09/11/2017
La "mutualisation" en matière de tourisme ? une équation délicate...
Les "spécialistes" du tourisme au secours des politiques ! Encore une "usine à gaz", qui cherche la clé en formant des "clubs" de réflexion !
Dans un univers de "concurrence touristique" entre cités balnéaires, la mutualisation ne fonctionne pas, déjà avec la défection de Carnac, puis avec la différenciation entre grandes et petites structures...Rappelons également la "guéguerre" de quatre années entre Quiberon et Saint Pierre, lorsque cette dernière a refusé la partage des dépenses et créé son Office à 400 000 euros à l'année. La dévitalisation et l'immobilisme guettent les "petits offices", alors que l'informatique partagée devrait permettre le travail de groupe !
13% des emplois directs seraient issus du tourisme...difficile d'estimer ce chiffre, tant le secteur fait appel à l'emploi saisonnier (2 à 3 mois de travail ne constituent pas un emploi, mais au maximum un quart d'emploi !). Toujours est-il que le développement touristique passé conduit à l'augmentation de la saisonnalité, la précarisation des emplois et au surinvestissement dans les infrastructures. Et conséquence contraire à la "doxa" en cours, l'augmentation des résidents secondaires, et non des résidents à l'année.
La thématique choisie est déjà archi connue, avec la recherche d'évènements "Route du Rhum, Aquarium, Cité de la Voile", qui malheureusement ne sont pas à la portée du budget de l'Office communautaire AQTA ! On devine bien que ce type d'évènement serait "localisé" dans une station balnéaire, avec le déclenchement immédiat d'une concurrence entre stations "majeures" !
La fermeture, hors saison, de certains offices serait une mesure de bon sens (un aveu encore de la saisonnalité !) et d'économie. La mutualisation pourrait ainsi conduire à des économies et non au cumul des dépenses nouvelles aux anciennes.
Clubs de réflexion ? des comités "Théodule" aux membres déjà connus ?
16/10/2017
La communication à Saint Pierre Quiberon ? à la godille...
A part les "réunions de chantier", les "grands projets" échappent au Conseiller "délégué" à la communication !
Détonante répartition des tâches au sein de l'équipe municipale, où le cloisonnement est en fait devenu "un principe" !
A Madame Le Maire, l'"édito" des Nouvelles, dont le déchiffrage est ardu et le plan souvent absent ! A Monsieur le Conseiller et mari, le "pipelotage" sur les chantiers en cours, à travers la presse locale (on aime le côté "technique") avec photo en premier plan, à Monsieur le Conseiller JY Loget le "feuilleton" du château d'à-côté, transformé en superbe Mairie et logements sociaux "à gogo" au coût faramineux !
En bref, le citoyen ordinaire s'interroge !
Sur le chantier de l'axe sud, quasiment pris en charge par nos partenaires, il semblerait que l'on ait oublié le réseau électrique basse tension, ainsi que le réseau téléphonique (et la fibre...). Il faudra sans doute attendre un autre mandat pour entamer le bitume bien frais et augmenter ainsi les coûts des réseaux du futur ! A Portivy, lieu préféré des investissements côtiers de toute la commune, on constate que les eaux pluviales ne sont pas canalisées...cette question, au poids écologique important, reste pendante sur pratiquement toute la côte de la Baie de Quiberon, du Petit Rohu à Penthièvre, alors qu'en Pays basque ces travaux ont été effectués il y a plus de 20 ans !
Malgré une visite récente du Préfet du Morbihan, la "submersion marine" de Penthièvre et de son camp de camping municipal mérite "une communication de crise" et des mesures énergiques de prévention, loin de la contestation du "trait de côte" et des travaux d'embellissement de gravillonnage !
Plus au Sud, la condamnation financière de l'ENVSN par la Cour de Comptes et ses conséquences pour la Commune (en cas de fermeture) ne font pas l'objet d'une communication "ouverte" de la part de nos élus. Et pourtant cette école représente "financièrement" plus d'une fois et demi le budget de Saint Pierre Quiberon.
Bien Communiquer ? une affaire de spécialiste !
02/10/2017
Neptilude, le "grain de sable" du financement du déficit !
La "régie intéressée" devient de plus en plus coûteuse !
Problème de fond, les activités "piscine" ne sont jamais rentables financièrement. A Paris, comme à Quiberon(à deux pas de la mer !), le choix des élus engage pour de nombreuses années la collectivité vers des demandes financières croissantes.
La piscine rejoint ici les "emprunts toxiques", qui plombent les comptes annuels de Quiberon.
Usager ou contribuable, le passage "à la caisse" est incontournable ! Le choix des élus s'inscrit dans la durée !