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03/10/2015

Perso ou collectif ?

L'exercice du pouvoir municipal est-il dans la "plume" ?

Jean-Pierre Le Duvéhat, conseiller délégué à la culture et la communication.jpg

Le partenariat avec Quiberon et Plouharnel est une affaire importante, aujourd'hui ! faut-il réserver ces actions communes à des sujets "élitistes" et "nombrilistes", alors que les véritables questions de vie commune sont laissées de côté...

Le recyclage des matières plastiques, qui a révolutionné depuis la guerre l'emballage des produits alimentaires, est un échec collectif en France.

Sur la presqu'île, itou !

A commencer par la localisation de la "déchetterie commune" à Quiberon. Le centre de gravité est à Saint Pierre, et non au bout de la presqu'île.

Les consignes de tri sont peu claires et changeantes, ce qui induit des charges indues, lors du tri et du recyclage.

Ici, comme ailleurs, les sacs jaunes sont envoyés à Plouharnel pour l'incinération... un procédé "arriéré", qui concentre sur place tous les maux d'un traitement, qui devrait être décentralisé.

La compression des bouteilles  en polypropylène devrait être individuelle et vérifiée lors de l'apport.

Les déchets verts devraient être traités sur place, pour la fabrication de compost "local" (et non à Crach !).

Merci JPLD de nous décrire "en termes latins" ces considérations "vulgaires" ! 


 

Concours de nouvelles, deuxième édition de la Plume de la presqu'île

 

Télégramme du  3 octobre 2015

 

 

 

 

 Jean-Pierre Le Duvehat, conseiller délégué à la culture et à la communication, et Nathalie Noël Chatain, adjointe à la culture.

 

 C'est parti pour la deuxième édition du concours « la plume de la presqu'île » ! Les écrivains en tout genre peuvent se lancer et ils ont jusqu'au 10 mars pour rendre leur copie.

 

 Organisé par la municipalité, en partenariat avec les communes de Quiberon et Plouharnel, le concours sera, comme l'an passé, anonyme et gratuit.

 

Thème libre

 

La première édition avait été un succès incontestable et le recueil édité avec les nouvelles primées avait permis de se rendre compte des talents. « Cette fois, explique Jean-Pierre Le Duvehat, conseiller délégué à la culture, le thème sera libre. Mais il faudra qu'il y ait obligatoirement une intrigue. Nous apprécierions également s'il pouvait y avoir un rapport avec la Bretagne, et encore mieux avec la presqu'île ».

 

Cinq catégories ont été reconduites et légèrement modifiées : les 8-14 ans ; les 14-18 ans ; les 18-88 ans ; les personnes ayant déjà publié, qui sont différentiées. Les écoles bénéficieront d'un prix spécial, sans classement. Tous les lauréats bénéficieront de prix en chèques-livres.

 

 « Nous allons repartir avec le principe des trois comités de lecture, chacun composé à parts égales d'élus, de responsables de médiathèques et de lecteurs de Saint-Pierre, Quiberon et Plouharnel, ajoute l'adjoint.

 

 Il n'y a pas de grilles de notation. Chacun évaluant en fonction de ce qu'il aura ressenti ».

 

Pratique

 

 Deuxième édition du concours de nouvelles « la plume de la presqu'île », jusqu'au 10 mars. Renseignement au 02.97.30.92.00. Règlement en mairie ou à la médiathèque.

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/saint-pierre-quiberon/concours-de-nouvelles-deuxieme-edition-de-la-plume-de-la-presqu-ile-03-10-2015-10798082.php

 

 

 

Recyclage plastique, la France à la traîne

 

Télégramme du 3 octobre 2015

 

L'interdiction des sacs plastique à usage unique dans le commerce, c'est pour janvier prochain. La mort de la vaisselle jetable est, elle, programmée pour 2020.

 

 

 

 

 En attendant, la France, une des championnes de la production de plastiques en Europe, se traîne au bas du classement en matière de recyclage...

 

Dans les quartiers de bureaux, à la pause déjeuner, les poubelles débordent de vaisselle et couverts jetables qui finiront... dans un centre d'enfouissage ou d'incinération. Si ça n'est pas un zéro pointé, ça y ressemble.

 

Selon le bilan publié en mars par l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (Ademe), la « France se positionne comme un des pays européens les moins performants » avec un taux moyen de recyclage des déchets plastiques de 20 % environ. Ce qui la place au même niveau que la Hongrie. Au moment où la Fédération internationale de gynécologues Figo dénonce l'impact très négatif de certains plastiques sur la reproduction et la santé humaines, et à quelques semaines de la conférence de Paris contre le réchauffement climatique, les acteurs de la filière multiplient les projets pour augmenter le volume recyclé. Mais l'évolution est trop lente pour endiguer la marée.

 

D'autant, indiquent les rapports officiels, que la chute massive des prix du pétrole rend moins compétitive la récupération par rapport aux produits neufs. « Seul un cinquième des 3,3 millions de tonnes de déchets plastiques est envoyé en centre de recyclage. Le reste est valorisé énergétiquement (41,7 % en 2011), c'est-à-dire incinéré pour produire, par exemple, du chauffage urbain, ou bien enfoui/stocké (39,1 % en 2011) », détaille l'Ademe.

 

Bouteilles et flacons seulement

 

Les collectivités locales (chargées de la collecte et du tri) et l'industrie se renvoient la balle pour savoir qui doit financer le recyclage, un coût de 700 à 1.000 euros la tonne. Hormis dans quelques villes test, on ne recycle aujourd'hui, en France, que les bouteilles et flacons.

 

Mais très peu de gens connaissent les consignes : les poubelles de tri continuent à se remplir de gobelets, pots de yaourt, barquettes, jouets, brosses à dent, raquettes, films plastiques, papiers bulle d'emballage et autres polystyrènes qui n'ont rien à y faire.

 

 Éco-emballages a annoncé, la semaine dernière, un progrès important en la matière : un quart des Français, soit près de 15 millions, vont pouvoir trier tous leurs emballages plastiques, y compris les pots de yaourt, les sacs et les blisters de jambon blanc.

 

Mais il faudra pour cela attendre fin 2016.

 

 En outre, tout ce qui n'est pas emballages - les vaisselles jetables par exemple - restera exclu de la mesure.

 

 « De 250.000 tonnes, on devrait passer à 500.000 tonnes recyclées d'ici à 2022 (45 à 50 %) », mise Carlos De Los llanos, directeur du recyclage chez Éco-emballages.

 

 Difficile d'aller plus loin : les plastiques sont trop complexes, mélangés. Il faudrait prévoir le recyclage dès la conception de l'objet, ou, comme à San Francisco (États-Unis), bannir la vente de petites bouteilles d'eau minérale dans les lieux publics ainsi que les emballages en polystyrène. Le chemin qui reste à accomplir s'annonce long, très long

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/france/recyclage-plastique-la-france-a-la-traine-03-10-2015-10797187.php

 

 

 

Commentaires

Ce n'est pas pire que d'enfouir des milliers de tonnes de déchets dans des décharges oubliées comme à Kerniscop ou à port haliguen, en empoisonnant les champs et les nappes phreatiques qui existent! nos élus sont irresponsables: il faudrait les saquer pour les responsabiliser.

Écrit par : La groume | 03/10/2015

Monsieur Hennel, votre analyse est excellente et le centre de gravité pour la déchetterie est effectivement Saint-pierre;
Toutefois, je crains que cette affirmation soit à nouveau défavorable à la commune de Quiberon et à ses contribuables.
Le conseil municipal du 27 septembre 1996 (1er mandat de Belz) décida d'acheter les 15.561m2 de la batterie de Saint Julien.
Imaginez une seconde le transfert de la déchetterie et l'avenir des lieux.

Quel beau parking à automobiles et même port à sec pour la société privée SPL "Compagnie des ports du 56" avec toujours à sa tête 15 conseillers départementaux qui en vertu de la loi NOTre si notre maire l'applique n'aurait plus rien à voir là-dedans.

Il faut savoir que dans la déchetterie du Manio, l'ADN du port de plaisance de Port-Haliguen s'y trouve dans les blocs de roches en particulier qui ont servi à la construction de la digue.

Comme le maire, je suis né à Quiberon mais je crois avoir un peu plus d'amour et de respect pour ce pays et ses habitants. Les 3 dernières années passées à fouiller "difficilement les archives" en complément des documents de Patrick Luco font que la situation actuelle pourrait devenir explosive dans en proche avenir.

Comme dirait l'autre " OUF " les débats continuent et continueront de plus belle.

Enfin, la groume, je suis entièrement d'accord avec vous concernant les décharges quiberonnaises étrangement oubliées.

Le Toul Prieu est évidemment hautement pollué et le Préfet et l'ARS auront à trancher ce problème. Maintenant ils ne peuvent plus dire qu'ils ne savaient pas

Écrit par : jclg | 03/10/2015

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