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01/05/2012

Caravane et résidence mobile de loisirs ?

Subtile distinguo à l'attention des "amateurs" de plein air !

En deux mots, car la réponse ministérielle est vraiment alambiquée, mieux vaut disposer d'une caravane que d'un mobil-home.

La caravane a toutes les propriétés de la vraie "mobilité", le mobil-home étant en fait une "cabane de chantier", qui a pris racine !

Ce qui importe dans la réglementation française, toute en subtilité, ce sont les emplacements autorisés : le parc résidentiel de loisirs, le terrain de camping et le village de vacances classé en hébergement léger.
Ces définitions "strictes" sont issues d'un "lobbying" acharné de l'hôtellerie de plein air, qui perd chaque année les "vieux adeptes" de la toile de tente... et tente ainsi de récupérer "les campeurs" embourgeoisés.

Le PLU de Saint Pierre commet une grave erreur d'assimiler les "camps de la Baie" au Petit Rohu au camp de camping municipal. Selon les textes il s'agit d'entités juridiquement très différentes. Mais "l'erreur" de notre service de l'urbanisme n'est certainement pas involontaire !

Ici peut-on d'ailleurs accepter la réalisation de ces "parcs résidentiels de loisirs", HLM d'été entassant à l'horizontal et en "tôle" des estivants pour un mois, dont la réglementation aujourd'hui est une "honte" et ne semble pas respectée au regard du Code de l'urbanisme.

Après la "caravane dans le champ de la Mémé", désormais condamnée, ne devrait-on pas réfléchir "à la persistence" de ces zones urbanisées "secondaires", qui enlaidissent le paysage littoral ? et la bande des 100 mètres...

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