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05/06/2012

Zéro "pointé" ?

EELV et PS, des projets identiques, mal fagotés !

Après la Droite en mal d'idées nouvelles, la Gauche est encore plus nulle que les Verts !

Les mesures, dites de "dirigisme stalinien", sont de créer une Banque publique d'investissement et un Livret Indisutriel...En contrepoint on recherche des chefs d'entreprise de PME, capable de développer la croissance avec une "rémunération" au SMIC...

Mêmes balivernes avec le tourisme, le nautisme, l'agro-alimentaire. La création du Ministère de la Mer devrait sauver les pêcheurs et conchyliculteurs...

La TIPP "flottante" est désormais dédiée aux Iles du Ponant, depuis la baisse des cours du pétrole !

Auray doit se défendre dans le casse-noix Lorient-Vannes...

Avec Nathalie "au pouvoir" on est à peu près certain d'aller dans le mur, tant sa formation économique est du niveau Bac Pro...

Anne-Marie Boudou présente quelques idées originales : le plan de rénovation thermique de l'habitat (un bon point pour l'artisanat local), la chimie verte à partir de matériaux "bio-sourcés", la fiscalité écologique...

et des aneries à avaler tous les matins : la complémentarité des territoires (Campagne versus littoral), une alternative aux transports routiers (elle "tirbouchonne", elle aussi !), la "planification" des déplacements intercommunaux (voyage gratuit à Moscou !), la fin des pesticides, la sélectivité des "engins de pêche"...

Au fond il est heureux que les électeurs ne soient pas tentés de lire la "prose économique" de ces deux candidates... le brouet est insipide... Zéro pointé !

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04/06/2012

La qualité "en Bretagne" ?

L'agroalimentaire "bretonne" est malade de la "grande distribution" !

Le consommateur français, pourtant fin mangeur à table, est trompé depuis les années 60 sur la qualité des produits, offerts par la Grande distribution. La course "aux prix les plus bas" tord le cou progressivement à tous les industriels, qui mettent le doigt dans le système.

Car, prix bas, veut fatalement dire recherche de productivité à tous les niveaux : élevage des volailles, abattage et éventuellement transformation. C'est ainsi que l'on découvre aujourd'hui des sachets contenant 10 cuisses de poulet !

Le prix d'une volaille repose essentiellement sur le coût de sa nourriture : le soja d'importation (célèbre par son récent transporteur, le TK Bremen) est moins cher que le blé "local". Quand les cours flambent à la hausse, il est en général impossible de les répercuter à la vente.

Ajouter à ces éléments une implantation délicate au Brésil (le principal concurrent sur les marchés juteux du Proche-Orient), une réglementation coûteuse de mise à niveau des élevages (le confort des volailles), une gestion traditionnelle de quasi-monopole, après la chute de Bourgoin, un endettement progressif détenu par une Banque anglaise...

Un changement politique majeur déclenche alors naturellement une révision de la politique de crédit du principal créancier, et met l'entreprise au pied du mur !

En France les politiques pensent pouvoir régler ces problèmes financiers d'un coup de pouce ! C'est méconnaître le droit commercial, qui impose au chef d'entreprise sous peine de poursuites pénales de déclarer la cessation de paiement avant une échéance difficile ou impossible à honorer !

Les banques y sont favorables, car leurs garanties en général bien fournies leur permettent de sauver les meubles pendant la période de redressement judiciaire, où l'endettement est "gelé"...

Proposer la majorité du groupe Doux à un banque anglaise est une "faute politique" majeure envers les bretons et les éleveurs de volailles.

La seule voie d'évolution : la "qualité", standard ou Bio, et la recherche de marchés en dehors de la Grande Distribution !

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Cornichons à Kerhostin ?

L'émir de Kerhostin vote "à gauche" pour voir...

Le drame de la vie professionnelle est la rupture avec un monde vivant, qui bouge, à partir du départ en retraite. Se souvenir de ses hauts faits d'arme avec Michel Sapin il y a quelques années peut être "touchant", mais n'autorise en aucun cas un virage à 180 degrés dans une ligne politique !

Les médias, que le "cornichon" a caressé avec un peu de vinaigrette, changent à grande vitesse. Le mobile et les réseaux sociaux dictent maintenant leur loi, car leur usage est devenu plus important et plus réactif que celui du média "papier".

Dans les élections législatives de 2012 la place de "Facebook" et de "Dailymotion" est incontournable ! Sur ce média la comparaison entre les candidats met en tête "Agir pour le Morbihan", qui devance l'amateurisme de Philippe Le Ray et Nathalie Le Magueresse.

Allez, un cornichon est bon, quand il est frais et craquant !

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