08/08/2010
Un accueil "formidable" !
Les Pêcheurs Plaisanciers de Portivy ont 92 adhérents
De gauche à droite : Hubert le Padellec, François Dubois, Geneviève Marchand, Roger Mabille et Guy Jouan.
Vendredi soir avait lieu au centre culturel l'assemblée générale de l'Association des pêcheurs plaisanciers de Portivy (APPP). Etaient présents 32 adhérents, Geneviève Marchand, Maire de Saint-Pierre et François Dubois, 1er adjoint et responsable de la gestion du port. Roger Mabille, le président, s'est félicité du succès de la fête des pêcheurs du 17 juillet dernier. Il a également rappelé qu'une quarantaine de personnes étaient déjà inscrites au repas annuel qui aura lieu le 11 août à Quiberon.
Le trésorier Guy Jouan, a fait le rapport financier de l'association avec un compte dans le vert à 2 323 €.
François Dubois, lui, a rappelé que la liste d'attente pour avoir une place au port comportait 144 personnes, et que 4 à 5 pouvaient y accéder chaque année. Geneviève Marchand a demandé à ce que les voitures ne stationnent plus n'importe où sur la cale ouest, sous peine, dans les jours à venir, de se faire verbaliser.
Le président a évoqué le Grenelle de la Mer, dont les textes récemment signés risquent de rendre la pêche de plaisance de plus en plus surveillée et limitée. Il a d'ailleurs invité tous les adhérents à consulter ce texte sur internet. La nouvelle secrétaire de l'association, Laurence Forin, a été présentée aux adhérents.
Saisonnalité ? une fatalité ?
Pays d'Auray, un mois de juillet morose
Ouest France du 7 août 2010
Au mois de juillet, les rues d'Auray, comme celle la rue du Lait (ci-dessus), n'ont pas fait le plein.
Chaque été, le pays d'Auray fait le plein de touristes. Les villes de Quiberon et de Saint-Pierre Quiberon, par exemple, voient leur population passer de 5 000 à 75 000 habitants.
Il n'empêche, du côté des professionnels juillet a été plutôt morose. A Auray, la fréquentation touristique est jugée « catastrophique ». Les hôteliers sont particulièrement touchés. « C'est inquiétant, il y a un an, à la même époque, nous avions 300 chambres en plus de réservées », explique Marie-Lise, de l'hôtel Ibis, zone de Toul-Garros.
Sur Carnac non plus, le mois de juillet ne restera pas dans les mémoires. L'office de tourisme a rencontré une baisse de fréquentation au comptoir de 19 %, par rapport à juillet 2009.
A Quiberon, la fréquentation est aussi en baisse par rapport aux autres années. Surtout, les touristes sont arrivés bien après le 14 juillet. « Nous remarquons un glissement de la saison, au niveau du démarrage. D'où des chiffres d'affaires en baisse », explique Karine Piquet, présidente de l'office du tourisme de Quiberon ».
07/08/2010
Charges et Trésorerie !
Les réponses de Jean-Michel Belz
Ouest France du 5 août 2010
Jean-Michel Belz.
Quasiment point par point, d'une manière exhaustive, Jean-Michel Belz, président du syndicat mixte répond à la chambre régionale des comptes.
Par rapport à l'analyse financière du budget « ordures ménagères », il réplique : « La chambre remarque que le syndicat a abondement utilisé sa trésorerie pour reculer autant que possible la mobilisation d'emprunts. Le syndicat a volontairement retardé la mobilisation des emprunts pour tenir compte des contentieux en cours. »
Il se justifie encore : « L'indépendance des budgets signifie que les recettes d'un budget ne peuvent venir financer les charges d'un autre. Par contre, au nom du principe de l'unicité de caisse, il n'existe aucune interdiction à mobiliser de la trésorerie, par définition générale, pour retarder la mobilisation des emprunts. »
S'agissant de l'explosion survenue dans le four de l'incinérateur en 2007, « le syndicat a suivi la procédure prescrite par le Code de l'environnement, et a transmis dans les quinze jours qui ont suivi l'ensemble des éléments qu'il avait pu recueillir » indique Jean-Michel Belz. Cette note transmise en octobre 2007, a été jugée insuffisante par la préfecture, qui, en 2008, a mis le syndicat en demeure de compléter l'information.
« Le syndicat a donc fait le choix de recourir au concours d'un cabinet expert. Le rapport d'expertise conclut à l'absence d'éléments permettant d'aller plus loin dans l'analyse réalisée précédemment par le syndicat, relativement à l'origine de l'explosion. »