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30/03/2016

Les "seniors" méritent "plus" dans notre bon pays d'Auray !

Auray marie avec bonheur voiture électrique et transport à la demande ! le Taxi municipal, pas cher, pas cher...

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Initiative plus intéressante que celle du "Paradis" de Quiberon, prochaine ruine financière de notre voisine ! Il est vrai qu'à Quiberon, il faut protéger les "familles Taxis", qui profitent de la presqu'île et de l'éloignement d'Auray...

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Les seniors sont également sensibles à la qualité de leur alimentation...le développement de grandes surfaces concurrentes chez notre voisine (à Saint Pierre élimination d'office) s'est fait sur le "prix" et non la "qualité"... ce qui explique le succès de Jean-Pierre Coffre en librairie et dans les tribunes télévisuelles...à Quiberon, il n'y a plus aucun charcutier, digne de ce nom, itou à Saint Pierre, où nous disposons de deux bouchers-charcutiers concurrents. Près de la Presqu'île "Stop Andouille" vaut le déplacement...le dernier des Mohicans !

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Le "Bio" attire surtout les vieux et les vieilles filles. Si vous y ajoutez une dose de philosophie pseudo-orientale vous êtes dans le succès, comme s'en félicite la chaîne Biocoop, qui faillit couler il y a peu !

La dernière ferme quiberonnaise est également un foyer d'attirance pour les personnes âgées...

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Les "seniors", pas tous, sont attentifs à l'orthographe à l'ancienne...le concours de dictée (Merci Pivot) attire beaucoup de "has been", comme l'université du temps libre...

Siou plait ! Taxi !


Seniors, la solution du transport à la demande

Télégramme du 30 mars 2016

Auray, transport des seniors à la demande.jpg 

Les élus et le personnel du CCAS ont mis sur pied un nouveau service de transport à domicile pour les plus de 70 ans. Un transport en Zoé, une voiture électrique.

À partir du lundi 4 avril, les Alréens de plus de 70 ans pourront bénéficier d'un service de transport à la demande. Un coup de fil la veille, un euro déboursé pour chaque trajet et une voiture de la mairie viendra vous chercher, pour vous acheminer où vous voulez sur le territoire de la commune.

Vous avez plus de 70 ans et pas de voiture pour vous déplacer à travers Auray ? Vous ne savez pas comment vous rendre chez le dentiste, au cinéma, ou tout simplement pour aller prendre le thé ou jouer aux cartes chez une amie à l'autre bout de la ville ? À partir du 4 avril, vous pourrez faire appel au nouveau service mis en place par la Ville : le transport à la demande pour les seniors. Sur un simple coup de téléphone passé la veille de votre trajet, au Centre communal d'action sociale (CCAS), une voiture avec chauffeur, une Zoé, passera vous chercher à votre domicile, à l'heure qui vous conviendra et vous reprendra quand vous aurez terminé votre activité. Il vous en coûtera 1 € par trajet, soit 2 € pour l'aller et le retour. Seules restrictions : ce service est disponible le lundi, de 8 h 30 à 12 h 30, le mercredi, de 14 h à 16 h, le vendredi, de 9 h à 11 h, le dimanche, de 13 h 30 à 17 h 30.

Favoriser la mobilité des seniors

« Nous voulons favoriser la mobilité des personnes âgées, tout en créant du lien social, explique le maire Jean Dumoulin. Ce service renforcera la participation des seniors à la vie alréenne et permettra également de lutter contre l'isolement et la solitude. Nous voulions aussi proposer une offre complémentaire à Auray bus, géré par Aqta (Auray Quiberon terre Atlantique) ». La municipalité travaille sur ce projet depuis un an. 31 % de la population alréenne a plus de 60 ans, soit 3.900 personnes, dont près de 1.800 ont plus de 75 ans. « La situation d'une ville centre », commente le maire.

Questionnaire

La municipalité a envoyé un questionnaire à tous les Alréens de plus de 70 ans pour en savoir plus sur leurs habitudes et leurs déplacements à travers la ville. 30 % des personnes ont répondu à ce questionnaire, soit très exactement 801 réponses recueillies. 244 personnes se sont déclarées très intéressées par ce nouveau service, si la démarche allait jusqu'au bout. « Sur cette base, avec les élus, nous avons composé un groupe de travail et réfléchi aux modalités de fonctionnement, explique Pierrette Le Bayon, maire adjoint en charge de la santé, des affaires sociales et des solidarités. Nous avons rencontré les représentants des taxis alréens et leur avons proposé le service par l'intermédiaire d'un appel d'offres. Ils ont décliné ».

Un emploi d'avenir créé

Les élus sont donc parvenus à la conclusion que le transport à la demande serait géré directement par les services de la Ville, ou plus exactement par le CCAS. Ludivine Guhur a été recrutée en emploi avenir. Elle sera affectée principalement à ce service. Elle possède également une solide formation d'auxiliaire de vie sociale. C'est elle qui passera, au volant d'une Renault Zoé, chercher les personnes de plus de 70 ans qui en feront la demande, ce qui en fera un service semi-collectif. Une enveloppe prévisionnelle de 30.000 € a été débloquée pour l'année 2016. Des demandes de subventions sont en cours. « Dans six mois, nous réévaluerons le dispositif pour voir si les horaires conviennent, ou s'il faudra les revoir, » conclut Jean Dumoulin. Contact Inscription auprès du CCAS, tél. 02.97.24.23.72. © Le Télégramme

http://www.letelegramme.fr/morbihan/auray/seniors-la-solution-du-transport-a-la-demande-30-03-2016-11012801.php#kJiW9Qm7vtJxRxQ4.99

Jean-Pierre Coffe, critique gastronome et homme de télé, est mort à 78 ans

Les Echos du 30 mars 2016

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Jean-Pierre Coffeest mort, à l’âge de 78 ans - AFP PHOTO / KENZO TRIBOUILLARD / AFP / KENZO TRIBOUILLARD

Le chroniqueur gastronomique Jean-Pierre Coffe, célèbre pour son franc-parler et ses coups de gueule contre la malbouffe, est mort à l’âge de 78 ans, après avoir imposé pendant trente ans son personnage truculent sur les ondes et sur les écrans.

On a encore dans l’oreille ses retentissants « C’est de la merde! ». Le chroniqueur gastronomique Jean-Pierre Coffe, célèbre pour son franc-parler et ses coups de gueule contre la malbouffe, est mort à l’âge de 78 ans, après avoir imposé pendant trente ans son personnage truculent sur les ondes et sur les écrans.

Jean-Pierre Coffe, qui avait collaboré avec de très nombreux médias, était encore l’un des chroniqueurs de l’émission les Grosses Têtes animée par Laurent Ruquier sur RTL. Selon la radio qui a annoncé son décès, il continuait à venir chaque semaine et y était encore allé ces tout derniers jours.

« J’aimerais tant qu’il m’engueule encore », a tweeté mardi soir Laurent Ruquier, en hommage au critique gastronomique.

Selon plusieurs médias, il s’est éteint dans la nuit de lundi à mardi dans sa maison de Lanneray, en Eure-et-Loir dans des circonstances qui n’ont pas été divulguées.

Crâne rasé, ses célèbres lunettes rondes et colorées sur le nez, ce bon vivant piquait volontiers des colères, comme ses célèbres sorties contre le jambon sous vide.

Peu de médias ont échappé à ses coups de gueule poussés pendant une trentaine d’années aussi bien à la télévision (il a commencé sur Canal Plus en 1984 et a passé près de dix ans sur France 2 aux côtés de Michel Drucker) qu’à la radio (dont RTL et France Inter avec l’émission culinaire « Ca se bouffe pas, ça se mange! »).

Convaincu que l’on pouvait bien manger pour pas cher, Jean-Pierre Coffe appelait les consommateurs à « changer leurs habitudes alimentaires », à privilégier les produits de saison, à renouer avec le plaisir de cuisiner.

L’animateur, qui affirmait toujours payer l’addition dans les restaurants parce que « la liberté est à ce prix-là », a également signé une soixantaine d’ouvrages sur la cuisine et le jardinage, de livres de recettes.

Dans une autobiographie parue en mai 2015, « Une vie de Coffe », il évoquait son enfance difficile (rejeté par sa mère, placé en famille d’accueil), mais aussi sa souffrance quand son ex-femme avait décidé d’avorter ou lorsqu’il perdit sa fille emportée par un cancer à 37 ans.

Il confiait également sa bisexualité.

Avant cela, en 2013, il avait publié « Arrêtons de manger de la merde » (Flammarion). En 2002, il proposait de passer « A table en famille avec quinze euros par jour » (Plon).

« Tout seul contre les groupes alimentaires »

« Je suis tout seul contre des groupes alimentaires qui n’arrêtent pas de me mettre des bâtons dans les roues », se plaignait-il en 2005.

Pourtant, il a enchaîné les publicités pour les marques. Après une mission pour Carrefour dans les années 2000, il a vanté les mérites des yaourts Weight Watchers. Et surtout, en 2009, il a mis son image au service de la chaîne de hard discount Leader Price.

Les critiques ont été nombreuses, mais il en fallait plus pour faire vaciller cet homme qui avait trouvé son premier emploi grâce à un billet publié dans le Figaro annonçant: « Ne sait rien faire, mais plein de bonne volonté ».

Ce qui lui avait permis de commencer à la direction commerciale d’une marque de papier à cigarettes.

Jean-Pierre Coffe, dont le père est mort à la guerre en 1940, deux ans après sa naissance à Lunéville, en Meurthe-et-Moselle, a été élevé dans une maison bourgeoise par sa mère, coiffeuse, sa grand-mère cuisinière et son grand-père maraîcher.

Pupille de la nation

Placé dans une famille en tant que pupille de la nation, il a également passé une année dans la campagne jurassienne. Mais plus que de poules courant dans les prés et de légumes verts, il rêvait, adolescent, de devenir comédien.

Il s’est inscrit au Cours Simon à Paris. Il est d’ailleurs apparu dans plusieurs films dans les années 70 et 80 ( »Violette Nozière » de Claude Chabrol, « La clé sur la porte » d’Yves Boisset...) ainsi que dans des téléfilms.

Réactions

La mort de Jean-Pierre Coffe a entraîné de nombreuses réactions. « C’était pas de la merde », a lancé l’acteur et animateur Laurent Baffie, tandis que Anne Roumanoff et François Hollande ont fait part de leur émotion à l'annonce de cette nouvelle.

Biocoop, le réseau en pleine forme

Télégramme du 19 mars 2016

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La Biocoop fête ses 30 ans en pleine forme. Le groupement coopératif a annoncé une croissance à deux chiffres, en hausse de 16,9 %, avec un chiffre d'affaires de 768 millions d'euros. Avec 383 magasins, Biocoop se revendique comme « le premier acteur bio en France » avec une part de marché de 16 % et de 50 % sur le secteur des chaînes spécialisées. Le distributeur spécialisé a planifié une quarantaine d'ouvertures en 2016. Ce qui lui permettra de dépasser le cap des 400 points de vente.

© Le Télégramme

http://www.letelegramme.fr/economie/biocoop-le-reseau-en-pleine-forme-19-03-2016-10998231.php#8Oq9ipjZpHIl5yqI.99

 

 

Gare au point final dans les messages !

Ouest France Soir du 29 mars 2016

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Facebook, WhatsApp, Viber… Près de 23 ans après l’envoi du premier SMS, il existe aujourd’hui bon nombre de moyens de faire passer un message. Mais comment retranscrire au mieux ses émotions ? D’après une étude américaine, le secret réside dans le choix de la ponctuation. Point final, d’exclamation ou points de suspension… La ponctuation peut faire basculer l’interprétation d’un message.

Juste une mise au point : « Une phrase commence par une majuscule et se termine par un point. » Cette règle, que l’on apprend à l’école primaire, guide l’écriture. Pourtant, dans le monde de la communication virtuelle des messageries instantanées, le point final est souvent laissé de côté, quand on ne lui préfère pas les points de suspension et d’exclamation…

Selon une étude américaine intitulée Texting Insincerely : The Role of The Period in Text Messaging (Messages insincères : le rôle du point dans les SMS), parue dans le journal universitaire américain Computers in Human Behavior, le point final rend le message pas très sympathique aux yeux des destinataires. Ce signe de ponctuation aurait en effet pour conséquence de mettre une certaine distance entre la personne qui l’émet et celle qui le reçoit.

L’équipe de psychologues de l’université de Binghamton, dans l’État de New York, aux États-Unis, dirigée par la professeure Celia Klin, a tenté de comprendre le rôle social du point, dans ce qu’ils appellent « un contexte de communication assistée par ordinateur (CAO) ». Autrement dit, un SMS (« short message service » pour « service de court message »).

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Facebook, WhatsApp, Viber… Il existe un nombre considérable d’applications de messagerie instantanée. (Photo : Ouest-France)

Le poid de l’interprétation

Les psychologues américains ont donc demandé à 126 étudiants d’interpréter une série de plusieurs échanges par SMS. Seize au total, construits chaque fois de la même manière : une question et une réponse courte, où seule la ponctuation diffère. Des messages tels que : « Dave m’a donné des tickets. Tu veux venir ? »

Lorsque la réponse se résumait à « oui », « ouais », « OK » ou « yep », sans aucun point final, les étudiants la trouvaient plus enthousiaste. Les chercheurs ont également soumis aux jugements des étudiants des lettres manuscrites. Sous cette forme, le point final n’était pas perçu comme un signe de manque d’intérêt par les étudiants. Le point a donc un sens bien propre dans les échanges de SMS.

Le point peut paraître brusque, à la fin d’un message court, et instaurer une certaine « distance ». Sans point, le même message paraît plus enthousiaste à celui qui le reçoit… (Photo : Ouest-France)

Un marqueur expressif

Tel un émoticône, le point est devenu « un marqueur expressif spécifique » des messages instantanés, explique la responsable de l’étude Celia Klin. Dans les SMS et autres messages électroniques courts, le point n’est plus considéré comme une façon académique de finir une phrase mais est davantage perçu comme « une sorte de pression psychologique contre ses amis ».

Parfois, une discussion par messages peut tourner au quiproquo et atteindre un point de non-retour. Car à la différence des conversations en tête-à-tête, « les textos manquent de marquages sociaux, analyse Celia Klin. Quand ils parlent, les gens envoient des signaux avec le regard, les mimiques ou le ton de la voix. Ils ne peuvent bien sûr pas se servir de cette gestuelle quand ils envoient de courts messages écrits. »

Pour éviter de mal se comprendre, les interlocuteurs emploient alors d’autres marqueurs expressifs qui passent par la ponctuation. Pour la psychologue, cette tendance ne vient pas dénaturer le langage pour autant : « Il est logique que les personnes qui échangent des SMS se servent de ce qu’elles ont à disposition, comme les émoticônes, les onomatopées ou encore la ponctuation. » Exprimer son enthousiasme ou sa sincérité dans un SMS reste un art encore bien subtil…

 

 

 

 

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