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13/04/2011

Classe ou "pas classe" ?

Allez tout de suite à Vannes !

La mer est, encore et encore, un "faire-valoir" électoral chez notre conseiller général, Gérard Pierre ! Il balise tout le Morbihan avec 300 animations au programme ! Le "Bienvenue à la ferme" est transposé chez les cultivateurs de la Mer...

Changez de braquet !

Allez plutôt faire un tour à Vannes où les "Photos de Mer" sont présentes dans des lieux inattendus ! Près de Saint Patern, l'esplanade constitue un joli jardin d'exposition. Comme toujours Vannes associe la diversité à la qualité esthétique ! On est loin du côté "paysan" de notre élu local !
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PLAN D'IMPLANTATION DES EXPOSITIONS DANS LE CENTRE VILLE de Vannes
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1. Agence France Presse ACTUALITÉS DE LA MER 2010-2011 (projection)

2. Ed Kashi LA COURSE A L’OR NOIR : 50 ANS DE PETROLE DANS LE DELTA DU NIGER (projection)

3. Raphaël Demaret LES DERNIERS ENFANTS DE LA JEANNE D'ARC

4. Matthieu Paley NAURU, D'UN EXTREME A L'AUTRE

5. Gérard Planchenault REVERIES ARCTIQUES

6. Mickaël Bougouin UN PETIT COIN DE PARADIS

7. Chris Maluszynski TORY ISLAND

8. Joanna Lipper SEAWEED FARMERS IN ZANZIBAR Pêcheuses d’algues à Zanzibar

9. Narelle Autio THE SUMMER OF US

Jeune création photographique

10. Camille Boissière Naoshima

11. Keystone France BORDS DE MER, ANNEES 20&30 Deauville, La Baule, Dinard, rivages anglais et californiens

Parcours Urbain

12. Narelle Autio THE SUMMER OF US

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12/04/2011

Le nautisme à Saint Pierre ?

Un "vrai" Port de Plaisance à Beg Rohu ?
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Sur ce site magnifique tout est prêt pour créer un superbe port de plaisance avec la SAGEMOR, qui pourrait offrir un anneau à plus de 500 bateaux !
Et bien sûr les activités annexes, comme à Port Haliguen...

Ce serait quand même autre chose, que les chaînes "mère et fille", qui étranglent la douce voix du Père François à Port d'Orange.

Et donc, nous serions "parés" pour la course à la voile de l'EDHEC de 2012 ! On peut rêver, quand même ?

Nautisme, l'Edhec arrose Lorient
Télégramme de Brest du 12 avril 2011

La course de l'Edhec et ses 3.000 participants, ont pris leurs quartiers à la base des sous-marins jusqu'à la fin de la semaine. Une manne pour le tissu économique de l'agglomération estimée à un million d'euros.



«Tout ce qui concourt à faire tourner l'industrie nautique à Lorient peut profiter de l'organisation de cette course»: Bernard Bocquet, président du Club nautique de Lorient (CNL), en est persuadé, l'organisation à Lorient de la course à la voile de l'Edhec est une manne pour l'agglomération.

3.000 participants
Les chiffres parlent d'eux-mêmes. 170bateaux, 3.000 participants qui vont régater sur l'eau pendant une semaine, ou se défier dans des raids multisports (trophée terre), ou des sports de plage (trophée sable). Des étudiants venus de toute la France ont pris possession de la base des sous-marins pour la semaine. 3.000 personnes qu'il faut loger, nourrir et divertir, qui vont casser du bateau «car le niveau est très hétérogène,» précise le président du CNL. «On estime à un million d'euros, les retombées pour la région d'une course comme l'Edhec», explique Estelle Leclerc, présidente de l'association Course-croisière Edhec. «La course a pris une dimension énorme et on ne peut être accueilli que dans des grands ports, comme Brest, LaRochelle ou les Sables-d'Olonne. Pendant une semaine, on a recours à des prestataires locaux pour faire vivre le village de 12.500m².» Le budget d'un équipage d'étudiants se situe au minimum entre 5.000€ et 6.000 €. Mais certaines écoles viennent en nombre et, si elles ont des sponsors généreux, le budget peut bondir jusqu'à 10.000 € et plus.

90% de la flotte louée dans le Morbihan
Les premiers à en bénéficier, sont les loueurs de bateaux. «90% des bateaux de la flotte sont loués dans le Morbihan», affirme Bernard Bocquet. L'Agence Rivage, à Larmor-Plage, a loué 25 voiliers pour la semaine: 22Grand Surprise loués entre 3.200€ et 3.700 € et trois bateaux de croisière entre 2.000€ et 4.000 €. «Ça fait partie des courses où on en loue le plus», commente le responsable de l'agence, Benoît Caillot. «C'est une grosse part de notre chiffre d'affaires.» Les accastilleurs, voiliers et autres réparateurs qui gravitent autour de la base des sous-marins, se réjouissent aussi de cette clientèle, qui a toujours besoin d'un bout de cordage, d'une paire de gants, de lunettes de soleil, voire de bottes ou de cirés si le temps se gâte. «Ce n'est pas l'affaire du siècle, mais c'est un apport non négligeable», précise Étienne Cuvilly, responsable du magasin Uship, à l'entrée de la base. «Mais on est à 150 mètres de leurs chapiteaux».

6.000 baguettes quotidiennes
6.000 baguettes sont achetées chaque jour pour nourrir la flotte, sans compter les sandwichs. Les traiteurs locaux sont très sollicités. Il n'y a que les hôteliers qui ne tirent pas profit de cette clientèle. «Pour nous, c'est quasiment nul. Ils ne sont pas dans les hôtels», expliquent Guy Chazeaud, président du club hôtelier. «On a juste eu quelques familles d'étudiants ce week-end, venus soutenir leurs jeunes. C'est tout». En revanche, les campings qui ont une flotte de mobil-homes affichent complet à Ploemeur. «Nous en accueillons 120 toute la semaine», confirme-t-on au camping Pen Palud de Ploemeur. «C'est la première grosse organisation de Lorient Grand Large», explique Bernard Bocquet, président du CNL et membre du conseil d'administration de Lorient Grand Large. «Ça permet de roder les différents services. C'est un round d'essai avant la Volvo Race en 2012», conclut-il.
Sophie Paitier

11/04/2011

Notre Conseiller Général, Pile Poil ?

Le profil des élus locaux se renouvelle peu
Les Echos du 8 avril 2011
Joel COSSARDEAUX
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Plutôt cumulard, la cinquantaine, bien plus souvent cadre qu'employé et de sexe masculin : le profil de l'élu local français évolue peu. Les dernières élections ne risquent pas de bouleverser cette image d'élu-notable, rompu à l'art de tisser ses réseaux, qui ressort des analyses post-cantonales présentées hier par l'Institut de la décentralisation.

Sur 2.026 conseillers généraux élus en mars, 71,2 % sont des réélus. C'est encore plus qu'en 2008 (67,5 %). Quant à la part des femmes, elle progresse d'à peine plus d'un point et demi : 13,8 % de conseillères générales contre 12,32 % il y a trois ans. Laurence Lemouzy, rédactrice en chef de « Pouvoirs locaux », la revue (1) de l'institut, y voit entre autres la marque « de phénomènes d'héritage et de cooptation qui limitent le jeu de la concurrence dans le recrutement du personnel politique ».
Dans ce tableau, le portrait-robot du conseiller municipal, cette fois, détonne assez peu. Les femmes sont plus représentées (un tiers des élus), mais beaucoup moins les jeunes. Rares sont les maires élus à moins de 30 ans et ceux qui l'ont été à cet âge dirigent généralement de petites communes (102 sur 136 élus de cette tranche). « Les 18-29 ans sont limités à des rôles mineurs », observent aussi les chercheurs de l'institut. Et le taux d'« initiés », également, est élevé : « 30,4 % des conseillers municipaux affirment que, dans les deux dernières générations, un membre de leur famille a déjà exercé cette fonction ».
Un système en vase clos
Cette notion d'« héritage » ou de filiation a cours aussi chez les conseillers régionaux, mais différemment. « Un quart des répondants occupent des emplois directement en lien avec l'activité politique ou administrative locale », signale l'institut. Un système en vase clos dont son coprésident, Michel Piron, redoute qu'il ne prête à confusion. « A l'heure où on parle de conflits d'intérêts, je m'interroge », déclare le député-maire UMP de Thouarcé (Maine-et-Loire).
Une chose est sûre, pour les chercheurs de l'institut, ce fonctionnement en circuit fermé fait courir un risque de déconnexion de l'élu territorial, qu'il soit municipal, régional ou conseiller régional. Le premier signal est fourni par « le taux d'abstention consternant, y compris en milieu rural, des dernières cantonales », pointé hier par Jean-Pierre Balligand, également coprésident de l'institut. « Chez nos voisins, il y a plus de jeunes, plus de femmes et plus de minorités visibles. C'est parce que l'on y est élu à la proportionnelle », estime le député-maire PS de Vervins (Aisne).
En Espagne, 40 % des conseillers qui siègent dans les assemblées régionales sont des femmes. En Allemagne, le taux de jeunes dans les Länder oscille entre 7 % en Bavière et 20 % en Basse-Saxe, voire 30 % à Berlin, où les minorités visibles sont loin d'être absentes (3,5 % d'élus d'origine turque). « Alors qu'elle se généralise en Europe, cette tendance à l'hyper-représentation, à l'exception des grandes villes, reste anecdotique en France », observe t-on à l'institut.JOËL COSSARDEAUX, Les Echos
(1) « Pouvoirs locaux », « Qui sont les élus territoriaux ? », n° 88, mars 2011.