UA-69286360-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

16/10/2017

La communication à Saint Pierre Quiberon ? à la godille...

A part les "réunions de chantier", les "grands projets" échappent au Conseiller "délégué" à la communication !

Portivy, travaux au niveau du parking de la cale Nord.jpg

Détonante répartition des tâches au sein de l'équipe municipale, où le cloisonnement est en fait devenu "un principe" !

A Madame Le Maire, l'"édito" des Nouvelles, dont le déchiffrage est ardu et le plan souvent absent ! A Monsieur le Conseiller et mari, le "pipelotage" sur les chantiers en cours, à travers la presse locale (on aime le côté "technique") avec photo en premier plan, à Monsieur le Conseiller JY Loget le "feuilleton" du château d'à-côté, transformé en superbe Mairie et logements sociaux "à gogo" au coût faramineux !

En bref, le citoyen ordinaire s'interroge !

Sur le chantier de l'axe sud, quasiment pris en charge par nos partenaires, il semblerait que l'on ait oublié le réseau électrique basse tension, ainsi que le réseau téléphonique (et la fibre...). Il faudra sans doute attendre un autre mandat pour entamer le bitume bien frais et augmenter ainsi les coûts des réseaux du futur ! A Portivy, lieu préféré des investissements côtiers de toute la commune, on constate que les eaux pluviales ne sont pas canalisées...cette question, au poids écologique important, reste pendante sur pratiquement toute la côte de la Baie de Quiberon, du Petit Rohu à Penthièvre, alors qu'en Pays basque ces travaux ont été effectués il y a plus de 20 ans !

Malgré une visite récente du Préfet du Morbihan, la "submersion marine" de Penthièvre et de son camp de camping municipal  mérite "une communication de crise" et des mesures énergiques de prévention, loin de la contestation du "trait de côte" et des travaux d'embellissement de gravillonnage !

Plus au Sud, la condamnation financière de l'ENVSN par la Cour de Comptes et ses conséquences pour la Commune (en cas de fermeture) ne font pas l'objet d'une communication "ouverte" de la part de nos élus. Et pourtant cette école représente "financièrement" plus d'une fois et demi le budget de Saint Pierre Quiberon.

Bien Communiquer ? une affaire de spécialiste !

 

Lire la suite

12/10/2017

Eco-stations ? Le retour d'un vieux principe, qui n'a jamais marché !

Les "miracles" annoncés de la gestion intercommunale ! AQTA se heurte à des comportements "non-citoyens" !

Quiberon, déchetterie du Manio.jpg

Le ramassage à domicile en poubelles "plastique" et sacs jaunes est coûteux pour la collectivité et consomme "une sous-traitance" onéreuse (Véolia).

L'autre solution met à la disposition des "containers enterrés", qui sont alimentés en libre-service, puis enlevés par un simple camion "grue". Valable en ville, à moins de 150 mètres, cette organisation permet de faire des économies sur le fonctionnement, mais est coûteuse en investissement. Elle génère en saison chaude (la plus intense en volume) de très mauvaises odeurs...

L'option du "Manio", légère et peu coûteuse, nécessite une gestion rigoureuse sous surveillance, ce qui n'était pas le cas aujourd'hui. La proposition de la remplacer par une utilisation des "containers enterrés", nouvellement installés à côté des bureaux du parking du sémaphore, est insuffisante, à la fois en matière d'accès et de surveillance. Il faut reconnaître d'ailleurs que son apparition fait suite à la "levée de bouclier" de la tentative d'installation à Saint Julien, sous les fenêtres de quelques paisibles propriétaires !

Après le "blocage" des nouvelles installations de la déchetterie de Quiberon par les professionnels, à la suite d'installations de sécurité, imposées par AQTA, la gestion des "déchets" sur la presqu'île par l'intercommunalité est une suite de "couacs" prévisibles, où le marketing, fort développé, ne peut remplacer l'esprit "cartésien" des usagers !

Eco-stations, un investissement "coûteux", où le "déchet" ne fait pas bon ménage avec une forte densité de population. Trouver des emplacements à moins de 150 mètres est un véritable casse-tête de planification pour une commune !

Le "Manio", bien géré, est certainement la meilleure des solutions sur la presqu'île !

Lire la suite

06/10/2017

L'alibi facile des logements locatifs aidés !

L'urbanisation de la partie Nord de Quiberon est en route, la mer est encore loin !

Parking du Rond Point de la Gendarmerie.jpg

Après le remodelage "raté" du rond-point de la gendarmerie, la réutilisation des terrains SNCF démange les élus de Quiberon. Pour construire du logement locatif aidé (29), 700 mètres carrés de surface commerciale et 40 places de parking. Le projet serait privé et "Max Plus" transférerait ses locaux actuels dans les nouveaux, laissant ainsi la possibilité à ses voisins (Super U) ou d'autres de s'étendre. L'ancienne caserne des pompiers reste également disponible pour de futurs projets !

Dans ce "puzzle foncier" complexe, les ambitions de la distribution et autres activités commerciales sont importantes, puisque cette zone "Nord" est le point d'entrée obligatoire des chalands...et des voyageurs vers les îles. Faute de récupérer le "cimetière communal", le foncier "non bâti" y est rare et fortement parcellisé !

Comme dans bien d'autres projets, le logement social est aujourd'hui le "prétexte" respectable à la réalisation d'opérations immobilières. La loi ALUR, ainsi que le PLU poussent à la "densification", donc à la rentabilité de ce genre d'opérations... qui agitent désormais plusieurs quartiers de Quiberon.

La grande question, mise en avant par l'opposition, est le changement apporté à l'esthétique et le paysage des quartiers par un urbanisme en hauteur, qui tue à petit feu le "pavillon classique avec son jardin" ! et risque ainsi de transformer Quiberon en une cité "banale et commune" ! Politique en totale contradiction avec la volonté des élus de promouvoir "le haut de gamme" !

La "poussée" vers le Nord de Quiberon est inéluctable ! Mais attention à une "urbanisation de banlieue", qui risque à terme de tuer la cité balnéaire !

Lire la suite