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18/01/2013

Immobilier, de l'eau dans le gaz ?

La "loi Duflot", enfin validée par le Conseil Constitutionnel, prévoit une "intensification" de la construction sociale !

Saint Pierre Quiberon n'est pas concernée par cette mesure emblématique, ainsi que les communes de moins de 3.500 habitants (au sens INSEE ou électoral ?). De toute façon l'échéance d'application est encore loin : 2025 ! Entre temps Madame Duflot ne sera plus ministre du logement et la Gauche aura quitté le "navire France"...

L'idée de construire des logements sociaux à la place de logements "tout court" relève d'un bon sentiment à la base...mais, qui dit social, dit bas prix, avec le raisonnement que le prix du "foncier" suffirait, s'il est bas, à faire baisser le prix du logement terminé...

Aujourd'hui avec les normes techniques "BBC", qui deviennent obligatoires, le coût de la construction augmente mécaniquement de 20 à 30%. Avec les faibles ressources des futurs clients sociaux, la construction est entièrement financé par crédit bancaire (avec la caution de la Commune concernée) sur des durées fort longues (30 à 35 ans). Avec la hausse des prix des différentes prestations (béton, charpente, châssis fenêtre, main d'œuvre) les constructeurs-promoteurs sociaux, en général des sociétés d'économie mixte, rencontrent de gros soucis avec le dépôt de bilan des sous-traitants et leur équilibre financier...

Résultat : une fragilisation progressive de la branche "immobilier" classique, qui travaille au ralenti !

Le "social" est en train de noyer "l'immobilier" tout court !

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Délires et gâtisme ?

La fin d'une mandature, l'absence de mesure et le naufrage final ?

Madame G révèle ses projets 2013 en priorité aux "employés municipaux"...

Pour justifier son attachement à la grande Communauté, où elle vise un strapontin d'élu communautaire, elle masque les effets de la future ComCom sur les effectifs municipaux de Saint Pierre. Il est bien évident, que les compétences exercées par la ComCom ne le seront plus par la Commune... avec pour conséquence une diminution assurée (et souhaitable) des effectifs municipaux à Saint Pierre. Drôle de façon de leur présenter ses vœux les plus cher...

Quid d'une future Mairie aux clochetons dorés dans cette vision du futur ? Comment peut-on "charger" les finances d'une commune pauvre pour le "confort" d'une dizaine de salariés et d'une poignée d'élus, qui sont présents une journée par semaine... Sans dépenser un sou, une meilleure organisation informatique (on ne fait aujourd'hui que changer le matériel...) avec du personnel compétent permet de réduire les effectifs de moitié, avec des élus travaillant à leur domicile avec une informatique "à jour" !

Délires de l'âge, ambitions départementales brisées dans un imbroglio cocasse, faiblesses de la formation informatique et de la gestion de groupe, voici les dangers d'une "fin de règne" !

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16/01/2013

Les retraités, vache à lait ?

Les options économiques du traitement des déficits des régimes complémentaires sont scandaleuses !

Les défilés à Paris pourraient bien concerner bientôt les retraités ! Les "gays" sont mieux traités en France que les "petits vieux" ...

Dans les promesses de notre Président, les régimes complémentaires (ARRCO et AGIRC) n'abritent que des "riches" ! Au delà du régime de la sécurité sociale, dont la pension mensuelle maximale est aujourd'hui de 1.442 euros, le supplément est "probablement" superflu !

La course annuelle d'augmentation du plafond de la Sécurité sociale, qui permet d'augmenter les recettes du régime ordinaire, rétrécit d'autant les recettes des régimes complémentaires. Son taux d'augmentation est en général un excellent "marqueur" de l'inflation réelle des prix !

La gestion "privée" de l'ARRCO et de l'AGIRC est aujourd'hui sur la corde raide, car le chômage grandissant les prive de recettes supplémentaires...

En réduisant le taux d'augmentation des retraites à 0.3 %, ou en ne pratiquant aucune indexation on conduit les "retraités" vers un appauvrissement inexorable, paradoxe d'une France, qui a beaucoup travaillé au profit de ceux, qui ne "bossent pas" !

Le scandale actuel est de préparer ces mesures "en catimini"...

Refusons la "spoliation" insidieuse et réclamons l'indexation des retraites sur le montant du plafond ! Une juste rétribution des travailleurs, qui ont fait beaucoup plus que les 35 heures d'aujourd'hui !

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