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07/06/2012

Soirée électorale de Nathalie Le Magueresse à SPQ !

Le "même jus" repeint en rose, c'est insipide...

Quelques notables de la même couleur assistaient à cette soirée : Madame G, les conseillers Dubois, Jean, Livory, Marouille... le conseiller général de Belle-Ile, la sénatrice Herviaux... et un public plutôt paisible.

Après un exposé liminaire de Nathalie reprenant le tract de campagne, son suppléant Yves Roquet détaille la situation actuelle à l'Education Nationale, pour en déduire que la seule mesure de redressement est de recruter 60.000 nouveaux fonctionnaires. Pour un professeur d'histoire-géo la réflexion est un peu courte ! Un voyage en Allemagne de l'Est avant la chute du mur aurait certainement fait du bien...

Monsieur Morizon demande comment "la Gauche" compte diminuer les charges du Pays... silence embarassé de la candidate, les augmentations fiscales étant surement mieux connues !

Monsieur Hennel interroge Nathalie sur le maintien des "35 heures" avec la Gauche au pouvoir. Selon la candidate toute modification serait impossible à mettre en place... monsieur Roquet invoque les mesures de Léon Blum (paix à son âme) sur l'introduction des congés payés...

La "fumée" sur les mesures contre la loi de décembre 2010 est épaisse ! Le Pays d'Auray, la grande Communauté, la marche forcée vers l'intercommunalité, rien n'est arrêté encore... si bien que les positions socialistes sont floues, très floues !

Quant au "tirebouchon" et à la "plateforme multimodale d'Auray, la candidate y croit dur comme fer, n'ayant probablement qu'une idée très théorique de la productivité personnelle et du libre choix du consommateur...

Même si la candidate connaît les assemblées parlementaires parisiennes par son job actuel, ses prises de position, ses opinions sa personnalité ne la qualifient certainement pas pour un poste de député !

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Au moins trois gueuletons ?

1.083.482 euros de "garantie" financière pour la construction du HLM Centre-ville, excusez du peu !

Alors que certains financements couvrent une opération d'acquisition foncière, qui n'existe pas, les engagements de la Commune de Saint Pierre portent sur une durée de 50 ans, bien au delà de l'espérance de vie de notre Maire...

La signature d'une caution est un acte "dangereux" et révèle ainsi que l'opération HLM n'est pas "sans coût" pour la commune. Il est toujours possible de couvrir ces risques inconsidérés auprès d'un organisme financier au prix de charges financières récurrentes jusqu'à l'amortissement des emprunts cautionnés...

La confiance ainsi accordée semble "légère" en période d'euphorie financière, beaucoup moins sympathique si cette garantie était personnelle, au nom de Madame G, par exemple...

La gestion de ce bâtiment, étant déléguée, n'est pas non plus sans risque (nous sommes dans le domaine social, où les loyers sont parfois impayés). La cessation de paiement d'un organisme HLM est possible en période de crise... avec bien entendu le coup de bâton des financiers, ainsi que des intérêts financiers, qui peuvent monter très vite.

Une politique, dite de gauche, peut-elle justifier une telle décision financière ?

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Euro Bonds ?

La mutualisation des risques ou de la paresse ?

Après le "loupé" du pacte budgétaire européen, qui oblige chaque état membre à adopter une loi de finances équilibrée, le mirage des "euro bonds", proposé par notre Président, est vivement contesté par Thilo Sarrazin, ancien membre de la Bundesbank...

La "monnaie unique", cadre idéal pour des échanges faciles au sein de la zone économique européenne, ne règle pas les distorsions de situation entre états membres. Le recours à un endettement élevé pour financer des projets plus ou moins rentables placent les Etats les plus faibles dans les mains des marchés de refinancement.

Le décalage vertigineux entre la France et l'Allemagne rend le dialogue difficile, il risque de succéder à celui entre l'Europe du Nord et de la Grèce...

Accroître l'endettement de tous, n'est que reporter à plus tard les questions d'arbitrage budgétaire interne.

Faire adopter la "discipline allemande" par la "cigalité française", c'est un sacré défi !

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