Les Secrets de Saint Pierre

Carnac, est la seule commune à donner une petite migraine au Préfet du Morbihan...

Dans la mise en scène pseudo-démocratique de la constitution d'une Communauté d'Auray à 24, Carnac ajoute un peu de "piment", qui devrait réveiller les autres communes ! Peut-on tenir compte de la population d'été dans le choix du nombre de représentants, est-il pertinent de croire, que trois voix de plus sur une majorité de 28 est un élément décisif ?

Le "ronronnement" habituel des conseils municipaux est étonnant ! Dans les communes les plus à gauche, le débat sur l'intercommunalité n'est ni expliqué, ni anticipé. A Saint Pierre Quiberon Madame G n'a rien présenté de concret sur les effets de la prise en charge de compétence communale à l'Interco ! Que devrait devenir le bel et neuf Office de Tourisme, qui nous coûte la "peau des fesses" et ses trois vahinées... Que pensent les employés municipaux, dont les ordres de travail viendront le 1er janvier 2014 du siège (où ?) de l'Interco ?

Que fera-t-on des camps de camping municipaux "miséreux" dans une politique de tourisme, qui fera l'arbitrage entre la belle plage nettoyée de Carnac et celles en jachère de Penthièvre ?

Oh, esprit politique réveille-toi ! Tourner à gauche ou à droite, ce n'est pas marcher droit aujourd'hui !

MGDIS est le type d'entreprise, qu'il faut attirer sur une zone d'activité à Saint Pierre !

L'économie numérique est en plein développement et les communes, bien gérées, utilisent ce type de logiciel.

Pour faciliter leur implantation sur Saint Pierre, il faut impérativement le "Très Haut débit", qui arrive cette année à Vannes... qu'en est-il à SPQ ? 2020 ou 2030 ?

Il convient également de montrer à ces "entrepreneurs" l'engagement de tout le Conseil pour faciliter leur travail : infrastructures de base (les routes), logements confortables, écoles...

Du travail pour 2014 ! Que chaque liste affiche ses préférences...

L'utilisation des outils informatiques par le corps médical est encore insuffisante !

Cette dernière étude révèle que la France est loin d'être en tête dans ces pratiques. Elle dénonce surtout le manque de coopération entre les outils des cabinets, ceux de l'hôpital public, ceux des autres professionnels de santé (spécialistes, infirmiers...) et le manque de dynamisme dans l'utilisation du Dossier Médical Personnel !

Le "papier" et le "téléphone" restent encore des armes préférées, à l'e-mail, la vidéo interactive et les bases partagées. L'utilisation d'outils, récemment mis sur le marché, comme les tensiomètres Internet, les gestionnaires de données biologiques personnelles est encore très marginale.

Au fond l'informatique de cabinet sert essentiellement à rendre plus productifs les actes médicaux sans aucune portée coopérative... un vrai paradoxe à l'heure de la prise en charge intégrale par le système de remboursement de soins !

Le "patient" doit être désormais au centre de cette informatisation !