24/10/2015
Les "rentiers" à la soupe populaire...
Les taux d'intérêt sont tellement bas, que les comportements des agents économiques sont "aberrants" !
Tout projet économique en France, aujourd'hui, est rentable, puisque les taux d'actualisation sont supérieurs aux taux financiers d'emprunt ! Il vaut donc mieux entreprendre, que de disposer de réserves financières, vivre à crédit, emprunter "au maximum", plutôt que de rembourser ses dettes.
L'Etat (c'est nous) est l'exemple même de ce comportement aberrant, où les déficits financiers (Budget, Sécurité sociale) ne sont pas corrigés, car le poids des intérêts à payer est stable ou en décroissance...
Les ménages sont incités à placer leurs réserves dans l'Assurance-vie (ce qui donne aux Compagnies d'assurance plus de pouvoir que le système bancaire) ou dans la spéculation boursière (qui est fortement aléatoire). L'immobilier de placement recueille le reste de l'épargne pour des raisons fiscales... Leur propension à l'endettement est aujourd'hui le seul projet rentable !
Le "taux bas" est le signe évident d'une économie en crise !
Document stratégique de programmation...
Le PLH, ou la dérive "Stalino-léniniste" du Conseil intercommunal...
La recentralisation "intercommunale" connaît des dérives de type soviétique, en faisant croire au simple citoyen, que des calculs prévisionnels déterminent une politique de logement !
Laurence Le Duvéhat, Vice-Présidente de la question, n'a malheureusement ni la formation, ni le temps pour cela... au fond il s'agit d'un jeu de "MONOPOLY" pour adultes désœuvrés !
Chez les "Indépendants et Paysans", on ignorait que PLR avait fait des stages en Union Soviétique !
La cohérence des politiques immobilières semble hésiter entre le "système départemental" d'avant la Loi Deferre et le "foisonnement" des projets des communes indépendantes !
La situation actuelle est prise entre des "PLUs" communaux, un SCOT de "Pays" et une "politique intercommunale", où les intérêts politiques et financiers semblent liés !
Attention aux dérives de ce système, où la démocratie n'a pas son mot à dire !
Libre circulation des oeuvres culturelles en Europe ?
La France serre les freins...
Avec une tradition culturelle et une protection des auteurs, très boutiquière, notre Pays dispose d'une réglementation "conservatrice" et "compliquée"...
L'arrivée de l'Internet "gratuit" et de ses copies "sans droit" met à mal quelques monopoles bien franchouillards, comme les grands de l'édition papier, celui des producteurs et distributeurs de films et celui de la Presse écrite...
Google "livres", il y a 10 ans, fit trembler le pouvoir politique, la Bibliothèque Nationale de France et les ministres de la Culture, accrochés à leur pouvoir.
Aujourd'hui Bruxelles remet le couvert en proposant d'améliorer le marché unique et faciliter l'accès à la culture et la connaissance de tous les européens.
Les "pratiques", même en France, changent sous la pression d'Amazon, Google, Facebook, Apple et les autres... la musique "sur support matériel" est dans le trou, entrainant des révisions dans les systèmes de distribution... la Presse précède l'Edition dans la transformation numérique des contenus et la révision des rémunérations des auteurs...
La Citadelle de l'Edition est attaquée par le "libre" dans le "scientifique" et cherche sa survie dans l'exubérance des productions !
La loi "Lang" remue encore, mais pour combien de temps ?