29/05/2012
Contournement ? une évidence !
Saint Pierre Quiberon se préoccupe des 2% de trafic automobile qui passe en Centre-Ville, une très grave erreur d'appréciation....
La "départementale" D 768 accueille aujourd'hui, et particulièrement lors des week-end ensoleillés, un trafic de folie.
Le flux traverse Saint Pierre en plusieurs carrefours très dangereux : le Roch, équipé d'un feu rouge, le double huit du Centre Culturel, la rue de l'Atlantique (futur axe départemental choisi pour des raisons financières), équipée d'un feu rouge, la rue Constant Vinet, et la rue Emile Guillas, équipée d'un feu rouge.
Le Carrefour "à l'anglaise" de l'Ecole de Voile est en attente de réalisation (le coût est trop élevé pour les finances de la Ville...).
Les responsables de la municipalité, le Père François en tête, croisent les doigts aux heures de pointe quotidiennes et lors des week end de migration.
Pourquoi "entuber" aujourd'hui le trafic automobile depuis le feu rouge de Kerhostin, comme au 19ème siècle sur la route impériale, jusqu'à Quiberon ?
Plutôt que de se préoccuper de "circulations douces" Madame G devrait penser aux travailleurs quotidiens et aux touristes, qui ne veulent pas mourir "sur la route" à Saint Pierre Quiberon...
Du courage, de la pertinence et des idées simples ! Arrêtons de parler en Conseil des "chaînes mère et filles" !
28/05/2012
On Fume... à Plouharnel !
Ne pas confondre "la forme" et le contenu...
Le mot "bibliothèque", affublé de "municipale" fait ringard ! A Saint Pierre Quiberonon a choisi le terme de "médiathèque", le livre n'étant plus le seul média proposé.
A Plouharnel on revient en arrière : "Cyberlec" est une expression "d'initié", Biblio-net est plus comestible...
Mais au fait combien y-a-t-il de lecteurs fidèles à Plouharnel ?
La démocratie "en danger" ?
Les règles de financement des campagnes électorales sont "iniques" !
Aujourd'hui le poste principal de frais d'une campagne est constitué par le "papier imprimé" : affiches, tracts, profession de foi, bulletin de vote. Malgré un encadrement réglementaire, le recours à un imprimeur privé est coûteux, très coûteux en raison des volumes.
Afin d'accroître le rendement, l'envoi par "MédiaPoste" des "poignées" est également très cher. La rentabilité n'est pas assurée par la couverture postale en raison des "refus" légaux de recevoir de la publicité des boites aux lettres...
Restent les autres moyens : le mail de masse (les listes d'adresses sont coûteuses et peu sûres...), le marketing téléphonique (ou phoning), le site Internet et les blogs...
En dehors des grands "partis", le financement d'une campagne est "personnel", la barre des 5% étant souvent un obstacle infranchissable.
Disposer de 30.000 euros n'est pas courant. A cela ajouter l'investissement personnel en réunions publiques sur 15 jours... La campagne d'un député n'est pas aussi simple que cela !
Chapeau, les artistes !