10/01/2016
Organisation des conseils municipaux...
Les "vieilles pratiques" sont malheureusement encore la "plaie ouverte" de la démocratie locale !
A Saint Pierre Quiberon, la salle est tellement exiguë, que le "public" est parqué comme des bœufs !
A Quiberon, l'espace central est perdu par une organisation en "rectangle"... le public n'est pas mieux loti sur deux rangs.
A Vannes le prestige de la salle en impose, en format "salle de classe" mais l'audition pour le public est improbable.
Selon les cas, le DGS est isolé, intégré...le son est souvent mal amplifié...les séances sont enregistrées (audio), mais jamais de vidéo, ce qui aujourd'hui est quand même le minimum...
La projection est "balbutiante" et non professionnelle. Le programme est "papier", distribué au public à Quiberon, jamais à Saint Pierre...
Les "compte-rendus" sont en général diffusés "tardivement". Leur contenu s'écarte "souvent" de la réalité des débats, ce qui est sujet de polémique à Quiberon.
Dans la période actuelle, Quiberon est "sécurisé" par la présence en bas deux policiers municipaux.
En bref ! des progrès sont souhaitables, afin de conforter la démocratie locale et d'inciter les électeurs
à venir écouter leurs élus !
09/01/2016
Près d'un million d'euros pour une médiathèque... à Sainte Anne d'Auray
Non, il n'est pas question d'une nouvelle apparition, mais d'une coopération financière avec l'ADMAS !
Les collectivités locales investissent "à tour de bras" dans des activités, où le retour sur investissement est nul.
Au point, que l'on rencontre aujourd'hui deux médiathèques sur la presqu'île à 3 kilomètres de distance ! deux Centres culturels à deux pas l'un de l'autre, l'un ancien à Saint Pierre, l'autre, qui vient d'être inauguré aujourd'hui à Quiberon sous le patronyme, Maison des associations...
Le projet de Sainte Anne d'Auray est à peine éloigné d'Auray et de Pluneret... au fond "le collectif" ou "bien vivre ensemble" dépend maintenant du découpage communal (lilliputien) et de l'envie des élus de "paraître".
A Quiberon des choix malheureux d'investissement dans un Centre de secours trop grand pour deux communes exerce aujourd'hui une pression financière récessive sur les finances des deux communes.
Le chauffage "en collectivité" doit être aujourd'hui individualisé ! Saine idée, souvent fort coûteuse et aux conséquences imprévues, car les compteurs d'eau ou de chaleur augmentent les probabilités de fuites sur le réseau !
Les "comptes prévisionnels" de ces investissements importants, avec les conséquences réelles sur les finances futures devraient être établis et contrôlés par un auditeur professionnel.
Les "miracles" de la nouvelle médiathèque de Sainte Anne d'Auray pèseront "ad vitam aeternam" sur les finances locales !
Les "soutiers" de la société française
L'économie réelle souffre en cette période de la baisse continue du prix des matières premières !
Dans un marché "mondialisé" des échanges la valeur d'une matière première est soumise au déséquilibre entre l'Offre et la Demande et aux fluctuations de la valeur de la monnaie de cotation...
En Europe, par rapport au reste du monde, certains prix sont "encadrés", notamment dans le domaine agricole (lait, viande...). les financiers de l'Europe penchent aujourd'hui pour une "libéralisation" des derniers prix agricoles sous contrôle, ce qui doit contraindre les exploitations les moins rentables "à fermer" !
La politique de "dévaluation" de l'Euro, entreprise en 2015 pour relancer les exportations européennes, se traduit par un renchérissement des prix des produits importés, ce qui protège un peu les agriculteurs de la concurrence de produits "hors d'Europe". Mais ce phénomène ne peut masquer l'effondrement des cours en cas de surproduction de certains produits (lait, viande de porc) et d'aléas climatiques, qui viennent bousculer l'équilibre des marchés.
L'agriculture française dans la zone Euro souffre bien entendu plus qu'auparavant de cette politique libérale et de l'affaiblissement de la consommation alimentaire, qui se réduit d'année en année dans le budget des ménages. Certains marchés "de niche", comme l'optique médicale, relèvent de l'exception économique française, en raison de l'existence d'un monopole de prescription et de remboursement, notre grand mère, la Sécu !
Quand il n'y aura plus rien à manger, il n'y aura plus rien à voir !