03/01/2017
Mutations technologiques !
Cabines téléphoniques, annuaire papier, out ! le "mobile" et l'Internet au service de tous ?
Avec encore une fois la question de l'égalité des territoires devant les révolutions technologiques...
Sur la presqu'île, il vaut mieux habiter sur la commune de Quiberon pour téléphoner avec un mobile.
Quant à l'internet, il faudra attendre 2020 ou 2030 pour être raccordé en "très haut débit"...
La question de l'annuaire "papier", service public confié à France Telecom, vendu depuis à SOLOCAL, une société à la situation financière proche du dépôt de bilan, fut posée il y a 30 années avec l'arrivée de l'annuaire sur Minitel.
La distribution gratuite d'un appareil "récepteur" devait remettre cette égalité au premier plan ! Oui, sauf que le serveur "3615" a disparu, la technologie de transmission et de normalisation n'existe plus (sauf en Russie !) et que le "Minitel" peuple désormais les déchetteries de France et de N...
Aujourd'hui les "pages blanches" relèvent d'une gestion privée (perfectible) aux contours très éloignés du service public et de l'annuaire "universel", mirage permanent des politiques de tout bord !
La technologie est-elle vraiment au service de tous ?
02/01/2017
Démographie, en baisse sur la côte et les îles !
La concentration urbaine s'accentue en Morbihan, le vieillissement des "déserts ruraux" met en échec les "politiques"...
Les journalistes de Ouest attribuent cette chute de population au prix élevé du foncier, à l'image des déclarations des maires de Quiberon et de Saint Pierre Quiberon !
Cette analyse manque de souffle : en fait les jeunes morbihannais recherchent des emplois plus attractifs et mieux payés et des services plus divers à proximité des grands centres...
La politique touristique menée depuis le début du 20ème siècle accentue le déséquilibre économique de ces bourgs, en créant des activités saisonnières et des emplois précaires. La politique de Gauche, visant à rémunérer les chômeurs, aurait pu constituer un rééquilibrage d'hiver, mieux qu'une deuxième saison dans les stations de Sports d'hiver dans les Alpes...
Aujourd'hui les équipes municipales de la presqu'île, dans un élan "commun", se lancent dans la "silver économie"... encore faut-il viser le "haut de gamme" et non "l'hospice" misérable du début du siècle !
Les "politiques" ici sont naïfs et peu expérimentés : par défaut d'entente ils ont loupé l'arrivée de la fibre et de moyens de communication modernes, au profit d'une recentralisation de ceux-ci à Auray...
A l'image de l'Ecole nationale de Voile, complètement évincée de la Course au large, la presqu'île s'enferme dans une politique "passéiste" et mortifère !
2017, année de rupture et de convergence ?
01/01/2017
Tourisme ? seules, Carnac et Quiberon ont réussi à "monter en gamme" !
AQTA, nouvelle "administration" communautaire, n'a aucune idée nouvelle sur le tourisme !
Il ne suffit pas d'investir dans le "marketing" pour créer des "touristes heureux" !
On le voit aujourd'hui dans les destinations préférées des touristes français hors de l'hexagone, qui sont aujourd'hui totalement différentes de celles d'il y a 10 ans ! Exit l'Egypte, la Tunisie, la Turquie, la Syrie, l'Irak, et même toute l'Europe centrale... A la corbeille, les campagnes de marketing, les dépliants coûteux, les offres hôtelières sophistiquées...
Le tourisme sur nos côtes a fortement changé : la durée des séjours a diminué, l'ambulation permanente a gagné du terrain, les camps de camping municipaux "bas de gamme" ne font plus le plein. L'"uberisation" de la location modifie complètement les habitudes, les "rats de ville" cherchent le confort, la personnalisation du séjour, les surprises et l'originalité des conditions.
Seule, l'initiative privée est capable de s'adapter et de transformer les équipements d'accueil. Les "machins communaux", devenus AQTAriens pour cause de déficit, pullulent entre Plouharnel et Quiberon... faire du "marketing" sur le bas de gamme, c'est ouvrir les finances vers le déficit permanent !
Olivier Lepick est un vrai "lanceur d'alerte"... Philippe Le Ray dans son ambition politique ne sait que tracer un "sillon bien gras et bien grossier" !
Doit-on parler aujourd'hui "d'incompétence intercommunale" ?