Les Secrets de Saint Pierre

La Cour des Comptes révèle les mensonges de l'Etat socialiste et des opérateurs de télécommunication !

La situation de quasi monopole d'Orange sur le réseau "cuivre" perturbe bien entendu les mutations du réseau "fibre"... car le rendement financier de l'ancien réseau pousse Orange à l'immobilisme.

La notion de couverture en pourcentage de la population donne l'impression au citoyen moyen que le plan de conversion est dans les clous...

Aujourd'hui la France se retrouve à la 26ème place en Europe, très loin derrière ses voisins, qui bénéficient d'un réseau moderne.

L'erreur de départ, qui était voulue par les opérateurs, a été de découper le pays en trois zones : forte densité, densité moyenne et faible densité, en réservant les premières zones à Orange, qui maintient ainsi son monopole historique... la deuxième erreur a été de confier la troisième zone à une organisation "bien française", le réseau d'initiative publique, qui délègue à un syndicat mixte (en Bretagne Megalis) la réalisation sur des choix "politiques" des intercommunalités...

L'erreur "globale" est de vouloir câbler des "zones" géographiques et non des "clients" intéressés... ce qui donne des résultats de raccordement très décevants...

La Cour des Comptes propose de mettre en concurrence "la fibre" avec des technologies alternatives (réseau coaxial en immeuble, satellite et technologie radio 4, puis 5 G) et de privilégier le raccordement de toutes les entreprises.

C'est une solution, mais qui n'attaque pas le manque de concurrence entre opérateurs. Le détachement du réseau Orange de l'opérateur de même nom serait beaucoup plus efficace pour redonner à ce marché une vie économique "normale" et "au service du client".

L'Etat doit reprendre la main sur les infrastructures et privatiser définitivement Orange ! ou utiliser le système de la "concession" !

AQTA, Agglo de Vannes, le "fromage" du tourisme est une vraie "pièce montée" !

La recherche "perpétuelle" du partage des décisions met à mal le "lien hiérarchique" direct !

La "nationalisation" des Offices de tourisme est immédiatement complétée par une SPL à double Conseil d'administration et comité stratégique, avec "comédie en 3 actes" obligatoire...

Philippe Le Ray, mamamouchi en chef, Cindy Hervé, mamamouchi en second, Bernard Hilliet, mamamouci Président "commando", Comité stratégique, 23 mamamouchis locaux, 23 vice-Présidents, mamamouchis officiels, 9 directeurs ou directrices, mamamouchis de "terrain"...

Le "comité stratégique" est divers, du Sofitel (Quiberon) au Loisir Cycle (Quiberon), en passant par les Mégalithes, le Casino Circus et l'Académie de musique et d'art sacré de Sainte Anne d'Auray...

Dans le plus bas de la hiérarchie opérationnelle, la Directrice de l'Office de Saint Pierre, spécialiste "Facebook"

Intelligence et succès, ou compote locale et coûts exorbitants ?

Gérer une ville, c'est gérer pour tous !

Quiberon, par ses projets actuels, monopolise ses actions, ses moyens et son temps dans l'immobilier, notamment l'immobilier social.

A l'image des grandes villes, qui regrettent aujourd'hui d'avoir construit des "ghettos" en périphérie, et qui sont devenus des "problèmes de société", Quiberon, cité balnéaire proprette, se place dans la même ligne, en répétant les erreurs des précédentes équipes municipales.

Construire "bas de gamme" pour accueillir "haut de gamme" est une hérésie, que Louison Bobet n'a pas développée ! Présenter "Boulez" ou "Debussy" à 500 personnes, pour monter en gamme, n'est pas non plus une bonne idée.

L'équipe municipale doit faciliter le travail de ceux, qui vivent, entreprennent et transforment, par l'amélioration des infrastructures, des espaces verts, des chemins de randonnées.

Réserver un terrain à un promoteur "social" Avenue de Gaulle pour construire quelques logements sociaux, alors qu'un voisin, le  distributeur LIDL cherche à agrandir son bâtiment est une erreur "économique" et collective.

Massacrer la rue de Kermorvan au profit encore de logements "bas de gamme", c'est faire fuir un jour les propriétaires de cette rue, augmenter ainsi la fameuse "densité" ALUR, puis faire à terme de Quiberon une cité "sans âme", et donc sans touristes !

L'opération "Briellec 3", telle qu'elle est présentée par EADM, vise "à densifier encore  au nom du social" la dernière zone verte d'importance au Nord de Quiberon. Imiter la structure du village de Saint Julien, déjà défiguré par des bâtiments scolaires municipaux, vise à calmer les oppositions au projet...

Alors, parler de "délestage des eaux pluviales" est plutôt positif. Ces actions relèvent bien des priorités des cités côtières et balnéaires... oui, mais rien n'est prévu à Saint Julien, où la rue de la Petite Côte se jette directement sur la plage !

Gérer "collectif", c'est tout de même plus pertinent !