17/09/2015
Chronologie et interrogations...
Un "campeur", qui rentrait au camp à 3 heures du matin, a eu l'intelligence de crocheter l'ancre du bateau !
Le policier municipal est passé à 11 heures du matin pour constater ! c'est la famille du propriétaire du bateau, qui réside sur le camp, qui a prévenu.
Les mouillages devant le camp de camping du Rohu sont utilisés en majorité par des campeurs... on peut se demander s'ils s'acquittent de la taxe ?
Le contrôle des mouillages incombe désormais à la commune, et donc à l'employée, qui gère le camp. Existe-t-il un journal des mouvements des campeurs, équipés de bateau ?
En bref, la saison d'été 2015 s'achève par un accident de voiture à l'intérieur du camp, avec intervention des pompiers... une partie du grillage n'est toujours pas remplacée !
La présence de l'employée du camp est aujourd'hui insuffisante, pour assurer la "sécurité" du camp de camping municipal !
Co-Working, zéro "pointé"...
Après le thé dansant, la nouvelle équipe municipale, appuyée par l'adjoint à la communication, avoue, qu'elle s'est trompée...
Le "co-working" à domicile est réalisable, encore faut-il que les infrastructures "télécom" soient à jour !
La couverture "mobile" est aujourd'hui toujours mauvaise à Saint Pierre Quiberon, malgré les nouveaux accords avec Orange, alors que la "4G" fonctionne parfaitement à Quiberon.
L'ADSL pourrait accorder des "débits triplés" (autour de 15 à 20 millions de bits par seconde) si Orange installait en Centre-ville et dans chaque village des sous-stations DSLAM, comme à Penthièvre ! L'investissement pour l'opérateur est faible et le client pourrait ainsi "attendre" la fibre "officielle" !
L'ENVSN, avec qui le Maire a des relations amicales, offre un meilleur cadre qu'une école primaire pour du "co-working" !
A Saint Pierre, on a des idées, mais elles ne rapportent pas vraiment !
16/09/2015
Le virus, qui contamine la "santé" en France...
Les décisions politiques (maladroites) et les décisions administratives veulent transformer un métier "humain" en un travail purement administratif !
La Sécurité Sociale se porte mal, puisque l'on soigne désormais à crédit ! L'endettement est tel, qu'il faudra un jour ou l'autre, rembourser ces dettes en créant une taxe nouvelle !
La notion de prix a disparu de l'économie de la santé, celui de coût global risque également d'être oublié grâce au tiers-payant... résultat, le malade ne joue plus son rôle économique de régulateur... les dépenses s'emballent, la qualité n'est plus prise en compte, l'heure de médecin qualifié ne vaut plus celle d'une femme de ménage !
La technologie doit faciliter la vie de tous, malades et personnels soignant, mais certainement pas de contraindre "le médecin" à devenir un "moine guérisseur" !
La porte de sortie de cette crise permanente de la Sécurité sociale est le retour à l'évaluation par le prix réel des prestations, à la libre rémunération du personnel soignant, en visant un objectif de qualité, et non du quantitatif, au paiement complet par le malade de ses frais médicaux. Un chèque "Poniatowski", identique et plafonné, permettant de faire face aux principales dépenses...
Finis, le mal de dos, générateur de 8 jours d'arrêt, la cueillette des haricots en septembre aux frais de la sécu et des visages pâles en fin de Week End !