
Le pilotage à distance est prévue d'origine en compatibilité IOS et Androïd, et PC...
Une analyse intelligente des évènements et des comportements (présence, habitudes de vie, couplage des actions) est en supplément !
Il permet ainsi de diagnostiquer des anomalies d'isolation et de mieux prévoir des travaux de rénovation !
Service compris !
Resonsabilité de l'architecte ? L'apport numérique masque la question...
Rudy Ricciotti, architecte brillantissime, ingénieur et artiste, Marseillais et Pied-noir, gouailleur du béton armé ...
Aux Techdays 2015 de Microsoft, les invités sont plutôt "costume-cravate"...Rudy, lui, aime la décontraction ! et ile fait savoir...
Comme ingénieur il adore les logiciels sophistiqués pour créer des toitures en aile d'avion, des voiles de béton à l'improbable courbure, les architectures, qui ignorent définitivement la ligne droite... oui, mais jusqu'à un certain point...
En cas de pépin, qui est responsable ? le "logiciel" ou l'architecte ?
Ses œuvres récentes : le Musée Cocteau à Menton, qui est un étrange mille-pattes, et le MUCEM à Marseille. Le dernier est une œuvre à 300 millions d'euros, tant il est compliqué de déménager les Musée des Arts et Traditions populaires du Jardin d'acclimatation ...Le Musée Cocteau est un très bel écrin, mais le contenu est vide... comme au MUCEM...
La conclusion se trouve non pas aux Techdays, mais dans une annexe du Rapport de la Cour des Comptes 2015 !