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16/12/2017

AQTA, des projets et des tarifs, et impôts en hausse !

La fibre optique, deux ans de retard sur le planning officiel, fera son apparition à Quiberon entre 2019 et 2023 !

AQTA à Camors le 15 décembre 2017.jpg

Saint Pierre Quiberon n'est pas cité par la presse locale... Le Vice-Président en charge indique que le principal critère de raccordement est aux zones bâties en continu, en privilégiant le développement économique.

Les Offices de tourisme, les panneaux touristiques, l'eau et sa facture, les pistes VTT ont occupé une partie de la séance. "Partenaire, Premium et Grand Compte" la tarification nouvelle des services des Offices devrait permettre de mieux financer la SPL !

Le financement de ces lourds investissements passe soit par l'endettement, soit par une hausse de l'impôt. Débat "délicat" renvoyé à plus tard, lors de la présentation budgétaire !

Aujourd'hui les "réalisations" d'AQTA se payent "cash" !

 


Des tarifs révisés pour l’office de tourisme

Ouest France du 16 décembre 2017

 AQTA à Camors le 15 décembre 2017.jpg

Le conseil communautaire a adopté de nouveaux tarifs pour les professionnels adhérant aux services proposés par l’office de tourisme intercommunal. « Il doit nous apporter beaucoup plus qu’on avait avant : offre élargie, communication optimisée et visibilité accrue », souligne Bernard Hilliet, maire de Quiberon et vice-président à l’économie touristique.

La grille tarifaire unique prévoit différentes catégories : artisans, commerçants, services ; bars restaurants ; hébergements permanents ; chambres d’hôtes, locations ; activités sportives, culturelles et loisirs.

Chacun peut adhérer à une offre de services graduelle : partenaire, premium, grand compte. Elle comprend, par exemple, une présence de flyers dans leur office de tourisme de référence (Aqta compte quatre secteurs, Ria, Terres d’Auray, Presqu’île et île, Baie et Golfe), dans des guides thématiques, etc. Le territoire compte 1 500 professionnels.

Élue de Camors, Bernadette Desjardins souhaite attirer l’attention sur les musées, « choquée » qu’ils soient classés avec les casinos : « Ils fonctionnent avec des bénévoles et animent le territoire à l’année. » Et qu’il faille « à chaque fois cotiser pour déposer ses documents ». Maire d’Étel, Guy Hercend embraie aussi sur les associations lois 1901 : « Les bénévoles sont un peu découragés. » Il demande « de revoir la position » quant à la tarification pour ces associations, gestionnaires par exemple du Musée des Thoniers et de l’Écomusée de Saint-Dégan.

Bernard Hilliet lui répond qu’il est « d’accord » quant à l’importance des bénévoles. Avec ces tarifs, il s’agit pour la SPL touristique « d’être le plus autonome possible par rapport à Aqta ». Il termine : « On n’est pas tout bon. Il y a des choses qu’on peut modifier l’an prochain. Permettez-nous de démarrer. » Président d’Aqta, Philippe Le Ray abonde : « C’est une question de temps. »

 

Des panneaux touristiques bilingues

Auray Quiberon terre atlantique (Aqta) a décidé de renouveler ses panneaux touristiques sur la RN165, pour un coût de 150 000 €. Ils seront installés pour le prochain été et seront bilingues, en français et breton. « Nous sommes la première collectivité à avoir eu le réflexe naturel de traduire ces panneaux », observe Philippe Le Ray, président d’Aqta.

L’intercommunalité a été interpellée par le collectif Ai’ta sur le fait que le breton soit en italiques sur les panneaux, à la différence du français. « Ils ne sont pas d’accord avec les exigences de la Diro (Direction interdépartementale des routes Ouest) : par sécurité, quand on roule à 110 km/heure, il n’est pas question d’avoir une inscription en signes droits et sa traduction en signes identiques ».

 

La facture d’eau va augmenter en 2018

Les tarifs d’eau potable et d’assainissement collectif changent. L’eau potable baisse, l’assainissement augmente. Au final, pour une facture type de 120 m2, la hausse de prix totale va de 0,94 % à 2,38 % selon les communes.

Élu à Pluneret, Michel Couturier fait remarquer que « le prix de l’eau est déjà très cher ». Il plaide pour « un tarif plus faible pour les 100 premiers m3 » et « au moins le même prix » qu’auparavant au-delà de 500 m3. Or ce dernier « est en baisse ».

Président d’Aqta, Philippe Le Ray se dit « favorable » aux propos de Michel Couturier, « que les gros consommateurs paient plus », mais « il faut trouver un équilibre car les gros consommateurs peuvent être des vecteurs économiques ».

Un autre point du conseil portait sur l’assainissement collectif : il évoquait la liquidation du Syndicat intercommunal d’assainissement de Carnac - La Trinité-sur-Mer. Elle n’a pas encore abouti. La Trinité-sur-Mer en a délibéré, pas Carnac. « On attend une réunion comme La Trinité pour clore le dossier », observe Olivier Lepick, maire de Carnac. « Cela fait quatre ans qu’on vous demande de régler les choses », répond Philippe Le Ray.

 

Fibre optique, près de 22 000 nouvelles prises 

Réunis en conseil communautaire à Camors, les élus ont parlé de la deuxième phase de déploiement de la fibre optique. 

Réunis hier en conseil communautaire à la salle du Petit-Bois, les élus d’Auray Quiberon terre atlantique ont notamment abordé le déploiement de la fibre optique.

La première phase du chantier de déploiement de la fibre optique sera finalisée l’an prochain sur le territoire de l’intercommunalité Auray Quiberon terre atlantique (Aqta). Elle concerne plus de 14 000 logements et entreprises, pour un investissement de 28 millions d’euros, dont sept à charge d’Aqta. Réunis hier en conseil communautaire à Camors, les élus ont abordé la question de la deuxième phase de déploiement.

Elle sera menée de 2019 à 2023 et prévoit 21 527 prises supplémentaires. À son issue, « 75 % des parcs d’activités communautaires et près de 58 % des 5 250 entreprises seront couverts par la fibre », détaille Bruno Goasmat, maire de Belz et vice-président à l’économie numérique. Les critères étant, pour cette étape, « une priorité aux zones bâties en continu », en « privilégiant le développement économique ».

Le comité de pilotage réunissant le Département et les intercommunalités sont à la barre pour 9 845 prises ; le syndicat régional Megalis pour 11 682.

Lors de cette phase, Pluvigner sera équipé de 3 149 prises ; Quiberon, 2 584 ; Pluneret, 2 261 ; Etel ; 2 238 ; Locoal-Mendon, 1 832 ; Plœmel, 1 729 ; Brec’h, 1 578 ; Erdeven, 1 400 ; Belz, 1 306 ; Carnac, 1 272 ; Crac’h, 520 ; Camors, 438 ; Plumergat, 263 ; Landévant, 298 ; Plouharnel, 229 ; Saint-Philibert, 225 ; Sainte-Anne-d’Auray, 147 ; La Trinité-sur-Mer, 55. Cela représente « un investissement de 43 millions d’euros, dont 9,6 millions pris en charge par Aqta », souligne Bruno Goasmat.

Hausse de la fiscalité ?

Président d’Aqta, Philippe Le Ray rappelle que ce déploiement « répond à une demande très importante » et constitue un enjeu pour « l’attractivité » de la collectivité locale. Mais si « la fibre, c’est l’avenir », il s’agit aussi d’un « investissement lourd ». Il poursuit : « Il existe un vrai sujet sur les moyens. » Reprend : « On ira sur l’emprunt. On aura un vrai sujet sur la fiscalité. On aura le débat au moment des orientations budgétaires, de toucher la fiscalité. »

Maire adjoint à Crac’h, Ronan Le Délézir pose ensuite la question de la 4G, des zones blanches de la téléphonie mobile. « C’est très bien d’aller dans le haut débit », mais il faut aussi « des choses basiques ». Bruno Goasmat répond que des antennes sont prévues par des opérateurs, à Camors, Quiberon et dans la Ria : « Il existe beaucoup de besoins sur notre territoire, dans nos zones touristiques. Orange est présent, Free et Bouygues s’y intéressent. On aura cette couverture 4G. » Haut internet et 4G sont « complémentaires ».

Aqta, partager pour continuer à avancer

Télégramme du 16 décembre 2017

 AQTA, les nouveaux panneaux.jpg

Les panneaux touristiques du territoire d'Aqta bordant la RN 165 évoluent, en devenant notamment bilingues bretons-français.

Avant de se tourner vers les fêtes, le conseil communautaire se réunissait une dernière fois, hier à Camors. On a parlé mutualisation, installation de nouvelles pistes VTT, panneaux bilingues sur la RN165 ou encore déploiement du haut débit... Mais même à Noël, certains conseillers ont refusé de se faire des cadeaux.

  1. Regonfler la tirelire

Dans un contexte de baisse constante des dotations, les collectivités cherchent de nouveaux moyens. Comment faire mieux (ou au moins autant) avec moins. Il y a d'abord le renforcement de partenariats. Celui d'Aqta avec la Région, dans le cadre du développement économique, passe par une convention qui doit lancer une nouvelle organisation. Son but : mettre en avant l'offre de services proposée par les acteurs économiques au profit des entrepreneurs et optimiser les actions de chacun. Le partenariat avec la Région implique par ailleurs une nouvelle responsabilité pour Aqta, qui devrait faire valoir son expertise sur les activités liées à la mer. La communauté va ainsi coordonner et valoriser, à l'échelle de la destination « Bretagne sud - Golfe du Morbihan », les acteurs de la mer à l'échelle des sept intercommunalités. Une subvention de 25.250 € est demandée à la Région pour mener à bien cette mission.

  1. Dépenser moins en partageant

Les caisses se vident mais les bonnes volontés sont encore là. Aqta veut mettre en commun les moyens des communes pour en faire bénéficier l'ensemble. Solidarité et travail mutualisé : une recette qui devrait, selon Jean Dumoulin (Auray) donner du « gagnant-gagnant ». Si tout le monde joue le jeu, bien entendu... Une concertation a permis d'identifier les besoins et possibilités. Selon ce rapport, « les effectifs mobilisés par les communes représentent près de 1.200 postes, avec une part importante de personnels d'exécution ». Le schéma de mutualisation va également aider à passer des groupements de commandes, harmoniser les tarifs, mettre en oeuvre des réseaux de professionnels... Dans le même ordre d'idée, la communauté va mettre en commun le contenu des 22 bibliothèques et médiathèques de son territoire. Le dispositif de mise en réseau doit permettre d'augmenter l'offre et la fréquentation, tout en réduisant les coûts. Un portail référençant ce contenu devrait voir le jour.

  1. Et malgré tout, sortir le chéquier

Parce qu'il faudra bien continuer à avancer. Le déploiement de la fibre optique va se poursuivre : les travaux de la première phase du projet, d'un montant de 28 M€ (dont 7 M€ à charge d'Aqta) seront finalisés dès l'année prochaine et concernent plus de 14.000 logements et entreprises. La deuxième phase, qui doit débuter en 2019 et s'étaler jusqu'à 2023, va permettre de raccorder près de 22.000 nouvelles habitations et sociétés, ce qui englobe 75 % des parcs d'activités communautaires et près de 58 % des 5.250 entreprises du territoire

  1. Envisager de toucher à l'impôt

Ces nouveaux investissements pèsent sur les finances. La phase de travaux sur la fibre va engager près de 10 M€ (jusqu'à 12 M selon les avis) sur un total de 43 M€. Hier, lors du conseil communautaire, l'idée de toucher à la fiscalité a ainsi été évoquée.

Débats et points de désaccord

Dans le froid de décembre, certains points de friction ont permis aux conseillers de se réchauffer. Le départ acté de Guy Roussel, qui a également démissionné de son poste de conseiller municipal alréen, n'en fait pas partie. Il a été salué par le président Philippe Le Ray et par l'ensemble des conseillers. François Grenet le remplace désormais au conseil communautaire. La modification des tarifs de l'eau et de l'assainissement a, par contre, été diversement appréciée.

Médiathèques, qui pour coordonner le contenu ?

Plus tard, la présentation des tarifs de l'office de tourisme intercommunal a déclenché une remarque de Guy Hercend (Etel) : « Nos musées fonctionnement beaucoup avec des bénévoles. Il ne faut pas les oublier ». Bernard Hilliet, président du nouvel office intercommunal, a demandé l'indulgence de la communauté : « Il a fallu faire des choses dans un temps très court afin d'être le plus rapidement autonome par rapport à Aqta. On peut modifier des choses pour être meilleurs l'an prochain ». Les conseillers étaient vraiment échauffés au moment d'aborder la mutualisation du contenu des médiathèques. Jean Dumoulin demande des comptes sur « la légitimité du poste » créé pour coordonner la mise en commun des contenus des médiathèques (voir ci-dessus). Philippe Le Ray lui a répondu : « Il faut que quelqu'un coordonne ». Jean Dumoulin revient à la charge : « À l'heure des débats budgétaires, la création d'un poste, c'est un acte grave ». Le président : Ce n'est pas une création de poste, on fait avec les personnes qui sont là. On parle de financement par la communauté d'une personne qui serait mise à disposition. Il faut, au démarrage, un équivalent temps plein ». Jean-François Guezet (La Trinité) lance une proposition qui ne fait pas vraiment l'unanimité : « On apporte un service supplémentaire. Est-ce qu'on ne peut pas revoir les tarifs à la hausse ? Ils sont extrêmement bas... ». À ses côtés, Marie-Pierre Helou (Sainte-Anne d'Auray) tique : « Si on veut que les jeunes continuent à lire, il ne faut pas y toucher ». On se quitte après un échange un brin acerbe entre Philippe Le Ray et Olivier Lepick (Carnac) sur la décision en attente (et qui se fait attendre depuis un moment) de liquidation du syndicat intercommunal d'assainissement de Carnac et de La Trinité-sur-Mer. La trêve des confiseurs est la bienvenue.

 

© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/auray/aqta-partager-pour-continuer-a-avancer-16-12-2017-11783186.php#1xyuOTdCSiC1LsoT.99

Démarrage poussif du très haut débit en Bretagne

Les Echos du 5 décembre 2017

Stanislas Du Guerny

Mégalis en Bretagne.jpg 

Projet Mégalis - Orange

Lancée il y a deux ans, l'installation du réseau de fibre optique à très haut débit est en retard et les élus s'impatientent. Le syndicat mixte Mégalis, qui pilote ce projet de 2 milliards d'euros, pointe les difficultés de recrutement des sous-traitants.

La Bretagne a l'ambition d'être en tête du très haut débit Internet en France et promet la fibre à 1 gigabit par seconde pour tous les foyers d'ici à 2030. Il va lui falloir installer plus de 1,2 million de prises. Mais son calendrier accuse une bonne année de retard par rapport à ce qui avait été annoncé à l'origine. « Il nous avait été annoncé 70.000 prises installées fin 2016, ce total ne sera même pas atteint en 2017 », indique Bernard Marboeuf, conseiller régional d'opposition et président de Fougères Agglomération.

De 10.000 à 15.000 abonnés

Le syndicat mixte Mégalis, chargé pour la région Bretagne et les autres collectivités territoriales de piloter ce vaste projet de plus de 2 milliards d'euros, avoue un décalage. Actuellement, 50.000 prises sont posées et raccordables. Les abonnés sont au nombre de 10.000 à 15.000, on est loin du compte.

Orange, qui a décroché le marché de l'exploitation et de la commercialisation du réseau pour une durée de dix-sept ans, se charge également de construire la première tranche des prises à très haut débit. « Début 2018, elles seront toutes installées », indique Pierre Jacobs, le directeur régional d'Orange, qui minimise le retard.

Manque de personnel

Pour expliquer le décalage, Thomas Renault, le directeur du programme Bretagne très haut débit au sein de Mégalis, explique avoir « eu à faire face à un manque de collaborateurs formés dans les entreprises sous-traitantes ». De 500 à 600 personnes travaillent en permanence sur les différents chantiers d'installation de la fibre répartie à parité entre la voie souterraine et l'aérien. Il faudrait beaucoup plus de personnel.

 

Pour accélérer les embauches, la région a signé, au cours de l'été dernier, une convention avec les organismes de formation et la Fédération du bâtiment afin d'intensifier les spécialisations qualifiantes. Des dizaines de jeunes en bénéficient. Orange estime que les effectifs vont encore grimper. « Il va nous falloir créer plusieurs centaines d'emplois au cours des prochaines années. On mobilise les jeunes dans les lycées, les IUT », souligne Pierre Jacobs.

15.000 prises en attente

Les professionnels mettent également en avant les blocages de certaines copropriétés pour expliquer le retard. « Ils nous refusent parfois les accès aux immeubles », continue Thomas Renault avant de pointer... la question de l'élagage des arbres dans les zones rurales. La moitié des fils sont sous terre, le reste en aérien, en complément du réseau téléphonique classique. Ce qui nécessite de disposer du passage et d'avoir la possibilité d'élaguer les arbres. Au total, 15.000 prises seraient ainsi en attente à cause des arbres et de la difficulté d'accès aux immeubles !

Ces anicroches n'empêchent pas l'opérateur de cultiver l'envie des particuliers et des entreprises pour la fibre. Afin d'aller au plus loin dans les campagnes, l'opérateur vient d'aménager un camionnette équipée des dernières technologies du digital pour présenter au public rural les avantages du très haut débit et lui permettre de souscrire un abonnement.

Si Mégalis et ses partenaires respectent le calendrier, la Bretagne sera complètement couverte par le très haut débit Internet dans une dizaine d'années. Chaque installation d'une prise nécessite un investissement de plus de 1.600 euros. La région y engage 445 euros comme c'est aussi le cas pour chacune des collectivités territoriales concernées. L'Etat y souscrit à hauteur de 310 euros et l'Europe (fonds Feder) de 400 euros.

En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/pme-regions/actualite-pme/030945767270-demarrage-poussif-du-tres-haut-debit-en-bretagne-2135856.php#0KCmHq8e8v3CAgVe.99

Commentaires

A la lecture de ces articles, on nous prépare gentiment à une augmentation de nos impôts !!
Que l'on fasse des économies avant !!
sur la masse salariale:

Source https://www.collectivites-locales.gouv.fr/finances-locales

2014 : 3 634 000 € soit 43€ /habitant
2015 : 4 436 000€ soit 52€ /habitant
2016 : 5 375 000€ soit 62€ / habitant

A cet égard je m'interroge sur le dossier présenté aux différents conseil'municipaux pour le transfert des médiathèques : il faut arriver en séance du conseil communautaire pour s'apercevoir qu'il faut créer un poste?
Si cela coûte pourquoi le faire? Et cela répond à la demande de quels citoyens?
Le quidam n'est jamais consulté sur ce qu'il souhaite . 56 ayatollahs décident.!!
A quand un bilan de mandat et une confrontation directe avec les citoyens?
Et surtout un projet de développement clair!
Sur les subventions le ménage pourrait également être fait:
Pour de nombreux projets il y a désormais une suite commune/AQTA/département alors qu'avant il n'y avait que commune et département!!
On pourrait également faire des économies sur les grands projets comme celui de la gare D'Auray ou demander à Auray une participation plus importante car c'est également un projet d'urbanisme pour cette ville. Idem pour le futur gymnase à financer au prorata des utilisateurs par commune.

Enfin pourquoi ne pas vendre certains biens comme le golf de st Laurent qui je pense coûte plus qu'il ne rapporte..

Écrit par : Observateur | 19/12/2017

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