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24/04/2013

Masse salariale ?

Garder son personnel, c'est bien, faire des profits c'est mieux !

La Cour d'Orgères, fleuron de l'activité économique de Saint Pierre, dont l'activité de fabrication est à Quiberon (???) vit des jours complexes sous la gestion de la "deuxième génération"...

La masse salariale est trop élevée par rapport au chiffre d'affaire et le taux de marge (élevé pour de l'agro-alimentaire) ne suffit pas pour équilibrer les comptes de la maison, et encore moins investir dans des matériels plus performants.

Même si ce n'est pas la principale raison, La Cour D'Orgères est touchée par les travaux du Centre-Ville et le fameux "sens", imposé par la municipalité après les travaux ! Le Bourg, sa rue principale sont désertés par les chalands, tant la tristesse des lieux est grande...

Le positionnement "produits" n'est pas non plus très original et la rapport "qualité-prix" n'est pas optimal. Comparée à ses voisines, la Belle-Iloise et les "niniches", cette société n'a pas assez développé un marketing offensif et une bonne politique de marque !

Les produits de luxe sont touchés par la crise, ainsi que par la montée en gamme des produits industriels vendus en grande distribution !

Peut-on rester indépendant et "rentable" sur une presqu'île au déclin inéluctable ?


Cour d'Orgères, trouver un nouveau souffle
Télégramme du 23 avril 2013

Contrairement aux rumeurs qui se sont répandues un peu vite, l'entreprise La Cour d'Orgères, qui fabrique confitures et condiments, n'a pas été rachetée. Au contraire elle poursuit son développement au sein du cocon familial et vient d'accueillir un nouvel actionnaire pour se donner un peu d'air.

Un chiffre d'affaires en progression
« Comme tout le monde, nous avons été touchés par la crise mais nous avons réussi à maintenir un chiffre d'affaires en progression (794.000 € en 2012) et nous avons gardé nos douze salariés. Cependant le poids financier du bâtiment de la zone artisanale Plein ouest nous pousse aujourd'hui, d'une part, à insuffler des liquidités personnelles dans l'entreprise et, d'autre part, à ouvrir notre capital », expliquent Marie-Charlotte et Vérène Indekeu. Modeste pour le moment, (10 % du capital, soit 20.000 €), l'investissement de Jérôme Dedeyan, cofondateur et président de Debory Eres et originaire de Saint-Pierre-Quiberon, n'est pas seulement financier. « C'est aussi son expérience et ses conseils qui vont nous être précieux. Cela va nous permettre d'envisager l'avenir plus sereinement et de lancer de nouveaux projets que nous avons dans nos cartons ».
• Véronique Le Bagousse

Commentaires

Comment ces dames ont-elles pu ignorer qu'elles avaient à portée de main un brillant analyste économique capable de remettre cette affaire en bon état de marche?
Ah oui, ma grand'mère (toujours elle): "Grand diseux, p'tit faiseux"!

Écrit par : JPD | 24/04/2013

Le spécialiste es-cornichons a parlé:

"développé un marketing offensif et une bonne politique de marque !"

Mais que ne l'avez-vous fait pour vous même cher monsieur?

Écrit par : Omar Miton | 24/04/2013

la critique est aisée mais l'art est difficile ...mon petit doigt m'a pourtant dit que vous en savez quelque chose
et pourtant vous vous posez en donneur de leçon !!

Écrit par : Connie la crevette | 25/04/2013

l'hopital qui se fout de la charité!ptdr!

Écrit par : jeanzyscan | 25/04/2013

Les commentaires sont fermés.