09/04/2016
Souci d'économie et d'efficacité !
Une réduction de 40% des intercommunalités, actées en 2015 serait "l'optimum" !
Gaston Deferre serait étonné, après avoir réclamé "la décentralisation" avec 36.000 royaumes avec roitelets...
Les trois lois de françois Hollande sur la "réorganisation territoriale" de la France sont finalement un véritable échec !
Les départements restent en place, territoires conservés sous l'autorité de l'Etat, par des Préfets, choisis par le pouvoir central ! Les "Pays" également alors qu'ils étaient l'intermédiaires entre région et communes. Ils ne servent plus à rien face à des intercommunalités et agglomérations, qui détiennent le pouvoir financier...
Aujourd'hui la "chaussure est trop petite ! Les intercos doivent grossir !
Ici, chez AQTA, la création de l'Interco semble stupide. Et la division en deux évidente ! L'ouest pour Lorient, l'est pour Vannes... à moins de choisir la division Nord-Sud, la campagne vers Lorient, la "côte" vers Vannes...
Notre Président (PLR) et nos vice-Présidents sont "dans le coltar" ... comme tout nouvel élu, qui s'accroche à son nouveau jouet !
Mais, les résultats financiers d'AQTA, qui dérapent, auront "la peau" des nouveaux Maîtres !
Réforme territoriale, vers une France à 1.265 intercommunalités
Télégramme du 8 avril 2016
"(Photo d'illustration Claude Prigent)
Le nombre d'intercommunalités devrait être ramené prochainement à environ 1.265 sur le territoire français, soit 40% de moins par rapport à la carte actuelle, selon les chiffres publiés vendredi par l'Assemblée des communautés de France (AdCF).
La révision des schémas départementaux de coopération intercommunale (SDCI), dont la liste a été arrêtée le 31 mars, a été élaborée ces derniers mois dans les départements par les préfets et des commissions d'élus. Selon l'AdCF qui les a analysés, s'ils étaient intégralement mis en oeuvre, ces nouveaux schémas se traduiraient "par une France de 1.255 intercommunalités", contre environ 2.100 actuellement. Ce nombre serait porté à "1.265, si on recense les établissements publics de territoires de la Métropole du Grand Paris".
Maires ruraux. Plaidoyer contre la loi NOTRe
Rationaliser la carte administrative locale
Inscrite dans la loi NOTRe sur la réforme territoriale adoptée en août 2015, dont elle constitue un important volet, la révision des intercommunalités vise à rationaliser la carte administrative locale en regroupant des bassins de vie dans un souci d'économie et d'efficacité. "Le taux de réduction serait de 40% à travers notamment 449 procédures de fusion", "ce qui représente une mutation considérable à opérer en neuf mois", souligne dans un communiqué l'AdCF, qui fédère plus de 1.240 intercommunalités. Le calendrier serré prévoit en effet la mise en oeuvre de ces fusions au 1er janvier 2017. Les élus communaux doivent à présent se prononcer d'ici à l'été sur les nouveaux périmètres qui leur sont proposés.
Des intercommunalités de 5.000 à 15.000 habitants
Le seuil des intercommunalités a été relevé par la loi NOTRe de 5.000 à 15.000 habitants, après d'âpres discussions au Parlement. Il a été ainsi fixé pour contraindre les petites communes et les petits intercommunalités à fusionner pour atteindre la taille requise. "Avec les dérogations autorisées dans les secteurs de faible densité, 253 intercommunalités demeureraient sous le seuil de 15.000 habitants", mais plus de 1.000 le franchiraient, précise l'AdCF. "Tous les projets" respectent en outre le seuil plancher de 5.000 habitants sans dérogation possible.
Une harmonisation de la fiscalité locale
L'association souligne "le bon climat constaté dans de nombreux départements" lors de l'élaboration des nouveaux périmètres, mais aussi les "inquiétudes" suscitées notamment par la dissolutions de communautés existantes. La fusion de communautés de communes suppose une harmonisation de la fiscalité locale et des compétences, qui peut s'avérer compliquée lorsque le niveau d'imposition ou le mode de gestion diffère d'une commune à l'autre.
Un délai d'un an supplémentaire
Le Sénat a adopté jeudi une proposition de loi visant à rallonger d'un an le délai d'entrée en vigueur de ces nouvelles intercommunalités, au 1er janvier 2018, pour laisser un temps suffisant aux élus pour créer ces nouvelles structures. Mais pour être appliquée, cette proposition doit à présent recevoir l'aval de l'Assemblée nationale et le gouvernement s'est déclaré hostile à un délai supplémentaire.
Commentaires
Non mais? ca ne va pas hennel! Nous on ne veut pas devenir les vassaux de goulard et compagnie! Vous ne connaissez rien aux réalités historiques et sociologiques du pays d'auray! Ca c'est bien une idée d'un duchentil de passage!
ce n'est pas parceque nous avons un minables (leray) accompagné de minables (hilliet, duvehat, pierre, etc..) qu'il faut nous faire disparaitre dans un magma vannetais (un cloaque dirais-je!).
Nous on en veut pas!
Écrit par : jean Rohu | 09/04/2016
Jean Rohu,il est évident qu'avec les minables que vous citez, l'Aqta ne fait pas le poids et que dans ce cloaque, Goulard est à la fête telle une anguille dans les vases de tous les ports morbihannais gérés par la Compagnie des Ports du Morbihan et dont il est le PDG autoproclamé.
Contrairement aux autres régions, la conseil régional de Bretagne prendra la gestion de tous les ports ce qui est normal pour une région entourée de mer et avec un président ayant été un secrétaire d'Etat à la mer très actif au début des années 90 et sachant où il va dans ce domaine.
Attention dans ce cas aux surprises et aux découvertes malsaines. Le passage trop rapide en SPL n'aura été qu'un placebo arrivé trop tard pour duper les gogos. Maintenant il va falloir s'expliquer sauf entente de dernière minute. Avec les Politiques on peut s'attendre à tout!
Écrit par : Pierre Guillemot | 09/04/2016
selon http://elections.quiberon.over-blog.com/2016/04/29-morts.html
qui dit "
En parlant de petits arrangements, il se dit qu’à Quiberon, un adjoint nous aurait quittés en continuant, peut-être, à émarger au budget municipal ? Contre son gré, dit-on aussi."
alors de qui s'agit il?
Dans ce cas pourquoi n'y a t il pas de nouvelles élections municipales?
On serait débarassé de Hilliet et de son equipe de godillots...
Écrit par : kervozesse | 10/04/2016
vous devez éclaircir rapidement ce problème d'adjoint. Il se dit qu'il n'y aurait plus de remplaçant et que des conseillers n'osent pas démissionner. Que craignent-ils?
Le cas Raynaud prouve la volonté de ce maire de faire une vaste opération foncière et immobilière sur la commune. Au profit de qui?
Les résidents principaux et secondaires ont du soucis à se faire car leurs biens seront gravement dépréciés.
Dire que Hilliet lors de sa campagne protestait contre la braderie des terrains communaux de la rue des marronniers et de beg er vil. Aujourd’hui, il voudrait que le prix moyen ne dépasse pas les 100 à 150 euros le m2. C'est trop facile quand on a bien vendu ses terrains et maison avant d'être élu.
Ce n'est pas un maire que vous avez mais un promoteur
Écrit par : beg en aud | 10/04/2016
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