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08/07/2010

Saint Pierre, Quiberon, même combat !

Plan d'aménagement de Quiberon, les riverains réticents
Télégramme de Brest du 2 juillet 2010
Quiberon_Circulation.jpg


Lundi en fin de journée, l'agence Minier, en charge du projet de restructuration du centre-ville a présenté les bases de son étude à l'espace Louison-Bobet. Beaucoup des personnes qui s'étaient déplacées lundi sont restées sur leur faim. L'équipe du bureau d'études était en effet venue avec une analyse de la situation alors que le public attendait des propositions. Pour les Quiberonnais, entendre que la commune a deux visages, l'une en hiver et l'autre en été est une évidence, et lorsque Nicolas Demattéo pour commencer a évoqué la suppression d'emplacements de parking, des voix se sont élevées parmi des commerçants.

Réduire les automobiles dans le centre-ville

Le centre de ses voitures désengorgé est pourtant le but que semble avoir choisi l'agence Minier en choisissant d'excentrer les parkings et donc de renforcer le rôle du parking du sémaphore: «Et pourquoi ne pas laisser les véhicules encore plus loin pour les personnes qui se rendent vers les îles, a expliqué le chargé de projet. Il faut faire évoluer les mentalités». Lors de son exposé sur l'importance de développer les parcours cyclables sécurisés, le public lui a rappelé que la population quiberonnaise était constituée en grande partie de retraité: «A 77 ans à vélo c'est bien! mais ne faudrait-il pas plutôt développer le mode de déplacement piéton et l'accessibilité». Un véritable plébiscite pour le Tire-Bouchon s'est fait entendre mais le directeur des transports du conseil général qui a assisté à la réunion a également tenu à évoquer l'importance du car. Nicolas Demattéo a écouté les différents points de vue et fera des propositions.

Pratique Prochaine réunion à l'espace Louison-Bobet le 26juillet, à 18h30, sur le thème paysage et urbanisation. Le 29juillet à 18h30: synthèse.

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Un clin d'oeil à notre Maire !

Quiberon.Info - par Fran le 07/07/2010 @ 21:17

Quiberon au Phare Ouest
Nous savions que Quiberon se trouvait au Phare Ouest de la Bretagne et cela se vérifie cette année. Nous disposons de nos "Rangers", 2 cavalières qui sillonnent pour renforcer la sécurité Justine avec Quoucky et Priscilla avec Ouessant circuleront sur la commune cet été comme agents de sécurités, de Kerniscop à Port-Maria en passant par Saint Julien et Port Haliguen.Justine et Priscilla partagent la passion de l'équitation. Dès 4 ans, Priscilla montait à poney, elle a continué à monter et a concrètisé son rêve il y a 4 ans en s'achetant Ouessant, son propre cheval. Justine a débuté un peu plus tard, à 6 ans et possède son propre cheval, Quoucky, depuis environ 2 ans .

nat-gardes-a-cheval.jpg
Photo de Nat

La ville de Quiberon a décidé pour les 2 mois d'été 2010 de tenter une expérience en engageant des cavaliers-agents de sécurité sur la voie publique (ASVP)et ce sont ces 2 jeunes femmes qui ont été choisies.
Elles doivent faire respecter les arrêtés municipaux, les zones de stationnement. Les cavaliers ont l'avantage de pouvoir circuler sur l'ensemble du territoire de la commune, y compris les chemins de terre.

Les passants sont agréablement surpris. Ils interpellent les jeunes filles, leur posent des questions. Pour Justine, qui s'est confiée au journal Ouest France ce job d'été est "la meilleure des préparations à l'école" qu'elle débutera en septembre. car, avec son cheval, elle va entamer, une formation de garde à cheval à Saint-Cyr-du-Doret en Charentes-Maritimes.pour y apprendre le métier de surveillance et sécurité à cheval.
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Quiberon au Phare Ouest


Nous savions que Quiberon se trouvait au Phare Ouest de la Bretagne et cela se vérifie cette année. Nous disposons de nos "Rangers", 2 cavalières qui sillonnent pour renforcer la sécurité Justine avec Quoucky et Priscilla avec Ouessant circuleront sur la commune cet été comme agents de sécurités, de Kerniscop à Port-Maria en passant par Saint Julien et Port Haliguen.Justine et Priscilla partagent la passion de l'équitation. Dès 4 ans, Priscilla montait à poney, elle a continué à monter et a concrètisé son rêve il y a 4 ans en s'achetant Ouessant, son propre cheval. Justine a débuté un peu plus tard, à 6 ans et possède son propre cheval, Quoucky, depuis environ 2 ans .


La ville de Quiberon a décidé pour les 2 mois d'été 2010 de tenter une expérience en engageant des cavaliers-agents de sécurité sur la voie publique (ASVP)et ce sont ces 2 jeunes femmes qui ont été choisies.

Elles doivent faire respecter les arrêtés municipaux, les zones de stationnement. Les cavaliers ont l'avantage de pouvoir circuler sur l'ensemble du territoire de la commune, y compris les chemins de terre.



Les passants sont agréablement surpris. Ils interpellent les jeunes filles, leur posent des questions. Pour Justine, qui s'est confiée au journal Ouest France ce job d'été est "la meilleure des préparations à l'école" qu'elle débutera en septembre. car, avec son cheval, elle va entamer, une formation de garde à cheval à Saint-Cyr-du-Doret en Charentes-Maritimes.pour y apprendre le métier de surveillance et sécurité à cheval.


Gendarmerie, un scooter pour intervenir plus rapidement
Télégramme de Brest du 8 juillet 2010
Scooter.jpg


Quelle n'a pas été la surprise, il y a quelques jours, des Quiberonnais, en apercevant un scooter trois roues chevauché par un gendarme. «Certains militaires ont effectué un stage spécifique avec un gendarme motocycliste, et nous disposons pour la saison estivale d'un scooter 250cm³ qui nous permet d'effectuer des liaisons, de la police route, d'intervenir sur un accident avec des facilités de déplacements», explique l'adjudant Hugues Burban.

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07/07/2010

Pour le Centre-ville, toujours moins cher...

• Le Figaro du 7 juillet 2010
• DOMINIQUE HERVOUËT À NANTES
STX Cabins passe des cabines de paquebot à l’habitat
Container.jpg

La filiale des ex-Chantiers de l’Atlantique se diversifie dans l’aménagement de conteneurs.
INDUSTRIE Pour pallier la baisse de charge du chantier naval STX de Saint-Nazaire, STX France Cabins a décidé de mettre son sac à terre en investissant le marché de l’habitat.
Basée à Montoir-de-Bretagne, cette PME de 160 salariés (85 millions d’euros de chiffre d’affaires) met le cap sur les logements de service et l’habitat résidentiel en utilisant le savoir-faire de son bureau d’études comme ses capacités industrielles - 6 000 modules annuellement - qui lui ont permis de concevoir, produire et d’installer 20 000 cabines pour des armateurs particulièrement exigeants lorsqu’il s’agit de paquebot.
Comme l’indique Damien Flichy, son directeur général, STX France Cabins, dont l’une des diversifications concerne l’offshore, a réalisé au cours de la dernière décennie des investissements importants qui vont lui permettre de répondre rapidement aux besoins du marché de l’habitat peu coûteux.
Studio au design soigné
La PME, qui a livré les 1 300 cabines passagers et les 2 200 cabines d’équipage du Norwegian Epic, le plus grand paquebot jamais construit à Saint-Nazaire pour NCL, compte 11 lignes de production sur 20 000 m
² d’ateliers, ce qui lui permet de réduire les délais de fabrication comme de chantier et de faire baisser les coûts d’environ 20 % par rapport aux constructions traditionnelles.
En s’appuyant sur l’exemple des cités U d’Europe du Nord ou d’Amsterdam, STX France Cabins a choisi de recycler des conteneurs de 20 ou 40 pieds made in China qui sont revendus en Europe au terme d’un unique voyage. Débarrassé de ses portes au profit d’une grande baie vitrée et doté d’ouvertures, le conteneur en acier qui répond aux normes de basse consommation énergétique BBC est transformé en studio au design soigné, de 13 ou 26 m qui peut égale
, ment servir de logement pour des travailleurs saisonniers ou des personnes relogées d’urgence. Des conteneurs à empiler sur cinq niveaux qui s’installeront probablement dans l’enceinte du port de Saint-Nazaire où doit se créer une cité universitaire. L’entreprise pourrait en fabriquer entre 200 et 500 par an et a pour objectif de réaliser de 10 à 20 % de son activité dans cette diversification avec un chiffre d’affaires de 5 à 10 millions d’euros d’ici à trois ans.
Le conteneur en acier peut servir de logement pour des travailleurs saisonniers ou des personnes relogées
d’urgence.
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