28/07/2015
Le "caillou" dans la chaussure...
A Saint Pierre Quiberon, on perd la vie à l'Ouest, on ignore les droits du citoyen à l'Est !
Le chemin du littoral est bien vivant à l'Ouest, respecté et traçé ! A l'Est de Beg Rohu au Fort Penthièvre, le chemin du littoral est "respecté" sur 500 mètres... à peine !
La situation est critique à Kerhostin, où les habitudes des propriétaires sont analogues à celles du Roi d'Arabie saoudite.
La municipalité précédente, à gauche toute donc pour l'accès libre au rivage, n'a jamais rien fait, protégeant à titre amical les propriétés de l'Etat à Beg Rohu. La participation au Conseil d'Administration de l'ENVSN du Maire de Saint Pierre paralyse ainsi toute vélléité de changement...
L'incendie du Fort, lors de l'arrivée de la nouvelle Directrice, Madame Eynaudi aurait pu révéler des constructions illégales en bord de mer, chauffées au gaz propane... mais la catastrophe a été évitée de justesse... depuis l'entrée de l'ENV, côté Petit Rohu, a été "bétonnée" de manière tout à fait illégale...
Faute d'ouverture de la part d'une Direction, totalement autiste, il faut espérer, qu'un contrôle des comptes, diligenté par la Cour des Comptes, achèvera le mandat de la Directrice, avec la fermeture définitive de l'Etablissement !
Le "nouveau PLU" de Saint Pierre Quiberon prépare certainement l'ouverture du "sentier du littoral" sur la Côte Est de Saint Pierre !
Transition éngergétique, la nouvelle "frontière" anti-progrès ?
La tradition française, le "siècle des Lumières", est en train d'être "violentée"...
Le gobelet plastique apparaît en France dans les années 50-56 chez MONOPLAST, à Soustons, qui investit intelligemment dans une licence allemande de machines de fabrication "Bellaplast"... pour remplacer une industrie locale malade, la fabrication de bouchons en liège !
En fait, le marché rentable se situe dans la fabrication de pots de yaourt pour l'industrie laitière, qui souhaite se débarrasser des pots en verre...
Intérêt : fabrication en bout de chaîne, stabilité du contenant, gain de poids (de 40 à 4 grammes), économie sur le transport...
MONOPLAST devient en quelques années le numéro 1 français, avec le développement concomitant d'un transporteur landais !
Du "thermoformage" à "l'injection", la bagarre est homérique... toute les matières premières sont testées : polyéthylène, acrylate, polypropylène... Leur capacité de recyclage est très variable, les "thermodurcissables" étant les plus mauvaises !
L'industrie de la transformation des matières plastiques est devenue une industrie majeure, fondée sur les économies d'énergie (transport), sur l'hygiène (utilisation unique) et sa praticité !
Aujourd'hui, les "Verts" impriment leurs idées dans une loi "votée" ! avec des conséquences "imprévisibles" sur une industrie, motivée par le progrès technique (automatisation exceptionnelle)...
L'énergie, en général carbonée, est le seul critère de choix et donc d'exclusion... ce qui pour un scientifique laisse un goût de manipulation... l'optimisation dépend effectivement du critère choisi, mais la solution n'est pas unique, comme semble le laisser penser le texte voté !
L'invention du sac de sortie de caisse (en polyéthylène) est géniale : 4 grammes de matière pour transporter 10 kilogrammes de marchandise ! une industrie, laminée en quelques années à Sainte Sygolène (ne pas confondre avec le prénom de la Ministre !) en Haute Loire, au profit de concurrents italiens, qui ne connaissent pas encore une "réglementation aussi verte" !
AIR FRANCE, dotée d'avions cargo, approvisionnait dans les années 60 ses avions de gobelets plastique à Hong Kong... moins cher que l'Europe...
Doit-on appliquer une "loi inique" dans un marché européen de libre-échange ? That the question...
Danseuse ou petit coup de pouce entre amis ?
Pinault et LVMH disposent de comptes financiers, permettant de faire "des coups"...
La "Compagnie Ponant", reprise par "Bridepoint" pendant la période difficile de CMA-CGM, vient d'être reprise par le groupe Artemis, holding de Pinault... la plus-value est encaissée par le fond vautour, les amortissements de l'achat des quatre derniers bateaux à la charge du groupe Pinault...
Dans le contexte de crise du tourisme méditerranéen, la croisière "Haut de gamme" connaît quelques hoquets !
Le Prince et Monaco manquent de fonds ! LVMH, et son PDG sautent dans un des wagons de la Société des bains de Mer de la Principauté pour investir dans les projets de conquête sur la mer à Monaco...
Dans les périodes difficiles, l'aisance de trésorerie permet souvent de réaliser "des affaires" !