02/01/2012
400 emplois ?
Le passé et la personnalité de nos élus : les différences entre La Trin et Saint Pierre !
Finis, les "ronds de cuir, les petits fonctionnaires, les professeurs de gymnastique... même s'ils ont du mérite de s'engager dans la vie municipale, leur aveuglement et leur manque d'expérience dans la vie des affaires doivent les conduire à diriger des associations et oeuvres caritatives, pas plus...
Le programme de notre municipalité (même s'il est complété avant les prochaines élections) n'est pas à la hauteur des défis du monde moderne. Aujourd'hui Saint Pierre est entouré de mairies beaucoup plus ambitieuses et dynamiques : Quiberon, Plouharnel, Carnac et la Trinité sur Mer...
qui entreprennent les changements indispensables à une vie moderne de leurs habitants.
L'obscurantisme "de gauche", lié à une passion "sectaire" écologiste conduit notre commune dans les cordes, vers un développement des investissements et dépenses municipales sans aucune utilité économique... La paupérisation croissante et le déclin des activités rendra les efforts de remise à niveau difficile : le réseau routier "misérable" par choix devra être "amélioré", le réseau électrique en bord de mer devra être "enterré", le réseau d'assainissement devra être revu...
Une bonne politique, c'est faire de bons choix économiques, car le travail aujourd'hui est la valeur centrale de notre société !
01/01/2012
Nord, Sud, le centre de gravité ?
Dans la plupart des agglomérations, le centre de gravité "commercial" se balade ! Est-il raisonnable de voir la "municipalité" s'en mêler ?
L'organisation de la "Cité" est un fait "historique", empilement de décisions individuelles de commerçants, maintenant "dirigée" par la Municipalité, qui veut construire "sa ville" (ZAC Centre-ville à Quiberon, Office de Tourisme de Saint Pierre). La "voiture" est venue perturber cette organisation et cette volonté par la question insoluble du parking au pied de chaque commerce... Les différents cabinets d'urbanisme, qui en général ne "vivent" pas sur place, théorétisent la ville idéale et "vendent" ce qu'ils ont fait ailleurs...
A Quiberon, comme à Saint Pierre, la plupart des commerces se portent mal et le remplacement de la génération sortante sera difficile. Ajouter à celà des décisions municipales (donc des impôts locaux), qui accentuent la concentration des visiteurs sur une zone, et qui enlèvent aux commerçants et à leur groupement toute envie de se prendre en charge... c'est le malaise assuré !
Même si les décisions touchant au Tourisme réclament une structure "forte" (certainement pas à Saint Pierre) de façon à prolonger dans le temps la "manne commerciale", est-il judicieux "d'imiter" les villages de Noël de l'Est et les pistes de ski de la Tarentaise, quand on se situe en bord de mer et près d'une superbe baie ?
Entre la Gare, l'Eglise, la Place Duchesse Anne et la Place Hoche, la ville de Quiberon voit-elle réellement un centre de gravité ?
Crise ? Les réponses...
Les politiques "économiques" font leur effet au bout de 12 à 24 mois environ... Trop tard pour la "Présidentielle" !
En politique les effets d'annonce sont importants, car le grand public n'est pas exactement informé de la situation économique réelle, sauf celle qui touche directement ses finances personnelles.
Le Plan en 3 points, présenté lors des voeux 2012, ne semble pas à la hauteur des enjeux. De toutes façons son application, si elle a lieu, se fera sentir en 2013 et 2014... alors ?
Depuis 30 ans on a préféré "indemniser" les chômeurs (avec des systèmes ultra-compliqués) en fonction de leur passé économique, c'est le système des "droits", qui deviennent désormais une revendication de base, alors que nous fonctionnons encore avec une rémunération fondée sur le travail fourni... La formation de mise à niveau ou de reconversion est plus ou moins liée à ces prestations financières, ce qui a donné lieu à une certaine époque à la "chasse" du stage suivant... Résultat : une population de "chômeurs" peu adaptée à la demande réelle des entreprises, et surtout peu motivée par la reprise du travail après des mois d'indemnisation fixe...
La TVA "sociale" est le serpent de mer, qui va à l'envers du "libre-échange" et de la maîtrise de l'inflation... Il n'est pas envisageable de financer notre système de soins par de nouveaux droits de douane, qui appauvriraient la population française.
Quant à la taxe sur les transactions financières, cette opération "à la marge" ne règle en rien les problèmes de fond !
Les vrais problèmes de notre économie à la dérive sont simples :
Ne rémunérer que le travail, rien que le travail et ne pas limiter la durée du travail !
Réduire les dépenses publiques de manière significative (ceci passe évidemment par une baisse de la rémunération des agents de l'Etat),
Augmenter les recettes fiscales sans tuer l'activité économique,
Mettre un frein à la dérive des dépenses des Collectivités territoriales et
remettre en cause le fonctionnement actuel de l'Assurance Maladie...
Merci, Monsieur Cohen, voilà des voeux 2012, qui sentent la"poudre" !