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24/04/2013

Masse salariale ?

Garder son personnel, c'est bien, faire des profits c'est mieux !

La Cour d'Orgères, fleuron de l'activité économique de Saint Pierre, dont l'activité de fabrication est à Quiberon (???) vit des jours complexes sous la gestion de la "deuxième génération"...

La masse salariale est trop élevée par rapport au chiffre d'affaire et le taux de marge (élevé pour de l'agro-alimentaire) ne suffit pas pour équilibrer les comptes de la maison, et encore moins investir dans des matériels plus performants.

Même si ce n'est pas la principale raison, La Cour D'Orgères est touchée par les travaux du Centre-Ville et le fameux "sens", imposé par la municipalité après les travaux ! Le Bourg, sa rue principale sont désertés par les chalands, tant la tristesse des lieux est grande...

Le positionnement "produits" n'est pas non plus très original et la rapport "qualité-prix" n'est pas optimal. Comparée à ses voisines, la Belle-Iloise et les "niniches", cette société n'a pas assez développé un marketing offensif et une bonne politique de marque !

Les produits de luxe sont touchés par la crise, ainsi que par la montée en gamme des produits industriels vendus en grande distribution !

Peut-on rester indépendant et "rentable" sur une presqu'île au déclin inéluctable ?

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22/04/2013

Les lombrics, artisans de l'ombre...

Les "vers de terre" sont utiles... les merles ne chassent que dans les bonnes terres !

Le PLU de Saint Pierre Quiberon est très incomplet ! L'inventaire des "lombrics" ne figure pas dans les nombreuses études, vendues chèrement à la municipalité...

Et pour cause, ces vers de terre ne portent pas de couleur politique...

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Equilibre des finances locales ?

Les "réglages financiers" se ressemblent, mais ne sont pas identiques à Auray et à Vannes...

La grande réforme, dont on parle moins aujourd'hui, est la suppression de la taxe professionnelle, qui a remis sur un pied d'égalité les communes "riches" (entreprises) et les communes "pauvres" (sans entreprises), ainsi que le système de péréquation entre riches et pauvres. L'inconvénient de ces mesures au niveau communal est de ne plus récompenser celles, qui attirent les entrepreneurs et de pousser à l'inaction, celles qui sont "pauvres" (Saint Pierre Quiberon par exemple).

La diminution des subventions de l'Etat a été fortement compensée par la forte contribution des droits de mutation et par la hausse des recettes fiscales locales en raison de l'augmentation des redevables, sans compter à Saint Pierre Quiberon les effets d'aubaine de l'Erika et les recettes du FCTVA.

La gestion des effectifs municipaux est éminemment variable selon la couleur politique des élus et leur perception de la productivité. Les différences sont "énormes", Auray et Saint Pierre étant les mauvais élèves de la Classe ! A Vannes certains emplois sont pointus, en Internet par exemple. A Saint Pierre on recrute surtout des emplois manuels et du "petit" tertiaire...

Le choix de l'endettement pour les investissements est général... car les yeux sont toujours plus gros que...
Le vrai drame réside dans le "crible" des bons investissements, non pas ceux "tape à l'œil", sociaux larmoyants et d'affichage idéologique, mais ceux qui correspondent aux besoins de la population... Le calcul financier n'est absolument pas pratiqué pour choisir, malheureusement, ce qui conduit à une immobilisation de ressources financières non productives... et ceci pour au moins 20 années !

Récemment, Michel Le Scouarnec, rencontré à la Gare Montparnasse, confiait :" les jeunes élus sont trop pressés ! Il faut du temps et "échelonner" les dépenses dans la durée"...

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