09/06/2016
On ferme !
L'ère d'abondance est terminée ! les projets, non financés, disparaissent inéluctablement !
Le "Cocon de la Baie", une "boursouflure locale" de Geneviève et de ses affidés, ferme définitivement... Saint Pierre Quiberon, qui se voulait plus grosse qu'un bœuf, éteint la lumière et récupère un local, stérilisé deux heures par semaine ! Le bénévolat pur et dur doit apprendre les rudiments du financement et du contrôle de gestion. La Gauche, mauvaise gestionnaire, doit reprendre "des cours" d'humilité !
IFREMER, à la Trinité sur Mer, transfère à Lorient le maigre effectif de son antenne locale ! Les périodes fastes, d'une administration toute puissante et dépensière, relèvent du passé. Le passage "à la brosse" des activités et des comptes est enfin un réflex salutaire et prometteur. La "productivité" est le maître mot des révisions annuelles des dépenses de fonctionnement et d'investissement.
A l'échelle locale, le "nettoyage" n'est toujours pas terminé ! Médiathèque et Office de tourisme, locaux scolaires et car de transport...
Cocon de la baie, fermeture le 30 juin 2016
Télégramme du 9 juin 2016
Elisabeth Morizon, présidente du Cocon de la baie. Le Cocon de la baie, lieu d'accueil enfants-parents (LAEP), ne rouvrira pas à la rentrée prochaine. Pour l'équipe de bénévoles, la fermeture de ce lieu de rencontres et d'échanges est une grande déception. Entretien avec la présidente, Elisabeth Morizon. Pouvez-vous nous rappeler l'origine du Cocon de la baie ? Le Cocon de la baie avait ouvert ses portes en septembre 2012, après un travail de préparation de l'atelier petit enfance du Conseil des sages. Il est géré par une association 1901, l'Envolée. À l'époque, ce projet a été soutenu et encouragé par les deux mairies. Il faisait l'objet d'un agrément de la Caf (Caisse d'allocations familiales), label de qualité. Que s'est-il passé pour que, en avril 2016, le conseil d'administration de l'association décide de sa fermeture le 30 juin prochain ?
En 2012, seize enfants sont venus de façon régulière, nous avions en 2013, 30 enfants (24 familles) et en 2015, 38 enfants (23 familles). À partir de septembre 2015, l'effectif des enfants a fondu pour plusieurs raisons. Sur le plan national, le changement d'horaires des écoles a provoqué une baisse de fréquentation des enfants de 2 à 4 ans. Localement, comme tous les lieux d'accueil enfants-parents, le Cocon s'appuyait sur les réseaux sociaux des municipalités de la presqu'île. Depuis les dernières élections, le changement de municipalités a tout bouleversé. La baisse des naissances sur la presqu'île n'a pas, non plus, contribué à améliorer la situation. Vous regrettez de ne pas avoir été suffisamment épaulé par les municipalités ? La mairie de Quiberon, sans préavis, a supprimé la mise à disposition de l'éducatrice de jeunes enfants. Et nos demandes de rendez-vous sont restées vaines. De ce fait, aucun comité de pilotage, prévu par la Caf, n'a pu voir le jour. Nous regrettons que la complémentarité et la différence entre le Pôle multi-accueil et le LAEP, n'aient pas été comprises. La mairie de Saint-Pierre a poursuivi la mise à disposition du local et maintenu son aide financière. Elle est toujours présente dans le conseil d'administration. Nous regrettons, cependant, que, lorsque la baisse des effectifs se faisait sentir, la communication concernant le Cocon dans le bulletin municipal n'ait pas été faite. C'est dommage car un noyau de compétences et de professionnalisme, richesse de la commune, va être perdu. Pour les mamans, le LAEP le plus proche sera dorénavant à Saint-Philibert...
© Le Télégramme
Ifremer transfère son site de La Trinité à Lorient
Ouest France du 9 juin 2016
Après 50 ans de missions, au service de la zone conchylicole notamment, la station de La Trinité-sur-Mer fermera ses portes début 2018.
Situé au cœur d’une zone conchylicole précieuse et fragile, le site Ifremer de La Trinité-sur-Mer (Morbihan) était l’une des deux stations menacées de fermeture en France. Fin mars, rien n’avait été décidé sur le sort du laboratoire trinitain lancé en 1967, dont le transfert pour Lorient était souhaité par la direction nationale engagée dans un processus « d’optimisation et de rationalisation du dispositif territorial, en appui à la puissance publique ». Pour la station de La Trinité, (10 salariés, contre 20 il y a six ans), il s’agit, en d’autres termes, de transférer l’activité de surveillance, de recherche et les personnels sur le site d’Ifremer à Lorient.
Une sous-traitance
Mardi soir, le sort de la station de La Trinité et de celle de L’Houmeau (Charente-Maritime) a été scellé. Les deux fermeront à l’orée 2018. Une décision annoncée dans la douleur, les représentants des personnels ayant unanimement émis un avis négatif sur ce projet de fermeture. « Quelle continuité de service aurons-nous à Lorient ? s’inquiètent les salariés, la sous-traitance envisagée par la direction pour compenser cette fermeture ne permettra pas une vraie expertise de surveillance du littoral et de la qualité des eaux, pourtant fondamentale dans une zone conchylicole de première importance. » Le Sénateur morbihannais, Michel Le Scouarnec, intervenu auprès du Premier ministre pour tenter de contrecarrer le projet d’Ifremer, ne dit pas autre chose. « Cette décision porte un coup fatal à la présence de cette entité scientifique sur un territoire particulièrement marqué par ses activités conchylicoles. Sa fermeture engendrera une désorganisation des missions et des liens tissés entre les personnels et les professionnels. Il est regrettable de voir disparaître un institut indispensable à notre économie maritime, si prégnante en Bretagne. »
Pierre WADOUX.
Commentaires
bon débarras ils ne savent viventque de subvention, et faire payer les parents
Écrit par : ouioui | 09/06/2016
supprimons les subventions aux organismes parasites, ca diminuera les impots!
quand on y regarde de près, ces subventions alimentent grassement des planques à potes qui ne foutent rien... (comme l'ENV par exemple)
Écrit par : un conseiller d'opposition | 18/06/2016
Cher monsieur Hennel,
Voici qu'un "conseiller d'opposition" se manifeste sur votre blog!
Quatre possibilités d'identification donc car SPQ ne compte que 19 représentants à son conseil municipal dont 4 "d'opposition".
Palsambleu voici ce commentateur éclairé identifié à 25 %.
A moins que... à moi que disais-je, ceci ne soit que le verbiage d'un individu ennemi des mots contenant des trémas et dont les propos n'engagent que lui et pas un élu.
Personnellement, je pencherai pour cette deuxième hypothèse. Pas vous?
Écrit par : Le masque et la plume | 18/06/2016
Le "pseudo" est destiné à brouiller les pistes ! Il s'agit manifestement d'un commentateur, habitué de ce blog, qui récite "son catéchisme" contre la corruption des élus !
Plus intéressant, la question de la démission, ensemble, des élus de l'opposition...
Un bon coup, pour provoquer des élections partielles ! mais sont-ils prêts à gouverner ?
Écrit par : jeanbart | 18/06/2016
Cher monsieur Hennel,
Voici une hypothèse intéressante à savoir que par leur démission respective, les élus de la minorité nous renvoient aux urnes.
Ceci serait la conséquence logique du "refus de confiance" acté par le conseil municipal du 31 mai 2016. A la fois, de la logique en politique, ailleurs comme ici, c'est une denrée assez rare. D'autant plus rare qu'il faut aussi avoir une dose de courage. Bref statu quo ante!
Sont-ils prêts ? Probablement pas car cette possibilité d'élection anticipée est récente.
Une chose est certaine. Si nos quatre mousquetaires opposants deviennent majoritaires, sous la houlette de F. Dubois, il y aura moins de sottises commises et les dossiers seront suivis plus sérieusement. Je l'écris avec d'autant plus de sincérité que je n'ai pas voté pour lui ni pour votre amie "Laurence". Je fais partie des quelques 60 électeurs ayant exprimé un vote blanc ou nul ne pouvant choisir entre l'immobilisme dogmatique de l'un et l'amateurisme patenté de l'autre...
Écrit par : Le masque et la plume | 18/06/2016
Quelles que soient vos démangeaisons, le feu est dans la cuisine...
L'opposition actuelle ne pourrait être élue, qu'en portant le projet de fusion (Quiberon ou Quiberon + Plouharnel), ce qui implique une bonne entente avec les élus d'une ou de deux communes...Sylvie Cottin serait certainement la plus habile dans une "négo" de ce type !
Écrit par : jeanbart | 18/06/2016
Cher monsieur Hennel,
Grosse erreur d'analyse. La liste qui portera ce projet se verra envoyée dans l'opposition pour six années fermes
Il faut fusionner ou tenter de le faire une fois élu et surtout ne rien dire avant.
Quant à celle qui semble devenir votre prochaine égérie, j'avoue être un zeste partagé.
Écrit par : Le masque et la plume | 18/06/2016
on ne veut pas du cumulard pierre comme maire de quiberon! et d'autre part gardez donc vos socialauds fachos...
Écrit par : k-bronx | 18/06/2016
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