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22/08/2010

Théâtre Anne de Bretagne

Programmation du Théatre Anne de Bretagne, saison 2010/2011
2octobre 2010, Télégramme de Brest

2 octobre 2010 : Orchestre de Bretagne (musique classique) pour un récital au piano (Haydn, Mozart, Beethoven) et un concert symphonique (Brahms, Haydn).
8 octobre : Guy Marchand (musique) pour un concert s'appuyant sur son dernier album, «Aujourd'hui on s'taille».
12 octobre: «Le jeu de l'amour et du hasard» (théâtre) de Marivaux, mise en scène de Philippe Calvario.
20 octobre : Renan Luce (chanson) pour le premier concert à Vannes du chanteur originaire de Morlaix.
4 et 5 novembre : «Le jour de l'Italienne» (théâtre) de Marivaux, mise en scène de Sophie Lecarpentier.
9 novembre : «L'homme à tête de choux» (danse), une chorégraphie de Jean-Claude Galotta sur des reprises de Serge Gainsbourg chantées par Alain Bashung.
19 novembre : Ensemble Matheus et la flotte de Brest (musique classique), 80 artistes sur scène pour interpréter trois pièces, dont «La messe du couronnement» de Mozart.
23 novembre : «Miam Miam» (humour), du théâtre de boulevard de et avec Édouard Baer.
28 et 29 novembre : «Le soir, des lions...» (musique) au Dôme de Saint-Avé pour un tour de chant de François Morel, l'ex-Deschiens.
3 et 4 décembre : «Traces» (inclassable) par la compagnie des 7 doigts de la main pour un spectacle mêlant les disciplines du cirque aux arts de la rue.
9 décembre : «Le Quatuor» (humour), quatre violonistes mêlant musique et humour.
11 décembre : «Premier amour» (théâtre) de Samuel Beckett avec Sami Frey.
17 décembre : «L'opéra des gueux» (lyrique), d'Erik Krüger, opéra de John Gay joué aux Créneaux de Suscinio cet été.
8 janvier 2011 : Jean-Jacques Milteau Quintet (musique) pour un concert de blues et de jazz.
11 janvier : Fabio Biondi (musique classique), le violoniste italien en formation trio.
12 et 13 janvier : «Parole d'oiseau» (jeune public, dès 3 ans), par l'ensemble Odyssée et compagnie.
14 et 15 janvier : «Les chaises» (théâtre) d'Eugène Ionesco, mise en scène de Luc Bondy.
Janvier 2011 (à préciser): Fellag et Marianne Epin (théâtre) d'après «Les chroniques» d'Antonio Lobo Antunes pour une création dans le cadre d'une mini-résidence au TAB.
22 janvier : «Bitter Sugar» (danse), une chorégraphie de Raphaëlle Delaunay, inspirée par Alvin Ailey, avec six danseuses.
27 janvier : Orchestre des Champs-Élysées (musique classique) pour un programme comportant du Haydn et du Mozart.
1 et 2 février : «La femme sans passe» (inclassable) avec Jeanne Mordoj, ventriloque, contorsionniste, comédienne...
8 février : «Oh boy!» (jeune public, dès 10 ans), d'après le roman de Marie-Aude Murail, dans une mise en scène d'Olivier Letellier, Molière du meilleur spectacle Jeune public 2010.
Du 8 au 18 février : «Le bizarre incident du chien pendant la nuit» (jeune public, dès 8 ans) d'Éric de Dadelsen, représentations dans une maison de quartier et un collège pour cette pièce traitant de l'autisme.
9 et 10 février : «Rain» (inclassable) pour le retour des Québécois du Cirque Eloize.
15 et 16 février : «Franchise postale» (humour), de et avec Pierre Richard, appuyé par son fils contrebassiste.
18 février : «Present Memory» (danse), une chorégraphie de Carolyn Carlson.
25 février : «Les acteurs de bonne foi» (théâtre) de Marivaux, mise en scène de Jean-Pierre Vincent.
15 mars : «Le tigre bleu de l'Euphrate» (théâtre) de Laurent Gaudé avec Tchéky Karyo.
19 mars : Avishai Cohen (jazz) pour un concert du contrebassiste avec sa formation trio.
21 mars : Accentus et le concerto Koln (musique classique), le retour de Laurence Equilbey avec son grand choeur Accentus.
25 mars : «Le pèlerinage de la rose» (musique classique) par l'ensemble Mélismes, à la Lucarne d'Arradon.
28 mars : «Le cas Jekyll» (théâtre) d'après l'oeuvre de Robert-Louis Stevenson, de et avec Denis Podalydès.
6 et 7 avril : «Comment ai-je pu tenir là-dedans?» (jeune public, dès 7 ans), une fable de Stéphane Blanquet et Jean Lambert-Wild inspirée par «La Chèvre de M.Seguin».
15 et 16 avril : «Fenêtres éclairées» (théâtre) par la compagnie Turak, une création préparée lors d'une résidence en octobre sur l'île d'Arz ou l'Ile-aux-Moines.
20 avril : «A story about... being free» (danse hip-hop) par la compagnie nantaise KLP.
21 avril : Yiddish Land (musique classique) avec l'ensemble Musique Oblique en formation à six musiciens.
16 et 17 mai : «Murmures des murs» (inclassable), nouveau spectacle conçu par Victoria Thierrée-Chaplin, avec sa fille Aurélia. 26 et 27 mai : «Il est plus facile d'avoir du ventre que du coeur» (théâtre) par la compagnie du Singe debout, mise en scène de Jade Duviquet, avec Cyril Casmère.
31 mai : Barbatuques (musique) pour un spectacle de percussions corporelles avec cet ensemble de São Paulo.
Mai 2011 (à préciser): carte blanche au poète breton Yvon LeMen (théâtre).

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Une démarche "intelligente" !

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21/08/2010

Encore un marché libre !

Immobilier, éclaircie sur le littoral breton
Télégramme de Brest du 15 août 2010
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Après une mauvaise année 2009, le marché de l'immobilier sur le littoral breton est en train de reprendre un soupçon de vigueur, grâce à la baisse des prix. Mais ce n'est pas l'euphorie. C'est dans le Morbihan que cette reprise est la plus perceptible.

Des vendeurs plus raisonnables.
Dans leur baromètre de l'immobilier paru début juillet, les notaires du littoral constatent depuis le début du printemps une augmentation d'environ 20% du nombre de compromis de vente régularisés. Pour MeSerrazin, notaire à Questembert (56), cette éclaircie est liée en grande partie à l'attitude des vendeurs, davantage disposés à se conformer à la réalité du marché. «Ce sont ceux qui s'alignent qui font redémarrer le marché. Quand ils acceptent de revoir leurs prétentions à la baisse, ils ont des visites et signent des compromis. Pour les autres, c'est beaucoup plus difficile».

«Quand les estimations sont réalistes, les biens se vendent rapidement», confirme Maud Caudal, mandataire et chasseur immobilier dans la région d'Auray (56), spécialisée dans le haut de gamme. «La confiance est revenue chez les acquéreurs qui disposent de budget entre 400.000 et 700.000euros. Ils préfèrent investir leur argent dans la pierre plutôt que de le placer», ajoute-t-elle. Parmi sa clientèle étrangère, ce sont les Belges qui tiennent le haut du pavé.

Le discours sur l'attitude des vendeurs est similaire sur le littoral finistérien. «Quand les biens sont surestimés, la clientèle nous fait remarquer qu'on n'est pas sur la Côte-d'Azur», note une négociatrice immobilière. Des professionnels vont même jusqu'à refuser des mandats quand les propriétaires sont trop gourmands. «Nous ne sommes pas des marchands d'illusion», explique Hervé Péron, P-DG du cabinet Kerjean à Morlaix, premier réseau indépendant du Nord-Finistère.

Les acheteurs ont l'embarras du choix.
Il y a beaucoup de maisons à vendre sur le littoral breton. «On n'a jamais vu autant de biens avec vue sur mer proposés à la vente. Mais il manque des acquéreurs. Les acheteurs reviennent parce que les prix et les taux d'intérêt ont baissé mais ils sont moins nombreux qu'avant la crise», note Philippe Delplace de l'agence Le Bec Immobilier de Vannes.

Dans le Sud-Finistère, on confirme que l'offre est pléthorique. «Mais elle ne correspond pas toujours à ce qui est recherché. La petite maison en bord de mer est très recherchée, par exemple du côté de Beg-Meil ou du Cap Coz. Mais il y a peu de biens à vendre dans ce secteur. Les propriétaires préfèrent garder leur maison pour la location», confie Sylvie Jacq, négociatrice à l'office notarial de Fouesnant.

La néobretonne boudée.
En Bretagne, deux catégories de biens ont la cote auprès des acquéreurs: les maisons de moins de 200.000euros et les maisons ou appartements proches des plages avec toutes les commodités.
«Sur la côte sud finistérienne, toutes les maisons entre 120.000euros et 180.000euros ne font pas le mois. Grâce à la baisse des prix, on revoit des jeunes acquéreurs, ce qui n'était pas le cas avant la crise», relève Sylvie Jacq.

En revanche, la maison néobretonne des années 60-70 n'a plus vraiment la cote, surtout si elle n'a pas été entretenue, ni modernisée. «Si elle est mal isolée, qu'elle n'est pas équipée de double vitrage ou s'il faut refaire l'électricité, elle est bradée, ou alors, elle reste sur le marché», souligne Edmond Oger, clerc de notaire à l'étude Levard-Inizan de Perros-Guirec (22).

Le retour des Franciliens.
Les Franciliens qui choisissent nos côtes pour leur retraite font un retour remarqué. Avant la crise ils représentaient 25% des acquéreurs. «Ils ont réussi à vendre leurs biens dans de bonnes conditions dans la région parisienne et reviennent au pays avec des budgets à partir de 350.000euros. On est débordé de contacts en ce moment», indique le Vannetais Philippe Delplace.
Frédérique Le Gall

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