23/03/2017
La Côte sauvage ? Interdiction de se baigner, de prendre des images, de tourner un clip ?
La "beauté du paysage" attire les amoureux de cette côte !
Faut-il réglementer désormais les prises de vue "à connotation politique" ?
"Agathe Koltès" dans son genre a obtenu le droit de tourner, même si le résultat est "un navet audiovisuel", avec un savant mélange des images de la "côte sauvage", de Portivy, du Bono et du Golfe du Morbihan...
C'est ainsi que le clip, tourné partiellement sur la Côte sauvage par un parti, n'aurait pas été autorisé par notre élue, car elle n'est pas d'accord avec l'idée, que le territoire de Saint Pierre Quiberon soit associé avec l'image de ce parti !
En période d'élections présidentielles, cette appréciation "toute personnelle" est délicate...
Finalement à Saint Pierre Quiberon, il vaut mieux apprécier "le cirque Pinder" et sa cage aux lionnes !
19/03/2017
Agathe Koltès, un modèle pour le Maire de Saint Pierre Quiberon ?
Les "nouvelles" de Saint Pierre Quiberon (numéro 12) proposent en éditorial de comprendre AQTA, notre intercommunalité !
Comme "Agathe" il faut se gratter la tête pour saisir l'intérêt aujourd'hui d'AQTA à travers cet éditorial pour la presqu'île...Entre GEMAPI et "mutualisation pour un territoire solidaire" la "fumée de nos dirigeants" est de plus en plus épaisse et les résultats aujourd'hui "invisibles".
Qui à Saint Pierre doit se féliciter d'un équipement sportif de 500 000 euros (qui sera implanté près d'Auray !), d'une "épicerie solidaire supra-communale !!!" et de la "culture" par les musées communaux... le délire gagne petit à petit notre édile, qui lit probablement mieux que nous dans la fumée de "Gargamelle" sur le Port d'Orange...
Si vous demandez un "bilan financier" d'AQTA, une description financière des effets sur la commune, vous obtenez "en éditorial" les chiffres suivants : 95 382 euros de promotion touristique, 26 636 euros d'entretien de la Zone d'activités de Kergroix, 23 167 euros d'instructions des autorisations de construire, soit à peu près la part annuelle du budget, consacré à l'entretien des routes !
Par rapport à l'époque, sans AQTA, l'Office de tourisme coûtait 50 000 euros, en partage de celui de Quiberon, puis 400 000 euros (4 personnes à l'année, rédaction de brochures jetées en fin d'année, site internet ignorant depuis 4 ans les plages du Petit Rohu...). Le "caillou" dans la chaussure est celui des "animations", non gérées par AQTA, qui autrefois étaient gérées par l'Office et quelques associations (Les "Saint Pierroises" de la famille LOGET, mélange de bénévolat et de "dons" de promoteurs-constructeurs, dont les comptes ne sont pas publiés !). Aujourd'hui, dans la précipitation, l'improvisation de la saison 2017 risque d'augmenter la note de la commune et de prolonger des habitudes malsaines !
Le passage à la compétence "tourisme" en 2017 risque ainsi de laisser des traces financières imprévues et fatalement coûteuses pour le contribuable local. La fusion avec Quiberon, qui fut un temps une réalité, devient "complexe"...
Selon notre "Marine" (conseillère municipale), la mutation s'accompagne de la création d'un comité de professionnels, dirigé par la Directrice du relais de l'Océan, situé à Saint Pierre Quiberon... tâche véritablement ardue (en réunions multiples), puisque les membres sont issus du mariage de la carpe et du lapin (de Penthièvre !), du Sofitel à l'Académie d'arts sacré...de là à déduire que la qualité de service sera sensible, dès le franchissement du seuil du BIT...
Comme le disait en son temps le Général de Gaulle, le "machin" est en train de prendre un temps fou à nos édiles (presque une réunion par quinzaine), puis à nos employés municipaux, sans déboucher véritablement sur des projets "palpables"... l'augmentation des niveaux hiérarchiques, le "top-down" conduisent directement à une bureaucratie aux effets économiques désastreux.
Dans la pagaille, certains élus prennent le pas sur d'autres, tirant la couverture chez eux (la fibre à Brech par exemple !)... AQTA commence à "déséquilibrer" l'espace économique commun, en accélérant les infrastructures près d'Auray !
L'information du "citoyen Aqtarien" est aujourd'hui tout à fait insuffisante !
12/03/2017
Un camp de camping, ça rapporte ?
Chaque budget, chaque année, la municipalité de Saint Pierre Quiberon "cherche" des motifs de satisfaction !
Dans l'enfumage général, le Directeur Général de la Trésorerie de Carnac a montré les limites de la poursuite d'une activité, illégale, mal tenue et en voie d'extinction !
L'erreur principale est avant tout comptable, car la comptabilité publique ne sait pas tenir compte de l'amortissement des investissements passés (au petit Rohu par exemple, il y eut la "déforestation" de Madame Marchand, puis la pose clôtures neuves, qui seront à changer dans les prochaines années en raison de la rouille, puis les chaudières solaires, la réfection des sanitaires, l'installation de la Wi-Fi) de l'imputation des intérêts des emprunts passés, et surtout de l'imputation exacte des salaires et charges de personnel, des charges de personnel du personnel communal (entretien, préparation des terrains, peinture, remise en état électrique, comptabilisation spéciale, vérification des caisses et trésoreries des camps).
Les efforts de la commune pour cette activité "extra-municipale" sont d'un niveau "zéro". Ils visent à maintenir une activité "rudimentaire" des années 60 avec une clientèle d'habitués, fortement âgés, sans aucun support marketing, avec comme seul argument, la caravane sur la plage !
La mutation actuelle vers un camping "plus riche" (camping-car) n'est prise en compte que tardivement, et sans aucun intérêt pour la commune (20 places). Le choix du parking du "gymnase dans les poireaux" est stupide, et bien dans la succession d'échecs sur la localisation d'un "parking" !
Quiberon, au Goviro, avoue lors de son dernier conseil, que le camping municipal n'est ni rentable, ni pérenne... A 3 kilomètres on réfléchit donc à la "mutation"...
A Saint Pierre Quiberon, les ressources de calcul de la commune sont réservées au calcul du tarif HT des campings à "la neuvième décimale"... l'anticipation prudente doit conduire à l'élaboration d'une stratégie vers la montée en gamme.
La cohérence est également mise à mal : comment inciter les "campeurs sur terrain privé" (activité soit disant contestée) à rejoindre des installations vétustes (municipales), qui n'offrent à leur clientèle que l'entassement et la promiscuité...
Sur le plan financier, quand on compare Quiberon à Saint Pierre, la collecte de la "taxe de séjour" n'est pas un sujet de préoccupation (elle pourrait facilement atteindre le montant recalculé de l'excédent des camps de camping !).
La "qualité" se dégrade d'année en année ! Faut-il attendre un accident pour fermer les camps de camping municipaux ?