Les Secrets de Saint Pierre

A Saint Pierre Quiberon, la "transparence" n'existe que sur le papier !

Tintin fait partie du jury, qui décide d'attribuer un prix à la VAK (dont il est Président)...
La "lessiveuse démocratique" fonctionne à plein régime, ici !

Les copains et les "coquins" fourmillent dans notre commune. Dommage que l'on accorde pas un prix sur la qualité du branchement des eaux pluviales... L'endormi du Rohu, qui fait partie du jury, aurait eu le dernier prix !

Le passe-temps favori de Gégé le cycliste coûte fort cher !

Rouler de la Trinité sur Mer à Erdeven en vélo est aujourd'hui une opération périlleuse. La Communauté des Mégalithes, les trois communes de Plouharnel, Carnac et La Trinité sur Mer ont mis au point un itinéraire, qui échappe à l'étroitesse de la départementale et coûte au final 655 000 euros.

Souhaitons qu'il ne s'agisse pas d'une piste comme celle de Penthièvre au Bego, issue du comblement d'un fossé de la Départementale...

Le Conseil Général est sollicité (changement de casquette...), l'intercommunalité aussi !

On attend toujours ici le franchissement de l'Isthme à Penthièvre ! Le lézard est tombé dans le potage...

Comme dans les grandes entreprises, l'investissement porte sur les grands projets !

En léger décalage, Lorient et Vannes modernisent leur plate-forme hospitalière. A Vannes, les spécialistes se rassemblent dans le nouveau quartier de Tétenio, proche de la clinique Océane...

Cette modernisation et concentration des "spécialités" à Vannes laissent quelques îlots conservateurs dans la vieille ville ou intra-muros ! Bref, à l'image d'une zone industrielle, le "quartier médical" de Vannes attire désormais les patients du Morbihan et donc ceux de la presqu'île...

Les "réseaux", généralistes vers spécialistes, se modifient donc en fonction de l'investissement public (Sécurité sociale) et de l'investissement privé à Tétenio !

Chez les généralistes, les "soutiers de la médecine libérale", le goût de l'investissement immobilier n'est plus ce qu'il était. La concentration à Quiberon ne semble pas être une nécessité, avec le développement des communications directes par Internet entre généralistes, spécialistes et plate-forme hospitalière...

Ce qui "cloche" aujourd'hui est plutôt le mauvais travail en commun avec les officines pharmaceutiques ! Le chacun pour soi est dérisoire, lorsque la prise en charge financière est assurée par la Sécurité Sociale. Et aujourd'hui une grande partie du travail de "boutiquier" pourrait être assuré par un organisme départemental automatisé...

Si sur la presqu'ile les généralistes vont manquer, on souffre d'un trop plein de pharmacies !