Les Secrets de Saint Pierre

A Belle-Ile, comme à Saint Pierre Quiberon, le camping sur terrain privé est la cible des Mairies et de l'Administration !

La question "fiscale" semble sensible ! pas d'impôt foncier (en dessous du minimum imposable, pas de taxe d'habitation, seulement la "taxe de séjour" déclarative... donc pour une commune peu d'intérêt par rapport à la contribution des "maisons en dur", qui participent financièrement à la vie communale !

L'assainissement, lui, est une question réelle, notamment en bord de mer sur la presqu'île. Il faut reconnaître que les terrains de camping ont fait le nécessaire, ainsi que les communes pour les aires de stationnement des camping-cars... pour le reste, silence radio, car l'assainissement (ex syndicat mixte) devient aujourd'hui "intercommunal". Le Député-Président d'AQTA n'a pas beaucoup parlé jusqu'à présent de ce sujet délicat, et certainement "impopulaire" en période électorale...

La "période de trois mois", qui correspondait finalement aux anciennes vacances scolaires, n'est pas plus respectée que la période d'ouverture des camps de camping (6 mois maximum), surtout quand ils sont "municipaux" (Voir petit Rohu, qui affiche une ouverture jusqu'au 10 octobre 2016 !). Ici, encore, les équipes municipales sont particulièrement "laxistes", car elles ne font pas non plus respecter le principe de la "mobilité" des "Mobile-Homes"...

L'héritage de ces pratiques à Saint Pierre Quiberon reste aujourd'hui un sujet tabou !

Entre Laurence et Jean-Yves, qui prononcera la plus belle bêtise ?

Et pourtant la salle du Centre culturel était pleine !

Dans une impréparation, désormais habituelle, lors de la présentation de la même carte du PLU, depuis décembre 2015, Jean-Yves Loget joue les commentaires et la montre ! Une question "intéressante" sur le bois Maufra est renvoyée "à plus tard" !

Les présentations en "Word" du règlement et des prescriptions architecturales (Power Point existe, mais encore faut-il savoir s'en servir !) sont brouillonnes et sans intérêt. La distribution d'un document "papier" aurait été plus productive...mais les documents ne sont toujours pas au point ! Depuis 6 mois, on navigue "dans le provisoire" et "l'à peu près"...

Au fond, on fait "une réunion publique" pour correspondre au timing du PLU, pas pour répondre aux questions...car à chaque fois, il s'agit de noter sur le cahier, de prendre rendez-vous, d'erreurs de cartographie, qui seront corrigées un jour, de temps pour réfléchir...

Le discours d'introduction de Laurence est, comme à son habitude, totalement incompréhensible : invoquer les résidents secondaires à établir à SPQ leur résidence principale, rajeunir la commune par l'installation d'actifs jeunes, créer un PLH, aussitôt contredit par un PLU "divergent", réserver des emplacements en rez de chaussée pour des commerces, qui disparaissent petit à petit de Saint Pierre...

Demandez lui donc pourquoi le "coworking" de l'été 2015 n'a pas marché !

Décidément, ce PLU n'est pas un travail "sérieux"... il faut repartir de zéro, avec une véritable participation des habitants !

Dans la communication "moderne", l'incompétence de certains dépasse l'entendement...

Le journal local, Le Télégramme, dont la correspondante locale de Saint Pierre Quiberon est 'haut de gamme", transforme son site Internet "national" en une version "buggée", inaccessible en plein été, et dont les interrogations spécifiques sont "out"...un record breton ?

Le site de la Mairie de Quiberon, le jour de la troisième réunion publique sur le PLU, affiche fièrement celle de la première, le 20 avril 2016 !

Il ignore le compte-rendu du dernier COPIL...et la publication des cartes "à jour du zonage !

Entre "Pinder" et le "PLU", l'équipe municipale a choisi les "clowns de la tarte à la crème" !