UA-69286360-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/08/2010

Au coup par coup ?

Mairie, l'intercommunalité en vue à Saint Pierre
Télégramme de Brest du 30 août 2010
QuartierRohu.jpg

C'était la première d'une longue série qui va occuper tous les vendredis soir à venir. Les réunions publiques de village ont, en effet, commencé vendredi dernier, avec les questions des habitants de Kermahé, Kerbourgnec et du Rohu (lire ci-dessous). Avant d'évoquer les questions et revendications spécifiques à leur village, c'est par un tour d'horizon plus général que la réunion a commencé.

Avec Quiberon, Houat et Hoedic?

Du côté de l'intercommunalité, le préfet devrait donner sa décision fin septembre sur l'éventualité d'une communauté de communes avec Quiberon, Houat et Hoedic. En effet, au 1erjanvier 2012, il ne pourra plus y avoir de «communes isolées» sur le territoire français.
Le maire a aussi évoqué la démolition prochaine du garage Périon qui laissera place à quinze logements (T2 et T3) et à l'office de tourisme au rez-de-chaussée sur 100m². Le bâtiment occupera également l'espace animation. «Pour le moment, les plans définitifs ne sont pas arrêtés, a expliqué le maire. Il y aura deux étages. Les premiers projets d'architecte vont nous être proposés prochainement. Ils seront visibles en mairie». Quant au lieu du futur espace animation, les élus sont restés sans réponse car aucune décision n'a encore été prise. Le marché restera sur les places.

Avenue de-Gaulle, rond-point du Rohu

L'avenue du Général-de-Gaulle va être aménagée. Les élus ont expliqué que les relevés topographiques, ainsi que la partie technique devraient être achevés pour la fin de l'année, le reste suivra en concertation avec les commerçants. En 2011, le projet d'aménagement du carrefour du Rohu devrait être abordé ainsi que le transfert de l'avenue de l'Atlantique en route départementale. Concernant l'itinéraire cyclable, le maire n'a pu qu'appeler à être encore patient pour pouvoir passer l'isthme à vélo: «En 2010, le conseil général a réalisé une étude d'impact, il va falloir maintenant travailler sur les conclusions de cette étude».
Les habitants des villages de la commune s'expriment
Ouest France du 30 août 2010
va35_2232505_2_pre.jpg
Le cromlech de Kerbourgnec, un site d'exception que la municipalité voudrait pouvoir mieux protéger.

Vendredi soir Geneviève Marchand réunissait son équipe et les habitants des villages qui forment la commune. Ce sont les villages de Kermahé, Kerbourgnec et le Rohu, soit la zone géographique allant de l'église jusqu'à la limite de la commune qui a été la première abordée. Une trentaine de résidents étaient au rendez-vous, pour la plupart venus avec une ou deux questions sur leur quartier. Cette réunion est la première d'une série de six.

Bien évidemment au coeur de toutes les préoccupations, le réaménagement à venir de centre ville de Saint-Pierre qui débutera dès cet automne. Un nouvel immeuble de deux étages, composé essentiellement de T2 et de T3, verra le jour en 2011 à la place de l'actuel espace animation. Cet immeuble inclura au rez-de-chaussée l'Office de Tourisme.

Geneviève Marchand a annoncé qu'il était question d'un projet de rond-point au carrefour du Rohu, mais que ce dossier devait passer par le conseil général et donc prendrait du temps avant de voir le jour. Le Parc de Kerbourgnec devrait aussi être aménagé avec des jeux et de nouvelles plantations d'arbres.

Protéger le cromlechde Kerbourgnec

Sur le cromlech de Kerbourgnec, la mairie s'est avouée relativement impuissante. Seuls 10 cm de terrain autour des pierres appartiennent à la commune, le reste se partageant entre terrains privés et l'État. Ce site remarquable est souvent envahi de véhicules, dont parfois des camping-cars, qui se garent presque à toucher les pierres. Une demande d'aide a été faite à la DRAC qui a trouvé le site remarquable, mais n'a débloqué aucun moyen pour y remédier.

Même si une partie de la voirie a été refaite au niveau de la rue des Régatiers, face aux nouveaux lotissements de Kerbourgnec, la sécurité n'est pas tout à fait assurée. Conscients que les travaux ne seraient pas effectués dans l'immédiat, les riverains ont demandé à la commune d'installer en été des chicanes pour ralentir la vitesse sur cette zone sans trottoirs.

Lire la suite

29/08/2010

Scot et Plu, au travail !

Lutter pour l'environnement, des enjeux nationaux et locaux
Ouest France du 27 août 2010
va35_2231213_1_pre.jpg

Présidente de l'Association pour la protection des sites et la sauvegarde de l'environnement (APSSE) depuis 2004, Elodie Martinie Cousty, dont la famille est installée à Portivy depuis plusieurs générations, souhaitait laisser la présidence de l'association à d'autres. Elle a malgré tout été réélue pour les 3 ans à venir. « Avec néanmoins un bureau modifié à 95 % pour y faire entrer plus de locaux installés dans les villages, pour mieux ancrer notre travail sur le terrain » précise-t-elle.

L'association a été fondée en 1991, par des Portivyens, pour sauvegarder leur qualité de vie. Elle travaille sur les villages de Kerhostin, Portivy, Kéridenvel, Kervihan, Kergroix, et Kerboulevin.

Elodie Martinie Cousty se réjouit de voir que l'environnement est une préoccupation de plus en plus importante. Son association s'est très tôt engagée auprès du Conservatoire du Littoral et du Syndicat Mixte du Grand Site Gâvres Quiberon pour l'aménagement des sentiers de la Côte Sauvage et la modification des parkings.

Une participation active au Grenelle de la Mer

Ils ont aussi participé aux chantiers mis en place pour les écoles des élèves sur les sites aménagés. En 2007, l'association s'est opposée au projet immobilier alors prévu sur le port de Portivy. Sa présidente se félicite aujourd'hui de l'aboutissement de ce combat : « L'économie ne doit pas s'opposer à l'environnement et au bien être des habitants. Aujourd'hui, le port est plus vivant que jamais avec ses commerces sauvegardés. »

Elodie Martinie Cousty a également participé auprès du ministère de l'écologie à l'élaboration du Grenelle de la Mer. « Il faut savoir qu'au départ, en ce qui concernait la pêche plaisancière, le gouvernement était parti pour mettre en place un permis et de nombreuses restrictions. Nous l'avons fait évoluer vers plus de souplesse mais il va falloir que sur le terrain

« Les pêcheurs plaisanciers prennent bien conscience des tenants et des aboutissants de ce texte, de la nécessité de le connaître et de l'appliquer. Je suis d'ailleurs prête à les rencontrer sur le terrain pour en parler avec eux. »

Et les projets à venir

De nouveau à la tête de l'association, Elodie Martinie Cousty avoue avoir une grande foi en l'avenir. « Nos prochains gros chantiers sont le schéma de cohérence territoriale et le plan local d'urbanisme. Ce sont des enjeux à très long terme. Il faudra travailler sur la capacité d'accueil des communes du littoral, sur les problèmes d'assainissement qui en découlent, une approche plus douce des transports, la maîtrise du foncier, etc. »

Lire la suite

Les eaux pluviales, un problème !

Conseil municipal de Plouharnel, l'assainissement des eaux pluviales à l'étude
Télégramme de Brest du 28 août 2010
EauxPluviales.jpg

Jeudi soir, les élus se sont réunis en conseil municipal. Les délibérations ont été rapides pour cette session de rentrée. Si les conseillers municipaux se sont retrouvés autour de la table en cette fin du mois d'août, c'est que les demandes de subvention pour le schéma directeur de l'assainissement des eaux pluviales auprès du conseil général (20% du montant total) et de l'Agence de l'eau Loire-Bretagne (50%) étaient à faire rapidement. Le maire, Gérard Pierre, a insisté sur la nécessité de faire cette étude qui sera intégrée dans le cadre du Plan local d'urbanisme (Plu): «Nous allons lancer lesappels à candidature pour ceschéma directeur», a-t-il annoncé.

Profils des eaux de baignade au Conseil municipal
Ouest France du 27 août 2010

Le schéma directeur d'assainissement des eaux pluviales en commune côtière est estimé pour un coût de 50 000 € HT. Un appel à candidature est lancé.

Lire la suite