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15/01/2017

Cadeaux de Noël 2016...

La "choucroute WS" à un prix d'ami, une "piste cyclable" à la saint glinglin, la "chaudière nucléaire" qui fait pression sur les impôts, un drone français, qui part en vrille, des "cyber-attaques", qui commencent à détruire votre machine à café !

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Les "petites affaires" de la France industrielle ne suivent pas "les bons conseils" d'Arnaud Montebourg et d'Emmanuel Macron...

A commencer par le drone "made in France", qui plombe complètement les comptes 2016 de "Parrot". la choucroute William Saurin risque de coûter beaucoup plus cher en raison des comptes truqués de Madame Piffaut, les chaudières nucléaires, construites par Areva, qui aurait perdu près de 10 milliards d'euros en 2016 (un trou plus grand que celui de la Sécu, dont on parle tant !), les 24 000 cyber-attaques en 2016, révélées par le Ministre de la Défense, et dont les conséquences financières sont aujourd'hui inchiffrables (Secret Défense !)...

Méfions nous donc des promesses électorales "mirifiques" en cette année 2017 ! Les casseroles de 2016 (et d'avant) seront à solder en 2017 !


William Saurin, 300 millions de fausses factures ?

Ouest France du 13 janvier 2017

Le trucage des comptes de la Financière Turenne Lafayette (FTL), la maison-mère de William Saurin, aurait porté sur 250 à 300 millions d’euros de fausses factures, selon Le Figaro . Des chiffres que FTL n’a pas confirmé. Les difficultés du groupe agroalimentaire ont été mises au jour après le décès en novembre dernier de sa dirigeante, Monique Piffaut, à l’âge de 78 ans. Elle aurait avant tout cherché à préserver les 3 200 emplois. « Son enrichissement personnel n’était en rien sa motivation, écrit Le Figaro .Elle a fini sa vie ruinée. »

 

 

Itinéraire cyclable, espoir pour l'isthme

Télégramme du 11 janvier 2017

 Isthme de Penthièvre, le passage à niveau.jpg

En juin 2014, la démolition de la maison du garde-barrière avait redonné espoir.

Il y a peut-être un espoir que le dossier de l'aménagement de la piste cyclable à l'isthme de Penthièvre aboutisse ! En effet, le 25 janvier prochain, le préfet du Morbihan Raymond Le Deun, et Gérard Pierre, vice-président aux routes du département ont organisé une réunion avec l'ensemble des services : « Je suis confiant quant au résultat », insiste Gérard Pierre. Avec les quelques coups de tractopelle qui avaient fait tomber la maisonnette du garde-barrière en juin 2014, tous les espoirs étaient revenus de voir enfin aboutir le fameux itinéraire cyclable. Le tronçon de 4 km vers le Bégo, à l'entrée de Penthièvre, avait été réalisé en 2004. Sur la commune, des chemins avaient été aménagés. Dans le cadre de son plan vélo, c'est le conseil départemental qui avait pris la maîtrise d'ouvrage du franchissement de l'isthme pour assurer la continuité. Après une longue phase d'étude, compte tenu des spécificités environnementales, les accords ont été pris avec l'armée pour des passages sur les terrains militaires devant le fort pour que la voie verte rattrape le chemin du Pouladen.

« Ce dossier doit avancer »

« L'objectif de cette réunion est de trouver le meilleur compromis entre les contraintes environnementales, l'intégration paysagère, les aspects techniques mais aussi un réalisme financier pour cet ouvrage », insiste Gérard Pierre. Tous les services seront autour de la table, à l'hôtel du département : les services des routes qui travaillent sur ce dossier, les services de l'État, en l'occurrence l'Architecte des Bâtiments de France, et les représentants de la Dreal (Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement) et de la DDTM (Direction départementale des territoires et de la mer). « Ce dossier doit avancer », conclut l'élu. © Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/saint-pierre-quiberon/itineraire-cyclable-espoir-pour-l-isthme-11-01-2017-11359121.php#Wozy1ZdVT3DVm468.99

Bruxelles accepte la recapitalisation d’Areva par l’Etat français

Le Monde économie du 10 janvier 2017

Jean-Michel Bezat

 Cycle nucléaire.jpg

L’Etat actionnaire va pouvoir injecter jusqu’à 4,5 milliards d’euros dans le groupe nucléaire, en grande difficulté. Un consortium japonais s’est lui engagé à apporter 500 millions d’euros.

La Commission européenne a annoncé, mardi 10 janvier, qu’elle donnait son feu vert à la recapitalisation d’Areva, levant ainsi une hypothèque majeure dans le processus de restructuration du groupe nucléaire, en grande difficulté. Elle l’assortit néanmoins de deux conditions importantes.

Au nom des règles sur les concentrations, EDF devra demander l’autorisation à Bruxelles pour le rachat (2,5 milliards d’euros) de l’activité de fabrication et de maintenance des réacteurs (Areva NP).

Autre condition importante : la cuve de l’EPR de Flamanville (Manche), forgée dans l’usine Creusot Forge d’Areva NP et présentant une concentration excessive de carbone, devra être jugée bonne pour le service par l’Autorité de sûreté nucléaire. Celle-ci se prononcera au premier semestre. EDF affirme que ses propres tests ont confirmé la résistance de cet élément clé de la sûreté de la centrale.

Acquisitions hasardeuses et surcoûts finlandais

Les autorités européennes de la concurrence indiquent que « le projet de la France d’octroyer une aide à Areva sous la forme d’une injection de capitaux de 4,5 milliards d’euros est conforme aux règles de l’Union européenne en matière d’aides d’Etat ». Globalement, ajoutent-elles, « le plan de restructuration permettra à l’entreprise de devenir viable sans fausser indûment la concurrence au sein du marché unique ».

En fait, la recapitalisation globale d’Areva sera de 5 milliards d’euros, mais le consortium japonais Mitsubishi Heavy Industries-Japan Nuclear Fuel Limited a déjà fait une offre ferme pour injecter 500 millions dans le nouvel Areva.

Lire aussi : Les exigences chinoises freinent la recapitalisation d’Areva

Le groupe doit en effet être scindé en deux entreprises distinctes, un « spin-off » rendu nécessaire par sa situation de quasi-faillite. Créé en 2001 par le mariage de Framatome et Cogema, il a accumulé 10 milliards d’euros de pertes entre 2011 et 2015 et traîne une dette de 7 milliards, une situation financière due à des acquisitions hasardeuses (la société minière UraMin en 2007) et aux surcoûts du réacteur EPR d’Olkiluoto (OL3) construit en Finlande.

Lire aussi : Areva veut solder toutes ses erreurs industrielles

Dénommé NewCo, et détenu aux deux tiers par l’Etat, le « nouvel Areva » n’abritera plus que le cycle du combustible : extraction et enrichissement de l’uranium, recyclage des déchets, démantèlement des centrales. Il bénéficiera d’une recapitalisation de 3 milliards pour renforcer son bilan et assurer son développement, dont 500 millions des partenaires japonais. En attendant un éventuel apport du chinois China National Nuclear Corporation, avec lequel l’Agence des participations de l’Etat mène d’âpres négociations.

De son côté, Areva SA gérera l’énorme passif du groupe, dont celui d’OL3, et il bénéficiera de 2 milliards d’euros exclusivement versés par l’Etat. Quant à Areva NP, qui développe l’EPR (1 750 MW) et l’Atmea (1 100 MW) tout en assurant la maintenance et l’optimisation de plus de la moitié des réacteurs dans le monde, il doit passer sous le contrôle d’EDF fin 2017 si Bruxelles accepte l’opération.

Lire aussi : EDF : vivement 2018 !

Bruxelles rassuré par l’intérêt japonais

Le conseil d’administration d’Areva, réuni mercredi 11 janvier, prendra acte du feu vert de la Commission européenne. Il confirmera la convocation d’une assemblée générale, le 3 février 2017, pour entériner l’augmentation de capital d’Areva SA. Une autre assemblée générale devrait se tenir à la même période pour la recapitalisation de NewCo.

Il y a urgence : les dirigeants d’Areva reconnaissant que l’entreprise ne passera pas 2017 sans apport d’argent frais. Mais pour obtenir l’accord de la Commission, l’Etat actionnaire devait lui apporter la preuve qu’il est un investisseur avisé et qu’il ne cherche pas à sauver coûte que coûte un canard boiteux au travers d’une aide d’Etat déguisée.

Lire aussi : Les mauvaises performances boursières de l’Etat actionnaire

L’intérêt du consortium japonais pour le nouvel Areva restructuré a rassuré Bruxelles sur sa viabilité. Le groupe avait donné dès 2016 d’autres gages de sa volonté de s’en sortir : plan d’économies drastique, suppression de plus de 5 000 emplois dans le monde, cession d’Areva NP pour 2,5 milliards d’euros et vente d’autres actifs comme Canberra (appareils de mesure de la radioactivité), Adwen (énergies renouvelables) et Areva TA (moteurs des sous-marins nucléaires français).

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/01/10/bruxelles-accepte-la-recapitalisation-d-areva-par-l-etat-francais_5060487_3234.html#zsgjd0vLB5QP2BBy.99

 

 

 

Le champion des drones Parrot taille dans ses effectifs

Le Figaro du 10 janvier 2017

Elsa Bembaron

 Henri Seydoux, PDG de Parrot.jpg

Le Français, numéro deux mondial des drones, va supprimer 290 postes.

Le champion français des drones, numéro deux mondial, accuse le coup. Il va supprimer 290 postes - dont 200 en France - sur les 1 080 que compte le groupe. Actuellement, 890 salariés travaillent à l'activité drones de Parrot, concernée par cette réorganisation. «Le business du drone change énormément. Nous devons nous adapter rapidement au marché, explique Henri Seydoux, PDG et fondateur de Parrot, au Figaro. Il ne faut pas traîner.»

Le groupe se réorganise pour reconstituer ses marges et avec l'objectif de «revenir à l'équilibre dès 2017, hors coûts de transformation». Parrot réagit très rapidement à des ventes de Noël qui ont été moins bonnes que prévu. Le Français a souffert de la montée en puissance de ses rivaux chinois, notamment du numéro un, DJI, qui n'a pas hésité à brader ses engins volants pour les fêtes. Parrot a réalisé un chiffre d'affaires de 85 millions d'euros environ au lieu des 100 millions escomptés au cours du quatrième trimestre. Il a aggravé sa perte, qui s'établissait à 60 millions d'euros à la fin du troisième trimestre, pour un chiffre d'affaires annuel qui devrait s'établir à 230 millions d'euros environ.

«Nous devons reconstituer nos marges pour continuer à investir et à développer de nouveaux produits. Nous allons encore surprendre beaucoup de monde»

Henri Seydoux

«Le marché des drones reste en croissance. Le secteur professionnel nous intéresse toujours énormément», mentionne Henri Seydoux, dont les drones s'adressent à la fois au grand public et aux professionnels. Il développe de plus en plus de petits appareils adaptés aux deux marchés, avec, pour les professionnels, une gamme de services spécifiques (cartographie, surveillance d'ouvrages d'art…). «Nous devons reconstituer nos marges pour continuer à investir et à développer de nouveaux produits. Nous allons encore surprendre beaucoup de monde», promet le fondateur de Parrot, qui compare l'itinéraire de son entreprise à celui de GoPro, l'américain qui a inventé la caméra d'action. «Nous redevenons une start-up dans les drones, alors que nous nous institutionnalisons dans l'automobile», souligne Henri Seydoux.

L'équipementier automobile Faurecia a pris 20 % du capital de Parrot Automotive en décembre, avec pour objectif une détention à 100 % dans les trois à cinq ans, en fonction des résultats.

 

Selon Jean-Yves Le Drian, 24 000 cyberattaques ont été déjouées en 2016

Le Monde du 8 janvier 2017

Le ministre de la défense estime dans un entretien au « JDD » que la France n’est pas à l’abri d’un piratage comme celui du camp démocrate aux Etats-Unis.

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Les cyberattaques contre le ministère de la défense « doublent chaque année », affirme Jean-Yves Le Drian dans Le Journal du Dimanche daté du 8 janvier. Les services français ont bloqué en 2016 « 24 000 attaques externes » informatiques, explique ainsi le ministre.

Alors qu’un rapport du renseignement américain publié vendredi a accusé la Russie d’être à l’origine de piratages contre le camp démocrate durant l’élection présidentielle, M. Le Drian juge que cette action, si elle a été menée par un Etat, « est une ingérence insupportable ».

Commandement des opérations cyber

A ses yeux, la France n’est pas à l’abri d’opérations similaires. « Non, évidemment, il ne faut pas être naïf », insiste-t-il.

« Depuis que je suis à mon poste et notamment depuis trois ans, la menace cybernétique est devenue majeure y compris sur nos propres outils militaires. »

Il cite par exemple « des tentatives d’atteinte à l’image du ministère, des attaques menées à des fins stratégiques [harcèlement, repérage, espionnage] et même des tentatives de perturbation des systèmes de drones ».

Le 12 décembre, M. Le Drian a annoncé la création en janvier 2017 d’un commandement des opérations cyber, le CYBERCOM. Placé sous la responsabilité directe du chef d’état-major des armées, il disposera d’un groupe d’officiers resserré supervisant 2 600 « combattants numériques » d’ici 2019.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/01/08/selon-jean-yves-le-drian-24-000-cyberattaques-ont-ete-dejouees-en-2016_5059384_4408996.html#qK61TlLJsh2YH20X.99

 

 

 

Commentaires

Vous ne citez qu'un fabricant de casseroles en place: gerard pierre, (on le croyait marchand de soupe!) mais vous oubliez les autres casseroliers de la prequile : hillet(fabriqueur de soupe avec poisson avarié) et son equipe de godillots et le maire-medicastre duvehat...
tous ces gens coutent cher en impots gaspillés et degats divers...

Écrit par : akakia | 16/01/2017

Vite pour si peu d habitants sur la presqu'île ne pas faire une seule commune....un seul maire.......des employées communaux pour tous ,des adjoints pour toute la presqu'île.......cela ferait beaucoup d économie......et surtout des gens a la mairie avec de vraies compétences.... UNE SEULE MAIRIE POUR TOUS ;;;;;BON JE SAIS JE RÊVE ........................OK................

Écrit par : parfait | 16/01/2017

Vite pour si peu d habitants sur la presqu'île ne pas faire une seule commune....un seul maire.......des employées communaux pour tous ,des adjoints pour toute la presqu'île.......cela ferait beaucoup d économie......et surtout des gens a la mairie avec de vraies compétences.... UNE SEULE MAIRIE POUR TOUS ;;;;;BON JE SAIS JE RÊVE ........................OK................

Écrit par : parfait | 16/01/2017

Pour Hilliet et sa bande, cette fusion n'est pas à l'ordre du jour. Ils n'ont pas fini de vendre les biens communaux: campings, palais des congrès etc....
Quand ils auront mis quiberon à poil, après ils se rapprocheront de Saint Pierre pour une fusion et vous épongerez le prêt DEXIA par exemple.
Il vaut mieux partager 800.000€ à 8.000h qu'à 5.000h. Ca fera 100€/an par tête de pipe au lieu de 160€/an une bricole.....

Écrit par : lamaffe | 16/01/2017

je vois qu'on parle souvent par ici de mon ex et pas regretté condisciple Bernard Hilliet.
J'etais au lycée avec lui jusqu'à sa premiere terminale. il a bien survecu en pompant tous les devoirs de maths et de physique sur moi. autrement il n'aurait jamais pu continuer. mais comme son papa etait riche on avait pour lui des indulgences.. maintenant quand il passe dans sa caisse, il ne reconnait personne et surtout pas ceux qui savent la vérité!..
quand on sait que vous avez choisi cet ane batté comme maire on reste pantois d'un tel choix!..
a propos, a quiberon, il pompe sur qui?

Écrit par : sfx | 16/01/2017

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