15/04/2016
Mer, espace convoité, exploité, massacré par les hordes de touristes...
Les "ostréiculteurs" ont perdu la bataille de l'assainissement... la pollution "touristique" est insurmontable dès les premiers beaux jours !
Philippe Le Ray, qui court derrière Bruno Le Maire, n'a pas fait grand chose de plus, que ses prédécesseurs chez AQTA en matière d'assainissement !
Les "fosses septiques" pullulent en bord de mer, les campeurs envahissent le littoral à 5 mètres des plages (Sables blancs, Penthièvre, Petit Rohu, Beauséjour, Domisilami, Conguel...), les corbeilles municipales débordent...
Les premières vacances scolaires remplissent les résidences secondaires ! tous les réseaux sont saturés, les égouts, les eaux pluviales et même l'Internet !
Pour les touristes, préparons le musée de l'avenir ! celui de l'ostréiculture "disparue" !
Ostréiculteurs en colère, 3 tonnes de coquilles déversées à Auray
Télégramme du 13 avril 2016
Dès 6h15, ce mercredi, une dizaine d'ostréiculteurs ont entrepris une nouvelle action, après celle du 1er avril. Ils s'estiment stigmatisés par l’arrêté préfectoral qui stoppe la commercialisation de leurs huîtres. Ils ont déversé 3 t de coquilles devant les permanences du député Philippe Le Ray et du sénateur Michel Le Scouarnec, à Auray, ainsi que devant le siège de la communauté de communes. Et, peu avant 7h30, ils se dirigeaient vers la permanence de Gérard Pierre, conseiller départemental, à Plouharnel. © Le Télégramme
Crossa Étel, interventions en hausse en 2015
Télégramme du 6 avril 2016
L'an passé, le Crossa a coordonné 2.175 opérations de secours aux personnes ou d'assistance aux biens.
Des interventions en hausse : le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage Atlantique (Crossa), basé à Étel, a coordonné ou suivi près de 4.000 affaires, en 2015. Un bilan en augmentation de 8,6 % pour l'assistance et le sauvetage en mer, par rapport à 2014.
2.175 opérations
En 2015, le Crossa Étel a réalisé, sur la zone Atlantique qui s'étend de la pointe de Penmarc'h, dans le Finistère, à la frontière espagnole, 3.961 interventions, contre 3.304 affaires en 2014 (+ 19,9 %). Au total, il a été mobilisé sur 2.175 opérations (+ 8,6 %), dont 1.207 pour le secours aux personnes (+ 7,8 %) et 968 pour l'assistance aux biens (+ 9,6 %). Avec des pics en période estivale qui, de mai à septembre, concentre 70,67 % de l'activité annuelle. Août a été le plus actif avec 472 interventions (contre 387, en 2014).
La majorité des alertes (62,4 %) a été effectuée par téléphone par les impliqués ou des témoins, au 196, le numéro d'urgence des secours en mer.
38 décès, dix disparus, 102 blessés
L'an passé, le nombre total de personnes impliquées a augmenté par rapport à 2014 (+ 2,8 %) : sur 5.268 individus, 1.173 ont été secourus, dont 102 blessés (- 9,7 %), et 2.833 assistés. Malheureusement, 38 personnes (dix baigneurs, neuf plaisanciers, cinq professionnels, deux plongeurs et douze chutes, suicides ou pêcheurs à pied) sont décédées en mer, contre 34 en 2014, et dix ont été portées disparues (trois professionnels, un plaisancier et six autres), contre huit en 2014. La chute à la mer est la cause principale des décès.
L'occasion, pour le Crossa, de rappeler que le port d'un gilet gonflable accroît les chances de survie en mer !
En août dernier, deux plaisanciers équipés de VFI (Vêtement de travail à flottabilité intégrée) avaient ainsi été récupérés sains et saufs, après deux heures de recherches pour l'un d'entre eux. Au pire, le VFI permet de retrouver le corps, flottant.
Au total, en 2015, 76 personnes ont été retrouvées, 913 se sont tirées d'affaire seules et 225 étaient impliquées dans une fausse alerte (4,9 %).
À noter que 69 % des alertes par balises de détresse se sont d'ailleurs révélées fausses !
141 aides médicales en mer
En 2015, le Crossa a participé à 141 opérations d'aide médicale en mer : 77 blessés ou malades avec soins à bord avec déroutement, dix sans déroutement, 20 évacuations médicalisées et 34 évacuations sanitaires (sans équipe médicale). Ces 54 évacuations ont concerné tous les secteurs d'activités maritimes : les navires de commerce (18), la plaisance ou les loisirs nautiques (19), la pêche professionnelle (14) et des personnes envasées (3). 3.846 moyens déclenchés.
Lors des opérations de sauvetage, le Crossa coordonne les différents moyens
Avec un niveau d'engagement à nouveau conséquent, conforme à l'augmentation de l'activité en 2015 : 1.026 interventions terrestres, dont 572 pour les pompiers (plus de 580 heures cumulées), 2.362 interventions nautiques, dont 1.250 pour la SNSM (près de 2.300 heures), et 458 interventions aériennes, dont 202 sorties pour la Sécurité civile (plus de 179 heures).
Le Morbihan loin devant
Concernant la répartition géographique des opérations, le Morbihan est, de loin, le département côtier où l'assistance et le sauvetage sont les plus nombreux : 511 interventions, contre 509 en 2014. Suivent la Charente-Maritime (372), la Gironde (353), la Loire-Atlantique (240), talonnée par le Finistère (232). La plaisance et les loisirs nautiques (planche à voile, kite-surf) constituent 82 % des opérations, avec un grand nombre d'avaries techniques générant des situations à risque en zone côtière.
© Le Télégramme
Bego, un nouvel assaut du 5 au 8 mai
Télégramme du 9 avril 2016
Jean-Pierre Morane, en charge de la communication au sein de LBMG, Eliane Audau, adjointe, Gérard Pierre, maire, François Cailloce, président de LBMG, Madeleine Juberay, directrice de l'office de tourisme, Dominique Crublet, directeur des services techniques, Christophe Le Pimpec, coordinateur technique du Grand site dunaire, sur le site du Bégo.
Il y a trois ans, la dernière édition d'« Assaut sur le Bégo » avait été un événement très apprécié salué par la fréquentation d'un public nombreux.
Grâce à l'association LBMG, Liberty Breiz Memory Group, les 5, 6, 7 et 8 mai, le site du Bego se transformera de nouveau en camp américain et offrira une multitude de champs d'investigations historiques. Sur le site du Bégo, la batterie STP Va 300, a été construite en défense de la base de sous-marins de Lorient.
Sur ce lieu historique, un camp allié va renaître pendant quatre jours. « Nous serons une vingtaine d'associations, explique François Cailloce, le président de LBMG, soit 60 véhicules d'époque dans un campement entièrement équipé et occupé par des personnes en uniformes alliés venant de toute la Bretagne, de Normandie, du Loiret, de Vendée... » A cette occasion, le bunker réhabilité en musée sera ouvert au public gratuitement. Objets militaires, matériels de radio, effets ayant appartenu à des Résistants, à des soldats français et allemands seront exposés dans les 400 m².
Avec un des derniers vétérans La présence d'Achille Muller, l'un des derniers SAS (Special air service) sera un événement. Aujourd'hui âgé de 91 ans, il reviendra sur les lieux de ses exploits, et témoignera.
Pour l'occasion un détachement du 3e RIMa de Vannes et du 6e RG d'Angers sera présent et des démonstrations de sauts en parachute seront faites par des personnels du 1e r RPIMa de Bayonne, depuis Vannes-Meucon, en Dakota.
Ces trois jours d'animations, où de nombreuses visites commentées de l'ensemble du site seront proposées par l'office de tourisme, s'inscrivent dans une démarche d'ensemble de découverte du territoire.
Ainsi pour le maire, Gérard Pierre, « la commune abrite un riche patrimoine que nous devons mettre en valeur. Nous avons la volonté de créer des synergies en unissant les forces pour transmettre un message de préservation de ce site historique exceptionnel, qui présente également une diversité incomparable. La démarche de labellisation Grand site de France à l'horizon 2018 va dans ce sens ». Pratique Du 5 au 8 mai, de 10 h à 19 h 30 (18 h le dimanche) : ouverture du camp allié au public. 17 h 30, 19 h : conférence sur le site. 14 h 30 et 14 h : visite guidée du site par l'office de tourisme.
© Le Télégramme
Commentaires
Il est plus facile d'interdire par arrêté municipal toute pollution visuelle: par exemple, interdire les petites affiches très éphémères vantant la "fête de la sardine"- Sardine qui fait quand même partie de l'ADN de Quiberon- que de ne pas voir ou de ne pas vouloir voir des cas flagrants de pollution des réseaux d'eau pluviales qui comme chacun le sait finissent à la mer c'est à dire sur nos plages et dans nos ports.
Le 4 avril 2016, 2 cas de réelle pollution ont été signalés au maire et à son conseil
La place de la duchesse Anne n'est quand même pas si loin de la gare et de la place de la Résistance!!
Que dire de la rue des peupliers: qu'elle est beaucoup trop loin et qu'en plus elle est située dans les quartiers Est de la commune qui autrefois abritaient des décharges?
Comment décharges? , vous avez dit décharges comme c'est bizarre!!!
Écrit par : jclg | 15/04/2016
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