25/08/2016
La "curiosité" est un vilain défaut...
Le "chiffrement" des télécommunications et des archives est un sujet "très ancien", permis aujourd'hui par la puissance des processeurs embarqués !
L'Etat français et ses dirigeants politiques sont "piégés" dans ce débat sans fin par la révélation d'un "piratage" de documents militaires !
Dès que l'on veut restreindre les accès à des documents importants (sécurité nationale, communications gouvernementales, police et gendarmerie, gredins engagés dans des projets de destruction), la réaction naturelle et conventionnelle est d'utiliser un système de "chiffrement", soit à clé publique, soit à clé privée. L'algorithme et la clé sont les éléments échangés, ils permettent de rendre "lisibles" le contenu des informations chiffrées.
La technologie actuelle, appliquée par exemple par l'application "Telegram" sur mobile, autorise un fonctionnement de chiffrement en temps réel...pour le décodage, le facteur "temps" est essentiel. Sans la clé, les méthodes informatiques de "force brute" nécessitent des moyens informatiques très importants, rarement disponibles en "temps réel"... le recours à une "porte dérobée" est une solution rapide et intelligente, en coopération avec le créateur du programme de codage...
Vieille course à l'armement, connue notamment lors de la dernière guerre, avec les machines de codage "Enigma" de l'armée allemande, décodée à Bechtley Park par les Anglais !
Aujourd'hui l'Etat, qui code "en permanence", est-il bien placé pour interdire un tel codage chez le citoyen ou en entreprise ?
Les américains, en avance certainement sur les européens, travaillent depuis longtemps avec les créateurs des programmes logiciels sur des "portes dérobées", mais également par "piratage" sur les logiciels et leurs créateurs, qui ne veulent pas coopérer...
La France, dans sa belle tradition, ne fait pas le même effort. Elle voudrait bien cueillir directement la "Noix de Coco" !
Nos élus de la Presqu'île sont devenus "frileux" !
L'initiative "privée" est bénéfique à la vie sur la presqu'île ! Les politiques communales actuelles sont régressives !
Dernier round à Saint Pierre pour les "bridgeurs" ! mis à la porte sans ménagement par SPQ, ils trouvent refuge à Quiberon, à la Maison des associations...L'équipe de Laurence, après Loisirs et Culture, un jour ou l'autre le tennis de Kerbourgnec, fait preuve d'irrespect et de courte vue !
Le "management" nouveau (tel le Coworking...) devient débile et enfermé dans des valeurs du passé (Cirque Pinder, monopolisation de l'église au profit d'un adjoint à l'urbanisme, réunions publiques du PLU sans aucun débat, communication "compte-goutte", registre des réclamations sur comptoir...).
Le futur PLU devient, aujourd'hui, le sommet de "l'obscurantisme" municipal ! ainsi que les autorisations de construire, délivrées généreusement aux "amis" du Conseil !
Les associations de village (après la bronca de la VAK à Kerhostin au printemps) ne participent pas assez aux vrais débats de l'avenir : les communications routières, la transformation du "Tire-bouchon" en voie verte, la gestion des plages et de la baignade, leur propreté, les télécommunications, qui s'effondrent du 15 juillet au 15 août, les loisirs et la gestion des camps de camping municipaux, presque tous menacés de fermeture en 2017 et enfin la question du "camping sur terrain privé !
Le passage "en vélo" de l'Isthme est un objectif prioritaire ! ainsi que les voies réservées aux cyclistes !
24/08/2016
Le sabre et le goupillon ! Le "sacre" au Puy du Fou devient un passage obligé !
Le retour aux valeurs "royales, paysannes et chrétiennes" paye nettement plus que la visite d'usines...
Le Parc du Puy du Fou est un conglomérat de "spectacles", parfaitement montés... loin des précisions historiques habituelles, Philippe de Villiers donne à cet ensemble une couleur "vendéenne", teintée de religiosité chrétienne primaire et d'attachement au "Royaume", dont la République est l'ennemi numéro un !
Le retour à l'an 1000, le bonheur paysan, est le leitmotiv, qui revient sans cesse dans les scènes les plus diverses. Dans le "dernier panache", Athanase de Charrette est le héros des combats marins "des Saintes", puis des paysans vendéens, qui luttent contre les forces de la République révolutionnaire...
Les femmes, fragiles et dansantes, tiennent tête aux soudards les plus féroces, les vikings, les bourguignons, les romains décadents...
Les mises en scène s'accompagnent d'effets de lance-flamme, dont le sommet est atteint dans un orgue en carton-pâte, qui accompagne la célèbre toccata de Bach !
Philippe de Villiers réussit ainsi superbement à passer son message !