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28/09/2012

La cote des bretons ?

En Mayenne les bretons ne sont pas les bienvenus !

La collecte des déchets, organisée en Morbihan par plusieurs syndicats mixtes, mène à l'impasse écologique...

Sur la presqu'île les déchets sont acheminés à Plouharnel pour y être incinérés ou exportés vers Vannes...
L'incinérateur de Plouharnel a fait plusieurs fois la une des journaux locaux en raison de la pollution des terrains environnants ! Le syndicat ABQP a du mal à entreprendre les investissements de modernisation de cet incinérateur, qui sème le trouble chez les éleveurs du coin !

La seule solution est de pousser les habitants à composter sur place les déchets ménagers (avec contrôle éventuel) et à trier correctement les emballages...

Laval, cité historique, ne doit pas devenir la destination ultime des déchets bretons !

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Fusion des communes : la fin des "branquignols" ?

A Saint Pierre Quiberon les Conseils municipaux sont imprévisibles !

Au menu du jour : la carte des "zones humides", qui servira de document annexe au futur PLU, la nouvelle zone d'activité et le recrutement d'un DGS adjoint...

Madame G, dans son rôle de Maître de cérémonie, a eu du mal à retenir l'Assemblée, lorsque Bécassine a posé la question, qui tue : zone humide et zone inondable, quelles différences ? On a appris que Gégé le bridgeur avait enfilé de superbes bottes pour rencontrer les grenouilles du coin et participer aux côtés du Cabinet Hardy (on ignore le montant de la note à payer !) à l'élaboration d'une carte détaillée et en cinq couleurs. Par discrétion, Gégé n'a pas voulu insister sur la zone humide au pied du lotissement social de Kerbourgnec. Ce qui semble tout de même étonnant dans cette belle carte, ce sont les limites des zones, qui épousent parfaitement le plan cadastral... A croire que les grenouilles et les plantes aquatiques savent lire une carte !

Gégé a été beaucoup plus confus sur le projet de cession d'un hectare, sur les 27, par les Armées pour la réalisation d'une nouvelle zone d'activité. A-t-on vraiment réfléchi aux besoins des entreprises en matière de réseau, d'infrastructure routière et de proximité urbaine de cette future "mini-zone" ? On sent bien les limites de nos conseillers dans le domaine de l'entreprise, qu'ils découvrent à l'age de la retraite ! Enfin, 12 années de mandat pour fignoler dans la dernière année du second une ZA "confetti", c'est vraiment constater que "l'entreprise" n'est ni le cauchemar, ni le rêve quotidien de nos élus...

Même punition en matière de "productivité du travail" : Madame G et Bibi n'en peuvent plus de "bricoler" le Dialogue et le site internet de la Mairie, de comprendre la réglementation sociale, appliquée à tous les salariés du public et du privé (on a parlé du DIF !) et Gégé de traiter le contentieux de l'urbanisme, qui enfle en raison souvent de décisions communales inopportunes !
Voici donc les raisons, qui poussent à recruter la perle des perles, un fonctionnaire Catégorie A, qui soit compétent en droit social, droit administratif et droit de l'urbanisme, excellent dans la réalisation de sites Internet et du journal municipal "Dialogue"...Vous m'en mettrez combien ?

Enfin lorsque Bibi a parlé des deux itinéraires de randonnée, inscrits au registre départemental (itinéraire jaune) on a appris que le balisage était inexistant... Un conseiller a fait rire la salle en évoquant la tournée des bistrots !

On devine également l'arrivée prochaine d'un projet de nouvelle mairie, puisqu'on entasse les deux écoles primaires municipales en une seule et que Madame G partage son bureau avec deux adjoints (quels sont les heureux élus ?).

Est-il vraiment sérieux d'envisager de tels projets faramineux pour une si petite commune ? La fusion, seule solution de diminuer les frais, et de se libérer d'une équipe vraiment médiocre !

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27/09/2012

A la marge ?

Le "cocorico" bien français est à nouveau "branché" sur le logiciel libre !

Alors que les deux chambres, Assemblée nationale et Sénat, ont épuisé les charmes (et les gros inconvénients) des logiciels libres en proposant aux députés et sénateurs pour cette nouvelle législature le choix entre "libre" et "Microsoft", le gouvernement clame haut et fort son penchant pour une informatique, qui représente aujourd'hui moins de 6% des utilisations...

L'efficacité, le service après-vente, les ingénieurs formés, les passerelles vers les systèmes informatiques d'entreprise, le temps passé pour résoudre des problèmes courants semblent ne pas être des critères de choix !

L'idéologie ne semble pas être de la partie, puisque les logiciels courants utilisent des formats normalisés...

Quant au coût, toutes les études montrent que le prix d'un logiciel n'est qu'une toute petite part du coût total !

Encore une fois un aveu : la compétitivité d'un agent de l'Etat n'a pas d'importance !

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