07/04/2012
"La Presse" ?
A quelques siècles de distance, la "crucifixion" du Père François...
Ou l'art d'avaler sa cravate, avant de s'étrangler...
Pendant le Conseil du 6 avril les débats ont été "très animés" lors de la présentation de 2 bordereaux.
Comme dans un office religieux, la litanie "des petites affaires", les emplois saisonniers, les chèques "restaurant", les impayés, le soutien aux associations, le "coûteux Office de Tourisme, les pompiers volontaires pour la surveillance des plages, le financement du CCAS, les erreurs du précédent Conseil a permis d'entendre des aphorismes "souvent répétés" : le "couper-coller" des informaticiens amateurs, les erreurs de virgule, les dates farfelues. Bref, le résultat systématique de la mauvaise préparation des réunions du Conseil...
Bien entendu Madame G, en démocrate exemplaire, demande un vote sur l'ajout d'un bordereau, parvenu par mail chez les conseillers : l'autorisation de "défendre" dans un litige devant le Tribunal administratif de Rennes, sur l'attribution d'un permis de construire, délivré par les services. La "fumée" est tellement épaise, que Madame G, devant les questions "affutées" de l'opposition, n'a pas voulu débattre du "fond", le dossier étant consultable par "les élus"... Gégé, adjoint à l'urbanisme, était à peine audible... Bref, une "sale affaire", qui mérite des explications !
Sommet de la drôlerie : la décision "d'archiver" en 6 étapes, présentée par Madame G, experte en la matière dans sa carrière antérieure, car les salles sont "pleines"... L'opposition, très en forme, lui a demandé d'attendre la création des nouveaux locaux de la Nouvelle Mairie... Ce bordereau risque d'entrainer des dépenses non négligeables lors de la deuxième étape... Conclusion : les "process" de travail en Mairie sont tellement "archaiques" qu'un "archivage numérique" n'est pour l'instant pas envisagé !
Après les nombreuses questions de "Bécassine" au cours de ce Conseil, qui agacent notre premier magistrat, arrive l'heure de la déclaration "finale" du Père François : pas en forme, sans aucun humour il attaque "La Presse", présente au Conseil, sur "le nouveau sens" imposé à nos concitoyens dans le bourg de Saint Pierre...
La "concertation" avec les agents économiques se termine par un "oukaze" municipal : ça passe ou ça casse !
On verra "après la saison"...
La Presse, un "vrai" contre-pouvoir en démocratie ! Ce blog y contribue...
05/04/2012
L'échec de la "décentralisation" ?
Les maires sont tous "des vedettes"... Le budget ? une nécessité !
Françoise Evanno à la langue souvent acérée ne cache plus son agacement ! "Chacun pour soi", serait la caractéristique des actions pour le tourisme en Pays d'Auray.
A l'heure des grandes mutations du marketing touristique, avec l'apparition d'outils très pointus en informatique, on embauche "des petites mains" dans les Office de la Côte...
Saint Pierre Quiberon, dont l'association avec Quiberon était le symbole de l'unité de la presqu'île, ouvre son propre Office, avec un budget de 179.000 euros ! deux fois plus que le budget alloué aux routes... et trois fois plus que le partage des dépenses de l'Office de Quiberon...
Dans une commune "pauvre" on fait des "choix" budgétaires, totalement irrationnels. Madame G fustige la "RGPP" en réunion, elle devrait regarder de plus près les dépenses engagées sous son deuxième mandat.
Le "Bling-bling" s'est installé à Saint Pierre, alors que les besoins de base des concitoyens ne sont pas financés...Le "sous-développement" de notre Cité est en marche !
04/04/2012
L'intérêt général ?
A Saint Pierre le Conseil municipal est "sourd", comme d'habitude...
La démonstration "par l'absurde" est certainement la solution. Rappelons quand même les sommes englouties sur l'argent des concitoyens dans "la boite à outils" de Madame G. il y a trois ans...
Que disait ce cabinet d'experts ? qu'à Saint Pierre il n'y a ni structure, ni centre-ville . La rue centrale est, et a été, un moyen de communication entre Kerhostin et Quiberon, pour des charettes et des chevaux !
La seul tentative "d'urbanisme" a été de créer la "place du marché" à la place d'une zone humide...
Ce cabinet proposait de "recréer" un axe Ouest-Est, qui partirait du "double huit" de la départementale et aboutirait au Port d'Orange...
Donc "les spéculations du Père François", qui voudrait créer un sens inverse à celui d'aujourd'hui dans un "faux Centre-ville" sont d'un bêtise incommensurable.
Il faut d'abord tenir compte des situations diverses selon les périodes : jeudi, jour de Marché, doit être "pietonnier" ! L'été, itou ! L'hiver et en demi-saison, favorisons les anciens, qui trainent leur chariotte...
Le Centre-ville du Centre-ville est aujourd'hui au carrefour de la rue Curie et de la rue du Général de Gaulle !
C'est un fait "commercial", avec la présence du 8 à 8, du pharmacien, du Charcutier, de la Maison de la Presse, du Boucher-Charcutier, du Boulanger et du bistrot "fermé"...
Si l'on souhaite, qu'ils demeurent "sur place", il faut les soigner, car souvent ils sont plus sympathiques que les conseillers municipaux !
Deux solutions :
1- si l'on accepte la circulation automobile dans ce dédale étroit, il faut que les flux convergent vers ce croisement : rue Curie, comme aujourd'hui, accès de Quiberon, comme aujourd'hui, rue du Général de Gaulle, "à voir" !
2- si l'on crée "un centre-ville entièrement piéton", il faut arrêter toutes les voitures "à l'église", Place du Marché, et rue du Général de Gaulle. Et créer des parkings supplémentaires à la place de la "future mairie"...
Les troubles d'audition se soignent aujourd'hui. En démocratie le "dialogue" est de rigueur !