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20/12/2010

2014, le changement !

Anne Le Dirach, « Mon avenir politique se jouera en 2014»
Télégramme de Brest du 17 décembre 2010
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Anne Le Dirach va vite. Inconnue en 2007, la maire adjointe de Vannes incarne aujourd'hui la relève féminine de l'UMP morbihannaise dont elle s'apprête à devenir la secrétaire départementale.

Sa carrière aurait pu être celle d'une executive woman... Prépa HEC, Sup de Co LeHavre-Caen, un poste de commercial, chef de secteur chez Martini Rossi, en 1991, la première femme nommée à ce poste dans un milieu d'hommes. Puis Anne Le Dirach monte à Paris pour gérer la moitié nord de la France et la formation des commerciaux... Mais la Pluvignoise ne se fait pas à la capitale. «Seule au milieu de la foule, j'étais une Bretonne expatriée non assumée». En 1994, c'est le retour en Bretagne, à Brest, pour répondre à l'offre de Produit en Bretagne dont elle devient la première salariée. Elle n'a que 26 ans et côtoie les grands patrons bretons. Quatre ans plus tard, Saupiquet lui fait les yeux doux: elle part pour Rennes où elle prend la direction régionale Ouest. Mais quand le groupe lui demande de rejoindre le siège à Paris. Elle dit non et fait un break de trois ans. C'est le début de sa seconde vie: la femme politique entre en scène en 1995.

Mise en orbite politique dès 2007
Sa famille politique sera le RPR puis l'UMP et son modèle, Alain Juppé. À partir de 2007, tout s'enchaîne: Anne Le Dirach milite pour Sarkozy, gravit sa première marche en devenant déléguée UMP de la première circonscription du Morbihan et entre à la mairie de Vannes, comme maire-adjointe de François Goulard, chargée de la communication et des nouvelles technologies. 2009, la voilà colistière de Christophe Béchu aux européennes... 2010, elle est colistière de Bernadette Malgorn et rate d'un cheveu le bon wagon... 2010 encore: elle se positionne pour la candidature aux cantonales, à Vannes-Centre mais se retire pour laisser la place à François Goulard... Et 2011? Encore et toujours l'UMP avec un poste de secrétaire départemental qui lui est promis.

«Cela m'évite d'être schizophrène»

Comment fait-elle pour assumer de front un parcours UMP pur beurre et une fidélité sans faille à son maire villepiniste? Tout simple: «J'ai cloisonné mes fonctions d'adjointe de celles de l'UMP. François Goulard est un grand patron mais quand je suis à l'UMP, mon patron c'est Coppé! Cela m'évite d'être schizophrène. Je suis quelqu'un de carré et mes intentions sont saines. Mes ambitions personnelles sont celles de l'UMP». Cette droiture, Anne Le Dirach veut la cultiver. Elle admet être déterminée mais pas prête à employer n'importe quels moyens: «J'ai un profond respect de l'humain et un sens du collectif développé. On peut faire de la politique et être honnête et je sais rester à ma place. J'avancerai sans doute moins vite que les autres, mais le temps n'est pas venu pour moi». Sa force, Anne Le Dirach la puise dans ses racines: une éducation catholique au sein d'une famille de paysans qui cultive l'engagement gratuit tant associatif que social, sportif et politique. Alors, quand le temps viendra-t-il? Anne Le Dirach porte son regard vers les futures élections des conseillers territoriaux issus de la réforme des collectivités territoriales. «Aller plus loin, évidemment oui car on se prend au jeu, dit-elle. Mon avenir politique se jouera en 2014. Il se passera quelque chose». Bertrand Le Bagousse

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19/12/2010

Habitat éphémère, le mobil-Home ?

Habitat éphémère ou mobile, une opération escargot pour le défendre
Télégramme de Brest du 19 décembre 2010
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Une centaine de personnes, notamment des habitants de yourtes, tipis, camionnettes ou roulottes, du Finistère et du Morbihan, ont mené, hier, une opération escargot d'Hennebont (56) à Lorient pour manifester contre la loi Loppsi 2. Le projet de Loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure, inquiète ceux qui vivent à l'année dans des habitations éphémères ou mobiles (camions, roulottes, yourtes, tipis...). Il autorise, en effet, les préfets à faire évacuer et détruire tous ces logements installés sur des terrains privés sans permis de construire. Différentes organisations comme les associations Droit au logement, Halem (Habitants de logements éphémères ou mobiles) se mobilisent pour dénoncer ce projet qui les contraindrait au nomadisme, alors qu'il est en deuxième lecture à l'Assemblée. (Photo Pascale Constant)

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Sous-traitance = économie de personnel municipal

Conseil municipal du 16 décembre 2010
Ouest France du 18 décembre 2010
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Transfert de compétence de la maintenance de l'éclairage public au Sdem
Ce transfert concerne la maintenance des 719 foyers lumineux (lampadaires) et des 42 armoires électriques de la commune pour une somme annuelle d'environ 15 000 €. Le coût de revient de ce travail, auparavant affecté aux employés communaux, ne change pas ; la qualité de service proposée par le Sdem (Syndicat départemental d'énergies du Morbihan) est supérieure en cas d'intervention d'urgence.

D'autre part, la commune va devoir se mettre aux normes d'éclairage pour 2015 et 230 foyers lumineux devront changer d'éclairage.

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