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31/03/2012

Le "trou"

La régulation par le paiement du consommateur n'existe plus dans le domaine de la santé !

L'émir de Kerhostin, collectionneur de chansons de midinette, a signalé à ses fidèles lecteurs de son blog, que le "trou de la sécu" devenait énorme...

C'est si vrai, que le buget social de la nation représente 4 fois le budget "fiscal".

La création du système de "sécurité sociale" après la guerre reposait sur un système d'assurance des seuls salariés. Puis le cercle des ayant-droits s'est élargi pour couvrir aujourd'hui toute la population. Les cotisations "prélevées" ont donc connu une telle ascension, que le fameux "coût du travail" a lui-même explosé, devenant progressivement un "boulet" pour les entreprises confrontées au marché mondial...

Le système est devenu une machine folle, avec un empilement administratif unique dans le monde, un paiement du monde médical selon un barême unique, favorisant les moins bons au détriment des meilleurs, une gestion top-down, qui ignore les lois du marché, un remboursement mixte, qui ressemble de plus en plus à celui de l'assurance privée, des corporations macrophages (pharmacie, métiers médicaux parallèlles, transports médicaux...), qui profitent de la gratuité "virtuelle" du système...

Résultat : des dépenses qui galopent et des recettes, que les malades ne veulent plus assurer !

Il est temps de "réintégrer" le système de santé dans l'univers économique "normal", où le prix à payer par le consommateur est le meilleur régulateur !

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L'entente cordiale !

"Je ne suis pas favorable à l'achat de mobil-homes" !

Le Père François a une mauvaise opinion sur les "mobil-homes"... C'est ce qu'il aurait dit lors de la présentation du budget 2012 du SIVU, qui s'occupe des secours sur la presqu'île...

Nous voilà enfin en phase avec le premier adjoint de Saint Pierre et pensons donc qu'il aura à coeur avec son collègue de l'urbanisme d'éradiquer cette "peste" en tôle, qui prolifère dans les "camps" privés du Petit Rohu.

Le "double huit" de madame G sur la départementale devait normalement empêcher la manoeuvre des porte-mobil-homes, qui circulent en ce moment. Mais raté, avec quelques manoeuvres adroites ils épargnent le "Roz Avel", qui y est mouillé !

On constate encore une fois que Saint Pierre fait sa mauvaise tête dans les réunions avec Quiberon et que le "décideur" est finalement "le payeur" ! Une belle leçon de démocratie...

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Front de gauche, front de mer...

Les réunions politiques ne font pas recette ! L'installation des campeurs en "bordure de plage", deux heures de folie !

Roland propose un débat public sur un thème original : le logement social peut-il être une alternative à la baisse et au vieillissement de la population dans les communes littorales ?
Une dizaine de militants, probablement communistes, un peu âgés, un membre du Conseil municipal de Saint Pierre et un Roland Le Sauce très oeucuménique, citant les chiffres de la Fondation "Abbé Pierre"...
L'exposé, bien préparé, ne cadre pas du tout avec la situation de Saint Pierre, où le taux de résidences secondaires est de 70% et où "l'emploi" nouveau est inexistant... coller sur un tel désert économique un HLM en plein Centre-Ville ne règle pas la question des emplois, complique les circulations à l'echelle de la presqu'île et n'incite pas les familles jeunes à faire leur vie ici...
C'est au fond accepter des exceptions "littorales" à ces règles nationales d'urbanisme (SRU), qui sont d'ailleurs mal appliquées par les communes concernées !

"Gilberte", par contre, a eu le succès d'une midinette ce matin lors de son arrivée en voiture au camping du Petit Rohu ! Applaudissements, coups de klaxon... les "futurs" campeurs avaient passé au moins une nuit de veille dans les abords proches de camp, rendant la circulation très difficile.
Gilberte est le "régisseur" du camp. Hum ! on se demande somme toute où est l'autorité compétente, car une fois les barrières ouvertes, les femmes de campeur courent vers l'emplacement "réservé", tandis que les maris font vrombir la voiture, qui tracte la caravane...On se dirait dans un "rodéo" humain,,, où chaque campeur retrouve "sa place" habituelle en bord de plage...

Le "système mafieux", couvert par la municipalité, fonctionne donc toujours au profit de 70 estivants et leur famille, qui se répartissent "l'estran" du Petit Rohu pour une durée de six mois ! Le "laisser aller" de nos régisseurs est fautif, ainsi que les règles de facturation (le fameux garage mort), approuvées par le Conseil municipal, qui favorisent "le coup de force" matinal, ainsi que l'abandon pendant 4 mois sur 6 de ces" tôles" inhabitées.

Dans une municipalité "de gauche", qui rappelle les principes de partage et de démocratie, les camps de camping municipaux sont un défi permanent à l'équité !

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