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05/10/2016

AQTA, le père Noël avant 2017 ?

Le bon "Gégé" transmet ses gènes et envies à notre Député-Président Philippe Le Ray !

AQTA, carte des circulations douces.jpg

Le vélo dans le pays d'Auray est le nouveau Dada d'AQTA !

et de publier des cartes "mensongères" sur le réseau existant dans la presqu'île ! Geneviève n'en revient pas, puisque le passage de Fort Penthièvre est réalisé, alors que le brave "Gégé" nous parlait récemment d'une aventure de 11 années de travail sans résultat !

L'idée en soi est excellente, le modèle étant celui de l'ïle de Ré.

Malheureusement, en presqu'île comme ailleurs, la priorité est à la voiture, notamment pour les personnes âgées, depuis la dernière guerre...

Comme en Allemagne ou aux Pays Bas, l'avenir est aux pistes "autonomes", alors que nous en sommes ici encore au "partage de la route"...

En presqu'île la solution passe par la piste au centre de la presqu'île, qui conduit de Kerné à Quiberon au Stade de Saint Pierre, avec de bons aménagements en matière de revêtement. Et donc à l'interdiction du vélo sur la RD768 !

Surprise à Noël ?


La région alréenne fait sa vélorution

Ouest France du 5 octobre 2016

Stéphanie HANCQ

 AQTA, circulations douces.jpg

L’intercommunalité veut développer ses infrastructures pour développer l’usage du vélo. Élus, associations et techniciens planchent sur ce réseau intercommunal de pistes cyclables.

Le vélo est sur la bonne piste ! La communauté de communes d’Auray Quiberon Terre Atlantique (Aqta) planche sur son réseau de pistes cyclables. Objectif ? Le développer pour « démocratiser » l’usage de la petite reine.

Trajet domicile-travail

Selon un diagnostic établi par le cabinet d’études Item, près de 10 000 personnes sur le territoire travaillent dans leur commune de résidence, soit la moitié des actifs du secteur. Et 81 % des scolaires étudient dans la région. « Les flux vont en majorité vers Auray dans le cadre de déplacement domicile-travail, et une majorité de personnes vient du nord du territoire » , indique Séverine Grould, chef de projet au cabinet. Soit un secteur relativement proche de la cité alréenne. Or, malgré ce nombre important de personnes qui réalisent de courtes distances, le vélo est sous utilisé. 3 % seulement l’utilisent contre 15 % qui choisissent de marcher. Le potentiel est donc là quand on sait que sous la barre des 5 kilomètres, la pratique de la petite reine peut devenir un vrai mode de vie.

Des besoins

Reste que c’est justement dans le nord que l’inventaire des infrastructures cyclables révèle le plus de besoins. Si la côte est bien pourvue en termes de liaisons douces permettant la pratique du vélo, du côté de Landaul, Plumergat, Sainte-Anne, Locoal ou encore Pluneret, le manque de pistes cyclables est réel. « Le territoire ne part pas de rien » , rappelle néanmoins Fabrice Robelet, vice-président à Aqta en charge du dossier. 357 kilomètres de voies cyclables existent en effet déjà et 137 kilomètres sont en projet par les communes. Mais seulement 45 % de ce réseau existant sont en adéquation avec les déplacements domicile travail.

Un plan

Des propositions sur les infrastructures à mettre en place pour élaborer un réseau intercommunal cyclable ont été présentées : où rallonger les pistes, installer des équipements adaptés, etc., en s’appuyant aux équipements intercommunaux prioritaires comme les gares, le futur pôle d’échange multimodal, les aires de stationnement… Des ateliers vont à présent être mis en place avec élus, cabinet, associations d’usagers et techniciens pour prioriser les besoins : « Nous ne pourrons pas tout faire d’un coup » ,confirme Emmanuel Oger, directeur pôle technique et infrastructure à Aqta. « L’idée n’est pas d’intervenir sur besoins communaux mais bien d’établir un réseau continu d’intérêt intercommunal » , rappelle le technicien. Le schéma définitif pourrait être présenté dès le printemps prochain avec un début de travaux espéré dès fin d’année. Fanny Pilet, chargée de mission mobilité transport à Aqta, l’assure : « La demande pour la réalisation de ces liaisons douces est très forte. Et c’est en créant les infrastructures nécessaires que l’on donnera de nouvelles habitudes pour aller au travail. C’est l’avenir. »

 

 

 

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