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11/05/2010

Information ou "intox" ?

Le site Web de la commune informe le 10 mai 2010 (rubrique "actualités") que le conseil municipal se tiendra à 20 heures le 11 mai !

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A-t-on les moyens ?

Rencontre régionale des gardes du littoral à Saint Pierre Quiberon
Ouest France du 11 mai 2010

Ganivelles.jpg

Une cinquantaine de gardes du littoral, venus de toute la Bretagne se sont retrouvé au Centre culturel de Saint-Pierre Quiberon, jeudi, à l'initiative du Conservatoire du littoral (photo). Au programme de cette rencontre : la sensibilisation à la prise en compte du patrimoine archéologique sur les sites naturels.

Tous furent accueillis par un petit-déjeuner offert par la Ville
avant les quelques mots prononcés par Geneviève Marchand, en préambule de cette journée de travail. Elle a rappelé à l'occasion que le Conservatoire était le premier partenaire de la commune pour la protection de la côte, suivi de près par le Syndicat mixte du grand site dunaire Gâvres Quiberon, représenté par Emmanuelle Elouard.

« Nous avons eu peur, ici, mais ça va mieux, notre côte sauvage commence à revivre ! Mais il était grand temps de la protéger car avec un million de visiteurs par an les sites étaient de plus en plus détériorés. »

Geneviève Marchand a ensuite remercié collectivement tous les gardes littoraux pour leurs engagements dans la sauvegarde de la nature avant de leur souhaiter de bien profiter de ce voyage si dépaysant qui les attendaient le lendemain à Hoëdic.

Ensuite, la délégation Bretagne du Conservatoire à fait un bilan des activités et des sites avant un questions-réponses avec l'auditoire. La DRAC (direction départementale des affaires culturelles) est ensuite intervenue.

L'après midi, les gardes ont visité le site de la Côte Sauvage où leur ont été présentés les travaux de restauration du site, par le Syndicat mixte.

Penthièvre, 200 mètres de ganivelles posés sur la dune
Télégramme de Brest du 7 mai 2010

La dune mobile de Penthièvre, sur sa partie nord, était largement colonisée par les cinéraires maritimes, une espèce potentiellement invasive pouvant exclure la flore typique de la dune. Un premier chantier avait permis l'arrachage de plant, la semaine dernière. Et mardi, les gardes côtiers du syndicat mixte du Grand-site Gâvres-Quiberon ont encadré les jeunes de la Maison familiale et rurale d'Arradon, pour installer environ 200m de ganivelles sur les 420m qui seront posés en tout.

Favoriser la repousse d'une végétation typique

«Il nous fallait mettre en défense la dune mobile pour éviter tout piétinement et installation d'éventuels plagistes, explique Yaouen Sabot, le garde côtier de la presqu'île. Grâce à ces ganivelles, cela va permettre la repousse d'une végétation typique tels que les oyats, les chardons bleus. Les ganivelles ont été achetées par la commune. Les services techniques ont aussi apporté leur aide en prêtant un véhicule pour le transport du matériel». Grâce à ces chantiers pédagogiques, des travaux de gestion nécessaires à la biodiversité peuvent voir le jour. C'est aussi l'occasion d'échange entre des jeunes étudiants et les gardes côtiers qui peuvent dispenser sensibilisation et connaissances.

Grand site Gâvres-Quiberon, les ganivelles disparaissent
Télégramme de Brest du 11 mai 2010

Adrien Le Formal, président du grand site dunaire Gâvres-Quibneron, est en colère. Les ganivelles s'envolent au fil des week-ends. Les ganivelles, ces barrières de bois, servent non seulement de clôtures le long des chemins côtiers ou des espaces naturels à protéger, mais elles servent aussi à retenir le sable des dunes. Dans le secteur du Magouëro, à Plouhinec, les vols constatés l'an passé sont de nouveau d'actualité. Ces barrières, qui servent à allumer des feux de plage, viennent à peine d'être posées par des étudiants en formation dans le cadre d'un projet pédagogique avec le syndicat mixte du GrandSite.

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10/05/2010

La "valse" des déchets !

Études sur les déchets, aucune piste n'est (re)jetée
Ouest France du vendredi 30 avril 2010


À l'avenir, le syndicat intercommunal envisage d'agrandir chaque déchetterie. Daniel Gentil, vice-président du syndicat mixte Auray-Belz-Quiberon-Pluvigner.
Le syndicat mixte Auray-Belz-Quiberon-Pluvigner planche actuellement sur la collecte et le traitement des déchets. Quatre études sont en cours. Objectif : optimiser et moderniser le service.
Une meilleure collecteau même prix, c'est l'objectif que s'est fixé le syndicat à court terme. « On a monté un cahier des charges avec éco-emballage. L'idée c'est de trouver tous les leviers pour maintenir les coûts et améliorer le service », explique Daniel Gentil, vice-président du syndicat mixte, chargé du dossier des déchets.

Différentes pistes sont envisagées. Il s'agirait notamment de ne plus limiter les tournées à la frontière des communes. « Jusque-là, les communes voulaient absolument connaître le tonnage d'ordures ramassées sur leur territoire. Le seul moyen d'y parvenir est de faire une tournée par commune. Du coup il arrive que le camion s'arrête à la frontière avec une autre commune, même si sa benne n'est pas pleine. Ca n'a pas de sens », remarque-t-il.

Mieux gérer les déchets
Outre la réorganisation des circuits de collecte, leurs fréquences pourraient également baisser. « En principe ça ne réduirait pas le tonnage mais ça entraînerait moins de frais et de charge ».

Reste aussi la question des colonnes de tri, où les gens viennent déposer le verre, le papier.... Il y en a 840 sur le secteur. On peut se demander si l'on ne devrait pas supprimer les apports volontaires et tout collecter ?

Une autre piste de réflexion est lancée sur la tarification. Pour inciter les gens à mieux gérer leurs déchets, une tarification avec une partie forfaitaire et une partie à la levée pourrait être mise en place. « C'est un scénario possible. Une réunion doit avoir lieu en juin pour qu'on choisisse ».

Des déchetteries plus grandes

Une autre étude actuellement en cours porte sur la requalification des six déchetteries du Pays. « On est en train de faire le point sur la situation. Depuis 2002, le tonnage des déchets n'a cessé d'augmenter. Il est passé de 31 000 tonnes à 42 000. Cela représente 57 % de la totalité des déchets récupérés », énumère Daniel Gentil.

À l'avenir, le syndicat ABQP envisage d'agrandir chaque déchetterie. Concrètement, cinq passeraient de 8 à 12 bennes et celle du Sclégen, à Crac'h, en aurait 14 pour permettre la collecte d'autant de matériaux différents. Cela signifie qu'il faudra agrandir les terrains. « On devra rallonger les plateformes et mettre en place un circuit précis pour éviter les manoeuvres. Ce projet-là implique des travaux de voierie, de l'achat de terrain... » annonce-t-il.

À Quiberon, il est question de créer une plateforme spécifique pour les professionnels. La question pourrait également être étudiée pour le sclégen. « Derrière tout ça, l'idée est d'éviter le plus possible les décharges sauvages ».

Si cette option est retenue par les élus, les travaux pourraient démarrer en 2011. L'idée, ensuite, serait de faire 2 déchetteries par an, pour un coût total de quelque 35 millions d'€.

L'usine d'incinérationde Plouharnel

C'est le très gros dossier des prochaines années. Certes, le pays d'Auray se situe parmi les bons élèves du département au niveau des déchets recyclés, mais « il y a un point ou on n'est pas bon, c'est l'usine d'incinération parce qu'elle n'a pas de valorisation énergétique », lâche Daniel Gentil.

Fin mai, la commission chargée des déchets doit se réunir. Trois pistes sont à l'étude. L'enfouissement, l'incinération avec récupération d'énergie, le tri mécano-organique comme à Vannes (ça fait baisser de 48 % la masse des ordures ménagères. Les 15 000 tonnes restantes pourraient alors être enfouies ou incinérées), ou encore la métanisation. « Pour ce projet-là on tourne autour des 35 millions d'€. Il faut donc bien réfléchir... pour les 20 prochaines années au moins ».

La question des îles

Actuellement, les déchets de Houat et Hoedic sont acheminés par barge de pêcheurs. Dès l'an prochain, la volonté du syndicat est d'y implanter des mini déchetteries et des plateformes de transformation. « Il faudrait que la mise en balle puisse se faire sur place. Cela nous permettrait d'optimiser les rotations ».


Christel MARTEEL

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